Allonger confortablement la victime, par exemple sur un lit, un canapé ou à défaut sur le sol, afin de retarder ou empêcher l'installation d'une détresse liée à la perte de sang. Alerter les secours en composant le 18 ou le 112.
A aucun moment, il ne faudra allonger la victime ou pencher sa tête en arrière. En effet, dans cette position, le sang coule dans l'arrière gorge ; ce qui peut provoquer des vomissements et ne permet pas la formation d'un caillot.
VI 35 : Pourquoi ne faut-il pas laisser une personne en perte de connaissance allongée sur le dos ? Car elle risque un étouffement par : - Des liquides présents dans la gorge.
Il faut protéger la personne des intempéries, notamment du froid, du vent et de la pluie : une victime se refroidit vite et l'hypothermie peut aggraver son état. Le moyen le plus simple consiste à la couvrir avec un vêtement (pull, blouson...).
Lorsqu'une victime est allongée sur le ventre, on vérifie sa conscience puis, si elle est inconsciente, on doit utiliser une technique de retournement d'urgence pour libérer les voies aériennes.
Le patient est inconscient et ne respire pas
La particularité est qu'il faut commencer par 5 insufflations. En effet, la cause de l'arrêt cardiaque est le manque d'oxygène, il faut donc en apporter à la victime le plus vite possible.
Administrez un maximum de 5 claques entre les omoplates. Chaque claque a pour but de provoquer un mouvement de toux permettant de déloger l'objet. Après chaque claque, observez si le corps étranger a été rejeté ou non.
Allonger confortablement la victime, par exemple sur un lit, un canapé ou à défaut sur le sol, afin de retarder ou empêcher l'installation d'une détresse liée à la perte de sang.
De plus, toujours à supposer que ces résultats soient confirmés, la prescription de sédatifs aux personnes touchées par un traumatisme pourrait alors faire plus de mal que de bien. Des conséquences sévères : Dormir après un gros stress peut avoir des conséquences sévères.
La personne respire : placez-la en position latérale de sécurité (PLS).
Vérifiez que la victime respire. Tournez la victime sur le côté en position latérale de sécurité. Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ; allez chercher de l'aide si vous êtes seul. Vérifiez régulièrement la respiration de la victime jusqu'à l'arrivée des secours.
Les symptômes évoquent l'arrêt cardiaque : la victime perd connaissance, tombe et ne réagit pas quand on lui parle ou qu'on la stimule ; sa respiration est inexistante (sa poitrine ne se soulève pas) ou très irrégulière.
Loin de s'arrêter, le saignement continue dans la gorge. Au contraire, le bon réflexe à adopter est de pencher la tête en avant et de presser ses narines pendant quelques minutes. Ce geste va favoriser la coagulation et le saignement va s'arrêter.
Il doit être assis, la tête penchée en avant et moucher énergiquement chaque fosse nasale afin d'évacuer tout caillot existant. Ensuite, on pulvérise dans les cavités nasales une solution anesthésique locale à base de xylocaïne additionnée de naphazoline permettant une vasoconstriction locale.
Les saignements les plus importants, les plus rapides et les plus difficiles à stopper se produisent souvent en cas d'hémorragie artérielle. Le sang est alors de couleur rouge clair.
De mauvaises nuits néfastes au nettoyage du cerveau
"Le sommeil jouerait un rôle important dans le nettoyage des déchets dans le cerveau après un traumatisme crânien, si vous ne dormez pas bien, vous ne pourrez pas nettoyer votre cerveau correctement", résume Juan Piantino, auteur principal de cette recherche.
S'endormir peu de temps après avoir vécu un traumatisme renforcerait les émotions négatives liées à cet événement. C'est du moins la conclusion d'une étude américaine qui contredit de précédents travaux sur le sujet.
« S'il y a perte de connaissance, des nausées, des vomissements, ou si la personne n'est pas dans un état de vigilance normale, il faut une évaluation médicale plus approfondie, car c'est peut-être un traumatisme crânien plus sévère », explique le Dr Cossette. Autrement, le blessé a plein droit à sa nuit de sommeil.
Point de compression : pour stopper un saignement
En premier lieu, la conduite à tenir est d'appuyer sur la plaie (compression). Le point de compression consiste entre autres à comprimer la plaie afin de limiter l'écoulement sanguin et favoriser la coagulation.
Pansement compressif pratique pour prendre le relais de la compression manuelle lorsque le secouriste doit appeler les secours. Gants fournis pour éviter tout contact avec la plaie du blessé. A fixer avec du sparadrap ou avec des Epingles de sûreté .
Mais pour débloquer les voies aériennes en cas d'obstruction, elle s'avère plutôt efficace. Le principe est simple : la personne doit se mettre à genoux et se placer en position de pompe sur les poings. Elle doit ensuite lancer ses bras vers l'avant, tout en se laissant retomber au sol, sur le torse et le ventre.