Rester chez soi et ne rien faire permet ainsi de récupérer des heures de sommeil perdues en semaine et de réduire son niveau de cortisol. Cette hormone est sécrétée par notre corps quand il est en situation de stress, physique ou psychologique.
Le chez-soi noue sécurité et liberté : il pose les limites à la présence des autres, il permet de s'en protéger et rend possible par là-même l'expression de sa singularité, de sa liberté (chez soi, pas de comptes à rendre). C'est au creux de ce double rapport (sécurité/liberté) que s'établit l'identité du soi.
Rester chez soi et ne rien faire est bon pour la santé !
Rester chez soi et ne rien faire est non seulement tendance, mais en plus conseillé par les médecins ! Le " nesting " est même recommandé par les spécialistes tellement il apporte bien-être et sérénité.
Un sentiment de stabilité
Se sentir chez soi, c'est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l'océan, un port d'attache. C'est à cette condition que l'on se sent paisible, mais aussi que l'on éprouve du plaisir à évoluer dans son environnement.
Le chez soi protège des agressions extérieures, il réchauffe. Il est donc particulièrement important lorsque l'on traverse des épreuves (rupture, séparation, deuil…), ou que l'on se sent vulnérable de vivre la maison comme un lieu protecteur.
Se sentir chez soi est un ressenti. C'est être à l'aise dans un intérieur, être dans son élément, dans un certain confort. C'est quelque chose de très personnel. Où que l'on soit, il y a des éléments qui nous font nous sentir « chez nous ».
La maison est comme une grande fresque de vie intérieure. Elle révèle les goûts exprimés dans la façon de choisir la distribution des pièces, les couleurs des murs, les meubles. Elle est évocatrice des facettes de chaque habitant, du groupe familial, mais aussi des anciens, par le biais des objets hérités.
Il est largement prouvé que pour être heureux, il est indispensable que tout soit en ordre chez soi. Sans pour autant partir dans des extrêmes, sauf si vous êtes de nature maniaque, vivre dans un espace ordonné et rangé, permet d'être heureux et de mieux s'organiser au quotidien.
On peut avoir l'impression d'être seul, même s'il y a des gens autour. C'est alors un sentiment d'isolement qui apparait, comme si on était emprisonné dans une tour invisible des autres. Ce sentiment ne correspond pourtant pas forcément à la réalité, c'est une illusion qui peut modifier la vision du monde.
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
L'agoraphobie est un trouble dont la définition psychiatrique peut se résumer par la peur de sortir de chez soi ou de ne pas pouvoir s'échapper facilement d'un endroit. Cette phobie peut avoir des conséquences lourdes sur la vie quotidienne et sociale du patient, et cela ne se guérit pas du jour au lendemain.
Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Une base d'envol
C'est qu'une maison n'est pas une prison : elle est faite pour être quittée. Un endroit où l'on se sent heureux, c'est aussi une base d'ouverture au monde. Les travaux sur la psychologie de l'attachement nous rappellent que l'on n'explore bien – avec bonheur !
Se sentir bien dans sa peau, c'est sans aucun doute la base pour être heureux dans la vie. Tout le monde court après le bonheur et la clé réside sûrement dans le fait d'être en totale harmonie avec son corps et son esprit. C'est là la notion de confiance en soi et d'estime de soi.
Prendre une marche et simplement pour prendre l'air, réfléchir, s'imaginer, rêver... Le Soleil et sentir celui-ci sur sa peau. Une bonne bouffe entre amis ou manger un repas gourmand lorsqu'on a vraiment vraiment faim! Jouer avec ses animaux et le faire plaisir à eux aussi!
La maison nous représente, ce qui apparaît clairement dans les rêves où celle-ci représente le corps du rêveur et ses parties ; le toit et le grenier, dans les images oniriques, symbolisent la tête, la pensée ou l'aspiration à un idéal. La cave évoque le passé et nos pulsions souterraines.
Pour le psychanalyste Isodoro Berenstein, l'intérieur de la maison représente symboliquement les liens inconscients entre ses habitants, les alliances et les rivalités. On peut aussi y lire le sens des hiérarchies – les plus « estimés » auront les plus belles pièces –, les ambitions et les priorités de chacun.
La psychologie de l'habitat s'exprime au sein de notre inconscient, puisant sa force dans les formes, les couleurs, les bibelots que nous positionnons ici et là. Chaque objet de décoration, chaque pièce de notre intérieur influe donc directement sur nos émotions.
Pour donner du sens à votre travail, n'hésitez pas à mettre vos talents au profit de l'entreprise (vos connaissances techniques, vos centres d'intérêt, vos compétences…). Proposez de mener des actions utiles et faites le maximum pour vous investir et développer ainsi, pas à pas, votre confiance en vous.
Ne pas se sentir à sa place est un sentiment difficile : on se sent souvent incompris, inutile, seul (même si nous sommes entourés de gens) et impuissant, car on ne sait justement pas quoi faire pour trouver notre place.
Bref, généralement, le sentiment d'être utile prend sa source dans le fait d'agir pour quelqu'un ou pour quelque chose dans la ligne de ce qui est important pour soi, généralement de ses valeurs. Mais pour s'autoriser à dire « je me suis rendu utile aujourd'hui », la personne a besoin de pouvoir mesurer cette utilité.
Causes. Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Une maltraitance affective ou une négligence au cours de l'enfance. Une maltraitance physique.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.