Pour quelle raison ? Pour exprimer ses sentiments, pour se libérer d'un poids et se remettre d'une émotion forte, pour montrer qu'on est vulnérables, pour créer des liens humains, et parfois, pour manipuler les autres.
L'hypersensibilité peut être aussi en soi une cause à des pleurs très réguliers : plus enclins à exprimer leurs émotions, les hypersensibles communiquent avec les autres de cette manière, et ce n'est pas pour autant une faiblesse.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
L'anxiété peut être l'une des causes des pleurs sans raison. L'anxiété crée un fort stress émotionnel et physique que nous sommes très souvent incapables de gérer et qui peut conduire à diverses expressions telles que des crises d'angoisse ou des sentiments de profonde tristesse que nous exprimons à travers les larmes.
Lorsque la simple perspective de se lever le matin paraît insurmontable, que les larmes se mettent à couler sans raison et que les idées noires se bousculent, alors il s'agit peut-être d'une dépression.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
Pleurer par émotion se reflète chez une personne dont les larmes coulent souvent à travers de gros sanglots, suite à une souffrance due à une situation difficile à accepter. La personne laisse son mental la diriger et s'apitoie inconsciemment sur son sort en entretenant ses peurs et ses culpabilités.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Il s'agit en général alors d'une HS généralisée : on pleure lors des films ou des moments tristes, des remarques rejetantes, des périodes de vie difficiles… Plus rarement, c'est la conséquence d'événements de vie qui ont fragilisé la personne, et l'HS est souvent plus « localisée », comme dans votre récit, par exemple ...
Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Le simple fait d'être à ses côtés et de dire (ou d'insinuer) « je suis là pour te soutenir » suffit largement. Vous pouvez réconforter quelqu'un qui ne vous dit jamais ce qui le contrarie. Sachez que ce genre de choses peut arriver et c'est tout à fait normal.
L'hyperémotivité : être à fleur de peau
On dit souvent d'une personne hypersensible qu'elle est « à fleur de peau ». Cette grande émotivité est la caractéristique la plus évidente. Même si c'est loin d'être la seule. Au sens figuré l'expression « être à fleur de peau » signifie « être très sensible ».
La fatigue émotionnelle au niveau de l'individu
Intérieurement, le sujet fatigué émotionnellement ressent une fatigue chronique au travail, physique et mentale, un sentiment d'être vidé et d'une difficulté à être en relation avec les émotions des autres, ce qui rend le travail de plus en plus difficile.
Nous sommes tous sensibles et émotifs : cela a une vraie fonction sur notre être vivant”. Elle explique : “A l'intérieur de notre système nerveux il y a toute une manière de fonctionner, on cherche à s'adapter en soi même et à son environnement, et cette sensibilité est précieuse.”
Les signes d'anxiété et de dépression sont très répandus en cas de stress chronique. Vous pouvez fondre en larmes sans raison apparente et remarquer une baisse de confiance et d'estime en vous, ainsi qu'un sentiment de culpabilité.
Pourquoi pleure-t-on de joie? Selon des psychologues de l'Université de Yale, exprimer une réaction négative nous aide à faire face à une joie extrême. Nos larmes rétablissent l'équilibre émotionnel vacillant en nous et gardent nos émotions sous contrôle.
Une inflammation du sac lacrymal de l'œil, ou dacryocystite provoque des larmoiements nombreux et persistants, comme lors d'un gros rhume ou d'une sinusite.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Les larmes d'émotion contiennent plus de protéines que les autres types de larmes, de même que des hormones, du manganèse et du potassium. Selon des chercheurs de l'Université de la Floride du Sud, pleurer permettrait d'en rétablir les taux dans le corps, ce qui contribue à conserver l'organisme en bonne santé.
Une réponse naturelle de votre corps. Par ailleurs, lorsque vous pleurez, les vaisseaux sanguins autour de vos yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux.
L'absence de larmes serait également – dans certains cas - l'un des symptômes de troubles psychologiques, comme la dépression, les troubles bipolaires, ou le stress post-traumatique. about-tearing-up). Il est donc important que la personne n'arrivant pas à exprimer ses émotions puisse consulter un professionnel.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.