Les 16 valves ont un meilleurs rendement à tous les régimes moteur, car meilleur admission et échappement dans les cylindres, deux petites soupapes ont une plus grande ouverture qu'une seule grosse soupape, de plus l'inertie est plus faible, car le poids est plus faible ainsi que la force des ressorts de rappels (le ...
Un moteur multisoupape possède au moins trois soupapes par cylindre, souvent quatre. L'utilisation de quatre soupapes (indiquée par le sigle « 16S », ou « 16V » en anglais, pour un moteur 4-cylindres) se généralise en automobile.
Plus de puissance à haut régime
Le principal avantage de l'utilisation de 3 soupapes d'admission, malgré le fait qu'elles soient plus petites que celles utilisées dans les cylindres à 4 soupapes, est le débit d'air global plus important.
2 ou 4 soupapes par cylindre, en fait cela ne change pas grand chose... je m'explique : sur un moteur essence, l'utilisation de quatre soupape permet un meilleur mélange (plus homogène) de l'air et de l'essence avant l'auto-inflamation et donc une meilleur combustion.
Par conséquent elles sont légèrement plus petites pour avoir la bonne taille à chaud, ce qui fait aussi qu'un moteur fonctionne mieux et consomme moins à chaud.
Composition d'une soupape
La tête (A) : sa forme permet d'assurer l'étanchéité requise. la tête des soupapes d'admission sont de plus gros diamètre que celles d'echappements.
Les soupapes d'admission : elles permettent à l'air d'entrer au sein de la chambre de combustion pour permettre de créer l'explosion en se mélangeant avec le carburant ; Les soupapes d'échappement : ce type de soupape permet aux gaz brûlés lors de l'explosion de s'évacuer.
Exception qui confirme la règle, le moteur à cinq cylindres ne manque pas d'attrait. À commencer par une sonorité atypique, une puissance plus forte que celle d'un « quatre-pattes » pour un encombrement moindre que celui d'un V6 ou d'un six en ligne.
Elle a pour objectif d'assurer la distribution de l'admission des gaz dans la chambre de combustion. Celle-ci garantit l'évacuation des gaz brûlés vers l'échappement.
Les soupapes sont animées par l'arbre à cames. Des clapets permettent l'ouverture des cylindres qui se ferment grâce à un ressort. À l'ouverture, ils sont animés par un poussoir hydraulique qui se déplace sur le lobe de l'arbre à cames. Dès lors, ce dernier effectue des mouvements de rotation avec le vilebrequin.
Mauvais réglage du jeu de la soupape
Le jeu de la soupape a été réglé trop serré ou les intervalles d'entretien ont été dépassés. Conséquence : La soupape ne se ferme plus correctement. Les gaz de combustion qui passent le long du siège de la soupape chauffent la face de la soupape.
Dans ce cas, faites tourner votre moteur à la main sur quelques tours. Vous devez repérez la position où le piston est au plus haut dans le cylindre, juste avant qu'il ne commence à redescendre : c'est le point mort haut.
Dans la plupart des cas, le réglage du jeu aux soupapes sur un moteur culbuté se fait en débloquant un écrou et en serrant ou en desserrant une vis qui peut être à tête fendue. Le contrôle se fait avec une cale. Le jeu caractéristique se mesure entre la queue de soupape et le poussoir.
Filtre à carburant défectueux
Vous ressentirez une perte de puissance lors de l'accélération et parfois des secousses intermittentes. Pour résoudre ce problème, recherchez le filtre à carburant situé dans le compartiment moteur ou près du réservoir de carburant dans le coffre de votre voiture.
Un turbo fatigué (ailettes usées ou mobilité de ces dernières dans le cas d'une géométrie variable) offrira moins d'air sous pression au moteur, ce qui induit une puissance moins élevée ... Notez aussi qu'un soucis au niveau du wastegate (soupape de décharge du turbo) peut être la cause.
Le système d'allumage est en effet utilisé pour le fonctionnement des bougies, qui permettent à leur tour d'enflammer le carburant. Des fils de bougie ou une bobine de bougie défectueux entraînent des ratés dans l'accélération, et donc des à-coups, d'où la sensation d'avoir une voiture qui broute.
Le calage de la distribution, réalisé d'une façon unique, est repéré sur le volant moteur afin de faciliter les grandes opérations de démontage et remontage qui pourraient intervenir. La modification de cette caractéristique n'est pas à la portée de l'utilisateur.
D'où la nécessité de l'avance à l'ouverture d'échappement A.O.E. en profitant de l'inertie du courant d'expulsion et à éviter le coup de bélier des gaz heurtant la soupape se fermant au point mort haut. On remarquera que la soupape d'admission est ouverte quand la soupape d'échappement n'est pas encore fermée.
Bruit anormal : des soupapes non étanches ou abîmées produisent des claquements inhabituels ; Perte de puissance : une mauvaise combustion entraîne des baisses de puissance du moteur ; Surconsommation inhabituelle de carburant : l'entrée de carburant étant perturbée, il n'est plus consommé en quantité normale.
Moteur R.E.P. cinq cylindres, à refroidissement par air (1909). Ce moteur conçu par Robert Esnault-Pelterie (1881-1957), par ailleurs inventeur du manche à balai, était un cinq cylindres disposés en éventail sur deux rangées parallèles, à refroidissement par air.
L'ordre d'allumage est 1-2-3, ou 1-3-2 dans l'ordre inverse (ce qui revient à 3-2-1 puisque c'est cyclique, mais moins clair au niveau de la représentation mentale) en fonction du sens de calage et de rotation du vilebrequin, de l'extrémité choisie pour le cylindre 1, ou du choix de l'ordre d'allumage si 2 pistons ...
Comme les soupapes ne ferment plus correctement, elles claquent et ce bruit de claquement est facilement perceptible. La soupape d'admission s'ouvre moins bien et admet moins de carburant que normalement. Le véhicule perd de la puissance.
Soupape de sûreté,
appareil de robinetterie destiné à limiter la pression d'un fluide à une valeur prédéterminée et fonctionnant par ouverture d'un obturateur lorsque cette valeur prédéterminée est atteinte ; ce qui permet d'empêcher, d'éviter un bouleversement, ce qui sert d'exutoire.