Le rosé, avec sa fraîcheur, ses arômes fruités et sa belle robe, est synonyme de soleil et de convivialité ! Il évoque de longues tablées en terrasse, des barbecues improvisés entre amis, des moments de détente et de plaisir.
Mais il en favorise l'apparition… L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
Une consommation modérée d'alcool est liée à un risque réduit de maladies cardiovasculaires. L'alcool, y compris celui du vin rosé, fluidifie le sang et augmente le bon cholestérol, ou HDL. Il peut même réduire votre risque de maladie cardiaque, de crise cardiaque ou d'accident vasculaire cérébral.
Tout est dans ses pétales ! Ils contiennent de la vitamine A (notamment un super antioxydant), de la vitamine C (notamment un super anti grise mine), de la vitamine E (notamment un super anti-inflammatoire), des acides gras essentiels. Par ailleurs, ils ont des qualités antibactériennes, cicatrisantes et astringentes.
Comme tout alcool, le rosé n'est pas bon pour la santé. C'est une boisson qui doit être consommée occasionnellement, et en petite quantité (gare au coma éthylique !). D'ailleurs, il n'y a pas de niveau "minimum" d'alcool qui soit sans danger pour la santé.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Avec modération… Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
Il peut réduire le taux de mauvais cholestérol
Le vin rosé contient de nombreux composés utiles aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes potentielles. Par exemple, les polyphénols présents dans le vin rosé peuvent contribuer à réduire le taux de LDL ou mauvais cholestérol.
La bonne température de consommation
La bonne température pour déguster un vin rosé se situe entre 8°C et 10°C pour les rosés ordinaires, et entre 12°C et 14°C pour les plus pointus. Le rosé se débouche au dernier moment. Placez le au réfrigérateur avant de le servir.
Le rosé se consomme idéalement pendant la période des beaux jours et accompagne à merveille un assortiment de bouchées salées et de charcuteries. Véritable boisson des barbecues, le rosé se marie très bien avec de la grillade de viande, de volaille et de poissons.
L'Everclear a une teneur de 95°. Comme le précédent, il s'agit d'un alcool rectifié, mais cette fois-ci, fabriqué aux États-Unis. Il est fait à base de maïs et mérite pleinement sa place parmi les alcools les plus forts au monde. D'ailleurs, sa consommation est interdite dans plusieurs états aux États-Unis.
Des arômes fruités intenses, frais et gourmands. Une caresse tendre dans la bouche, une sensation fruitée qui fait penser au sucre alors que le vin reste sec (moins de 4g/litre de sucre résiduel), un goût acidulé et rafraichissant.
L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Le rhinophyma (nez volumineux et sanguin).
En raison du contact minimal entre le jus et la peau, inhérent à la méthode typique de pressage direct du rosé, ce vin, contrairement aux vins rouges, ne bénéficie pas des avantages des polyphénols concentrés principalement dans la peau et les pépins.
L'alcool peut entraîner une constriction du col de la vessie, ce qui provoque la rétention de l'urine et la sensation de vidange incomplète, vu que la vessie retient du liquide (malgré le besoin pressant d'uriner).
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Une consommation excessive d'alcool restreint l'oxygène dans les globules rouges, ce qui provoque la dilatation de minuscules vaisseaux sanguins à la surface de votre œil (la sclère). Ceci entraîne ensuite un plus grand flot de sang dans ces vaisseaux, ce qui donne à vos yeux cette apparence rouge et enflammée.
51,1 % des femmes interrogées préfèrent le vin rouge au vin blanc (26,4 %), tandis que 15,7 % (plus particulièrement les 18-30 ans) déclarent boire essentiellement du vin rosé contre 6 % il y a deux ans.
Les vins moelleux constituent une proposition intéressante. Nous suggérons des Pinot Gris ou des Gewurztraminer du domaine Muré ou Trimbach. S'agissant des rouges, nous suggérons des vins peu tanniques, ronds, légers come des Beaujolais, des vins de Loire ou des Bourgognes de la Côte d'Or.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.