Quand il pleut, l'humidité relative est de près de 100%. Quand il fait froid, l'humidité relative peut se retrouver en dessous de 5%. Plus l'air est chaud, plus il peut contenir de vapeur d'eau.
L'air ne se retrouve pas forcément saturé en vapeur d'eau, mais le taux d'humidité absolue augmente localement sous l'effet de la pluie. Lorsque l'air est plus chaud, l'eau en suspension dans l'air s'évapore plus rapidement, ce qui crée un taux d'humidité plus élevé.
Le taux d'humidité idéal se situe entre 40% et 70% Un air vicié et humide entraînera des moisissures et de la condensation pouvant endommager les parois de votre bâtiment. Le renforcement de l'isolation et une bonne ventilation sont la meilleure réponse à un taux d'humidité trop élevé
Le bon réflexe en cas d'humidité est toujours d'aérer, seule une bonne ventilation de la pièce peut minimiser les problèmes. Si votre maison est particulièrement humide, lorsqu'il pleut vous devez surtout aérer votre maison en ouvrant plusieurs fenêtres pour faire courant d'air au moins 10 mn par jour.
Pour l'air intérieur, les normes européennes se situent entre 30 et 70% d'hygrométrie. En France, les médecins s'accordent à resserrer la zone d'air sain entre 40% et 60%.
En cas de doute : Scotchez une feuille d'aluminium au mur et attendez 48h. Si de l'eau apparait sur le côté mur, c'est que l'humidité arrive par infiltration. Si le coté pièce est mouillé, c'est que l'humidité se forme par condensation.
Chauffer une pièce permet d'éliminer une partie de l'eau contenue dans l'air. En clair, le chauffage de la maison diminue le taux d'humidité de l'air. L'idéal étant de maintenir une température constante d'au moins 19 degrés.
Pour ventiler sans VMC, l'alternative la plus courante est l'installation d'une ventilation naturelle. Économique, écologique, et peu coûteuse, la ventilation naturelle est particulièrement recommandée pour les nouvelles constructions, et parfois même en rénovation.
L'hiver, évitez d'ouvrir vos fenêtres entre 14h et 18h. Aérez votre logement entre 8h et 11h le matin ou entre 22h et minuit le soir. Concernant l'été, évitez d'ouvrir vos fenêtres entre 11h et 17h. L'aération de votre logement est préférable entre 21h et 10h, quand l'air est le plus frais.
Lorsque l'air extérieur arrive en intérieur et chauffe jusqu'à 23 °C, la quantité absolue d'eau dans l'air reste la même. Mais comme l'air chaud peut contenir plus d'eau, l'humidité relative descend à 33 %. D'autre part, l'air chaud peut contenir plus d'humidité que l'air frais.
Les conséquences de l'humidité chez l'adulte
Chez l'adulte, il n'est pas rare de constater l'apparition d'allergies entraînant des maladies respiratoires ou des problèmes articulaires. Bronchites, asthme, arthrose, rhumatisme, conjonctivite…
Néanmoins, la meilleure solution qui permet de se débarrasser de l'humidité et de réguler son taux est la ventilation. Parmi les ventilations «nouvelle génération», la VPH (Ventilation Positive Hygrorégulée) est l'une des plus performantes. Celle-ci aspire l'air extérieur, le filtre et le purifie.
La température humide est la température d'évaporation de l'eau liquide (rosée) en vapeur d'eau. Si l'on considère la relation entre l'humidité relative et la température humide : - Si la température humide est proche de la température ambiante, l'humidité relative est élevée.
Or, quand il pleut, les goutellettes d'eau injectées en basses couches vont avoir tendance à s'évaporer au contact de l'air sec. Par définition même de la température du thermomètre mouillé, la température de l'air va tendre vers cette valeur (donc baisser), tout comme le point de rosée (qui lui va augmenter).
Pendant les mois froids, vous devez ouvrir la fenêtre au plus tard lorsque l'humidité de l'air atteint plus de 60 % dans la pièce. Si l'humidité de l'air est supérieure, la ventilation par à-coups est la méthode la plus efficace pour renouveler l'air. Aérez plusieurs fois par jour, pendant cinq à dix minutes.
La VMC est-elle obligatoire ? La ventilation mécanique contrôlée n'est pas obligatoire mais fortement conseillée. La loi impose à tout logement d'avoir un dispositif d'aération mais vous avez le choix entre une VMC ou un système de ventilation naturelle (ouverture des fenêtres, grilles d'aération, etc.)
Les eaux vannes des toilettes sont évacuées de la même manière, mais par l'intermédiaire d'une autre colonne de chute. Pour fonctionner correctement, ces colonnes de descente des eaux doivent être prolongées en toiture jusqu'à l'air libre, au-dessus des locaux habités : c'est la ventilation primaire.
Le mieux serait de mettre un contacteur minuteur qui enclenche la ventilation quand on allume la lumière (ce qui doit être le cas systématiquement puisqu'il n'y a pas de fenêtre) et qui la fait fonctionner pendant un temps donné après l'extinction de la lumière .
Pour conclure, la VMC dans la salle de bain n'est pas forcément obligatoire. En effet, seule la présence d'un système de ventilation est exigée. Cependant, dans la plupart des cas la VMC se présente comme la solution la plus efficace pour renouveler l'aire chargé d'humidité d'une salle de bain.
Enlevez l'humidité avec du sel
Pour ce faire, vous aurez besoin d'un bol et d'un kilo de gros sel. Il suffit de placer le sel dans la pièce humide et d'attendre quelques jours pour qu'une grande partie de l'humidité soit absorbée.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand il s'agit d'humidité, tout n'est pas que de la responsabilité du propriétaire. Le locataire est lui aussi soumis à certaines responsabilités. Entretenir les locaux : A charge pour le locataire – à qui il a été remis un bien salubre – d'entretenir ce bien.
Parmi les produits absorbant ou adsorbant l'humidité, on trouve le gel de silice, le sulfate de magnésium, le chlorure de calcium, le sulfate de calcium, le chlorure de lithium, les zéolithes (tamis moléculaires).