Nos oublis peuvent provenir d'un manque de disponibilité, c'est-à-dire d'un manque d'attention soit en cas de fatigue physique, soit lorsque nous sommes préoccupés. Par ailleurs, dans certains cas, il peut s'avérer nécessaire d'oublier notamment quand on a vécu un évènement traumatisant.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
Les gens qui oublient facilement seraient en fait très intelligents. Leur cerveau mettrait ainsi naturellement à jour leurs souvenirs et les informations dont ils ont besoin pour bien penser. Preuve s'il en fallait encore que le corps humain est une formidable petite machine.
Il y a diverses raisons pour lesquelles nous oublions ce que nous apprenons. L'une des raisons est que l'information n'est pas conservée dans notre mémoire. Une autre raison est qu'il est difficile de traiter de nouvelles informations et de les convertir en mémoire à long terme.
Une mémoire infaillible est classiquement considérée comme une preuve du bon fonctionnement intellectuel. Mais, loin des clichés, oublier certaines informations ne serait ni un signe de bêtise ni de perte de capacités.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les causes des oublis fréquents
Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire. On en fait trop alors le cerveau, qui ne peut tout enregistrer, fait le tri !
L'amnésie (ou « syndrome amnésique » dans le vocabulaire médical) est une perte partielle ou totale de la mémoire. Elle peut être permanente ou transitoire, partielle, normale ou pathologique. De l'oubli bénin aux pathologies neurodégénératives, il existe de nombreuses maladies entraînant une altération de la mémoire.
Un des exercices de rééducation les plus courants consiste à favoriser les l' « encodage » de l'information et son « rappel » par des indices ; sur une liste de mots à retenir, il faut rappeler au sujet qu'il y a un nom de fleur, cela facilitera grandement le rappel.
L'oubli peut également être du à des causes traumatiques, on parle alors d'amnésie. Une défaillance des mécanismes d'oubli peut être source d'hypermnésie, une trop grande accumulation de souvenir, qui peut être considérée comme une pathologie (maladie cependant rarissime).
L'intelligence regroupe le raisonnement et la culture, correspondant à diverses aptitudes cognitives… qui reposent presque toutes sur la mémoire. Et si l'intelligence n'était que de la mémoire ? Une mémoire « colossale » est nécessaire pour retenir toutes les informations contenues dans un livre.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
L'oubli motivé est un processus généralement sélectif, induit expérimentalement ou de façon volontaire, au cours duquel des souvenirs liés à un traumatisme ou à un stress sont refoulés dans l'inconscient et réprimés [6]. Mais il peut également affecter des informations neutres comme des mots ou des noms.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Pour stimuler sa mémoire, il existe trois plantes complémentaires : le ginkgo biloba, le thé vert et la rhodiola rosea.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage. La parole et la pensée ne sont alors plus synchronisées.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
Le ginkgo biloba
Ses nombreux principes actifs sont réputés pour agir sur toutes les pertes de mémoire, y compris les troubles plus graves comme la maladie d'Alzheimer. "Il s'utilise aussi bien sous forme d'extraits liquides, en gélules ou simplement en infusion.
En tant qu'adulte, il vous est certainement déjà arrivé, à un moment ou à un autre, de chercher vos mots. Lorsque cela se manifeste, on dit communément qu'on a «le mot sur le bout de la langue». Un trou de mémoire peut survenir n'importe quand, mais en particulier lorsque l'on est très fatigué.
En cause : le manque d'activité physique. Même une courte balade à l'air frais peut vous aider à mieux alimenter les cellules de votre cerveau en oxygène et à les remettre sur la bonne voie.