Trois situations principales sont responsables de douleurs au niveau de la vessie : la cystite interstitielle, le cancer de la vessie et le développement d'une infection au niveau des voies urinaires.
Un traitement médicamenteux est souvent nécessaire. Les personnes peuvent avoir besoin de prendre des analgésiques pour réduire la douleur. Les antidépresseurs peuvent également diminuer la douleur et permettre à la vessie de se détendre. Les antihistaminiques peuvent également réduire l'impériosité de la miction.
Une inflammation de la vessie est souvent d'origine bactérienne. Elle se caractérise par des symptômes tels que des envies pressantes d'uriner, des douleurs dans le bas-ventre et parfois du sang dans les urines.
Comment attrape-t-on une infection urinaire ? L'infection urinaire la plus courante est due à la bactérie intestinale Escherichia Coli. Naturellement présente dans le gros intestin (totalement inoffensive à ce niveau-là), cette bactérie peut pénétrer l'urètre puis infecter la vessie.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.
(Cystite) On appelle cystite l'infection de la vessie. Les agents responsables de la cystite sont généralement des bactéries. Les symptômes les plus courants sont un besoin fréquent d'uriner et une douleur ou une sensation de brûlure à la miction.
Le conseil : essuyez-vous toujours de l'avant vers l'arrière. Il est aussi conseillé d'uriner après chaque rapport sexuel, afin d'éliminer les germes présents dans l'urètre. Buvez un grand verre de jus de cranberry (240 ml) par jour.
Des raisons moins communes. Parfois, une envie fréquente de faire pipi peut cacher des troubles chroniques ou plus graves comme un fibrome utérin (qui appuie sur la vessie), le syndrome de la vessie douloureuse (aussi appelé cystite interstitielle), un diabète ou la sclérose en plaques.
3. Le citron. Acide et donc irritant pour la vessie, le citron – tout comme les autres agrumes — vous donnera envie d'aller aux toilettes.
Pour soigner la cystite, buvez des tisanes, des jus de fruits, surtout du jus de canneberge, des bouillons, de tout. Plus vous urinez, plus vous éliminez les bactéries responsables de l'infection urinaire. Même lorsque vos symptômes s'estompent, il est important de continuer à boire suffisamment.
Cranberry (canneberge)
"Cette petite baie rouge contient des flavonoïdes, des anthocyanes et des proanthocyanidines qui agissent tous trois en synergie en empêchant Escherichia coli, responsable de la plupart des infections urinaires, d'adhérer à la paroi de la vessie.
Une inflammation de la vessie est souvent d'origine bactérienne. Elle se caractérise par des symptômes tels que des envies pressantes d'uriner, des douleurs dans le bas-ventre et parfois du sang dans les urines.
Le tabagisme actif est le premier facteur de risque de cancer de la vessie : il est classé cancérogène certain (groupe 1) par le CIRC. En France, le tabagisme serait responsable de 53% des cas de cancers de la vessie chez les hommes, et de 39% chez les femmes.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
L'insuffisance cardiaque, les maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson et d'Alzheimer, le cancer de la vessie et de la prostate, le diabète, l'insuffisance hépatique, et les maladies rénales chroniques font partie des pathologies qui peuvent entraîner une polyurie nocturne.
Il s'agit d'une descente de la vessie dans le vagin, la paroi du vagin s'étire pour laisser la place à la vessie. Les principaux symptômes sont : impression de masse ou de pression dans le vagin, sensation d'irritation dans le vagin, impression de ne pas bien vider sa vessie.
Notamment, lorsque la vessie a été retirée, le patient doit se réapproprier son corps, son image et apprendre à gérer un nouveau quotidien. Il doit retrouver une continence acceptable ou apprendre à vivre avec une stomie urinaire.
La polyurie n'est pas un symptôme à prendre à la légère : elle peut être le signe de pathologies potentiellement graves et entrainer, si elle n'est pas correctement prise en charge, une déshydratation rapide.
D'après les médecins, une infection urinaire sur deux peut passer toute seule, sans antibiotique, en buvant simplement beaucoup d'eau. Cependant, cela n'est valable que si la bactérie n'a pas encore eu le temps de proliférer dans la vessie.
Une infection urinaire de la vessie (cystite) guérit en quelques jours grâce au traitement. En cas de cystite, les symptômes peuvent persister deux à trois jours après le début du traitement, notamment en cas de traitement monodose, puis disparaissent.