C'est une parasomnie: un trouble du sommeil qui survient lors de la transition veille/sommeil. Les personnes atteintes du syndrome de la tête qui explose souffrent d'hallucinations sonores ou même visuelles qui les réveillent. Elles entendent des bruits assourdissants et/ou peuvent être éblouies.
Le manque de confiance en soi vient souvent d'un jugement personnel dur et sans pitié. Si vous tendez à vous juger trop durement, le moyen le plus simple de faire taire votre voix intérieure négative est de demander aux autres ce qu'ils pensent de vous.
Le cri est une voix d'avant le langage, une communication sans idée. Chez l'adulte, il est souvent perçu comme la marque d'une perte de contrôle de soi. Et pourtant. À bien entendre le cri, on découvre qu'il est aussi la forme de révolte la plus profonde et la plus humaine qui soit.
Si les résultats étaient probants, cela signifierait que crier quand on a peur permet de conserver un souvenir plus vif de l'événement déclencheur.
Crier « Ooh ! » peut aider à augmenter la tolérance à la douleur. Et si on le fait par réflexe, cela « fonctionne » vraiment et peut presque s'expliquer, selon cette étude de psychologues de l'Université de Singapour.
Alors, le magazine Pèlerin nous révèle les neuf règles d'or pour se parler sans crier. C'est ce qu'on appelle la Communication Non Violente. Ne pas chercher à convaincre à tout prix, savoir écouter, ne pas juger, cela parait de bon sens et assez vertueux.
Souvent, les personnes qui crient sont les personnes qui n'ont pas confiance en elles. Vous criez comme pour convaincre les autres, comme pour vous donner plus de crédit.
Parmi les facteurs externes on peut trouver : des facteurs de stress éventuels comme un sentiment d'insécurité, des horaires de soins inappropriés aux rythmes de la personne, des stimulations environnementales excessives ou, à l'inverse, insuffisantes (crier étant une manière de créer une stimulation), des déficits ...
Les hallucinations auditives constituent l'un des principaux symptômes de la schizophrénie. Des chercheurs ont cherché à comprendre les origines biologiques de ces "voix". Ils ont découvert que la capacité à subir ces hallucinations apparaissait bien avant le diagnostic de la maladie, parfois même dès l'enfance.
N'importe qui est capable de se parler tout seul dans sa tête : se faire sa liste de courses du week-end, fredonner une chanson, faire un calcul, lire silencieusement… Ces pensées sont comme « formulées » par une petite voix dans la tête. Pour l'instant, la science était incapable de comprendre ce phénomène.
La démence est causée par un ensemble de maladies et de traumatismes qui affectent principalement ou dans une moindre mesure le cerveau, comme la maladie d'Alzheimer ou l'accident vasculaire cérébral. La démence est l'une des causes principales de handicap et de dépendance parmi les personnes âgées dans le monde.
Les premiers symptômes de la démence sénile restent les troubles de la mémoire, ainsi que de l'altération de la capacité de réflexion et d'orientation. Ils se développent petit à petit jusqu'à engendrer chez la personne âgée une perte quasi totale de ses aptitudes à communiquer avec son environnement.
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Une faible estime de soi
Ce qui fonde l'autorité, c'est le sentiment de sa propre légitimité : savoir que l'on est en droit d'exprimer son désir, de demander, et parfois d'imposer. Lorsque cette représentation est claire, l'autorité en découle assez naturellement.
C'est un mécanisme de défense qui contrôle une structure très concrète du cerveau : l'amygdale. Il suffit d'écouter un son aigu, un ton de voix élevé pour que dès cet instant, une petite aire cérébrale l'interprète comme une menace et active notre système nerveux sympathique pour activer la fuite.
Pourquoi ? Parce que ce son strident arrive au cerveau par l'amygdale, structure cérébrale impliquée dans la perception des émotions, et notamment de la peur. Ainsi, « les cris ne sont pas seulement considérés comme des sons mais aussi comme des déclencheurs d'une sensibilisation accrue […].