Les femmes adoptent les robes à la romaine, silhouette héritée du Directoire (1795-1799) à la taille haute remontée sous les seins et largement décolletée que couvre un long châle de cachemire. Ces robes d'abord à longue traine, deviendront de plus en plus courtes sous l'Empire.
LA COMPOSITION D'UNE TENUE de cour
La femme est vêtue d'une tenue de cour composée de divers éléments. Sous la robe, elle porte une chemise, un corps à baleines, un panier et, parfois, un jupon. Le corps à baleines peut être rigidifié à l'avant par un busc et est serré par un système de laçage à l'arrière.
Chaque homme avait un justaucorps, des culottes courtes, une longue veste, et parfois un jabot blanc. Les vestes, généralement de brocart, étaient très ajustées en haut, et en bas, elles s'évasaient du corps, laissant une place pour l'épée pour descendre jusqu'au genou. Les manches sont ajustées et ornées de galons.
Années 1900
Les femmes portent d'immenses chapeaux, des boléros à cascade de dentelle, des jupes en corolle et des corsages ornés de perles ou de franges. La tournure devient une robe à traîne qui sera le symbole de la Belle Époque.
L'habit à la française est l'habit masculin par excellence du 18e siècle. Il se compose d'une veste longue, d'un gilet, d'une culotte qui s'arrête en dessous du genou, et d'une paire de bas de soie. La veste perd progressivement de son ampleur pour se projeter vers l'arrière.
Les femmes adoptent les robes à la romaine, silhouette héritée du Directoire (1795-1799) à la taille haute remontée sous les seins et largement décolletée que couvre un long châle de cachemire. Ces robes d'abord à longue traine, deviendront de plus en plus courtes sous l'Empire.
Les nobles s'habillaient avec des collants, des tuniques et des vêtements qui étaient plus coûteux, comme de la fourrure (par exemple de la fourrure d'hermine) ou de la soie, et des teintures chères.
Durant la journée, elles portaient une robe avec une taille très basse, ceinturée autour des hanches ou de la taille. Les robes de jour avaient des manches longues ou courtes et une jupe de longueur genou ou descendant jusqu'aux chevilles.
A l'époque, il était considéré comme un peu grossier de mettre ou de retirer ses gants complètement en public et les femmes s'assuraient de mettre leurs gants dans l'intimité de leur maison avant de se rendre à un événement.
En 1895 : le summum de la mode des manches gigot. En 1897 : les manches redeviennent plus simples. En 1901, la nouvelle silhouette en S. Publicité d'un corsetier pour ses corsets nouveaux.
Les femmes portaient une robe. Ce mot désignait l'ensemble du vêtement féminin. Les femmes du peuple portaient une cotte sans manches ou à manches courtes (rallongées en hiver par laçage ou épinglage) sur leur chemise.
La tenue est généralement composée d'un pantalon ajusté, d'une chemise, d'un gilet coloré et d'un habit ou d'une redingote. Elle est complétée d'un chapeau haut-de-forme et d'une cravate qui peut, elle aussi, apporter une touche de couleur dans ce costume sombre.
Ainsi l'on porte spencers, jaquettes, vestons et redingotes en habit de jour morning dress. La queue-de-pie est réservée à la soirée. Sur les têtes règnent les werthers ou les bicornes, les chapeaux melon et hauts-de-forme, puis les chapeaux-claque.
Le corps de jupe et le bas de jupe sont toujours de couleurs claires et à motifs alors que la robe (par-dessus la jupe) est noire. Celle-ci possède des mancherons fendus et noués au coude sur la manche du corps. La robe s'ouvre sur la jupe ou cotte. Cette dernière est parfois relevée sur la cotte de dessous.
Les tissus les plus prisés étaient le velours puis le taffetas et le satin et enfin la « toile d'argent ». A l'époque, les manches sont interchangeables et peuvent être rajoutées à différents vêtements.
La femme idéale n'a alors que peu de formes, pas de taille marquée, peu de poitrine ; certaines se bandent les seins pour paraître plus androgynes ! La mode des années folles voit le triomphe de la ligne droite et de la taille très basse, au niveau des hanches.
Du côté du vêtement, cela se traduit par une certaine uniformité : la journée, on porte un tailleur simple, avec une veste longue et une jupe à mi-mollets, ou une robe aux lignes épurées, héritées de l'Art Déco. Pour la soirée, les robes années 1930 marquent la taille sans excès : c'est le retour des formes !
Des mitaines (2).
Le style des années 30
Les femmes jouent la carte d'une féminité conservatrice, entre épouse raffinée et mère de famille dévouée. En journée, elles portent ainsi des tailleurs-jupe allègrement austères, longueur mi-mollets, tandis que les robes du soir se la jouent épurées, soulignant la silhouette avec fluidité.
Le charleston a été créé aux États-Unis dans les années 1920, au sein de la communauté noire américaine, et a, en raison de son style dynamique et spectaculaire, un succès considérable à l'époque.
Un modèle Charleston doit de préférence présenter des bretelles fines, des franges et pourquoi pas des étages de tissus, avoir un tombé lâche façon nuisette sans être donc marquée à la taille, être ornée de dentelle, de perles et autres sequins.
La reine portait une chemise de fine toile de laine ne dépassant pas les genoux et une robe d'ottoman de soie violette. Par-dessus une longue tunique de soie rouge foncé. Des bas de toile de laine enserraient ses jambes. Un voile de satin rouge descendait jusqu'à la taille.
La laine donnait des tissus (les langes) qui servaient à confectionner des vêtements. ; Les Génois produisaient le velours. Le lin servait à la création des linges c'est à dire des draps ou des vêtements.
La chappe est la cape ou manteau de couronnement dont était revêtu le futur monarque au cours du sacre des rois de France. Un nouveau manteau était créé à l'occasion de chaque couronnement.
Les hommes portent des costumes sombres (noir, gris, bruns ou bleus) généralement coupés dans des lainages comme de la flanelle. Il portent un pantalon à taille haute, une chemise et un gilet. Pour sortir, ils ajoutent un manteau ample à bavolet ou une redingote et un chapeau.