Pour les psychologues, la personnalité psychorigide est un mécanisme de défense lié à des troubles obsessionnels. On parle ainsi de
2. Qui manifeste une grande intransigeance, qui applique à la lettre des règles, des normes : Un juge rigide. 3. Qui se caractérise par un manque de souplesse : Une éducation rigide.
La rigidité cognitive est la conséquence du manque de flexibilité mentale. Par conséquent, elle peut être définie comme l'incapacité à changer de conduite ou de croyance même si celles-ci ne sont pas efficaces pour atteindre nos objectifs.
Le psychorigide ne se remet jamais en question... Ce comportement peut glisser vers le type dictateur ou encore manipulateur, ... On détruit l'autre et soi par le biais de tel comportement. Ce sont des personnes qui "victimisent" l'autre.
Vivre avec une personne psychorigide est difficile. Pour vivre avec une telle personnalité au mieux, il convient de ne pas l'encourager dans ses obsessions, son perfectionnisme et son besoin de tout régenter. Vous pouvez l'aider en définissant pour elle des priorités dans les choses à faire, ce qui calme ses angoisses.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Définitions : analyste - Dictionnaire de français Larousse.
Saisir plusieurs dimensions d'une même réalité; Effectuer facilement une transition d'une activité à une autre; Modifier sa perspective à la lumière d'une nouvelle information issue de l'environnement; Tolérer les changements qui peuvent survenir durant l'exécution d'une tâche.
Faire preuve de flexibilité cognitive, c'est d'être capable d'être souple dans sa façon de comprendre les situations et d'y réagir, et cela, en fonction de la réalité.
Présomptueux : Définition simple et facile du dictionnaire.
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
"Les “j'ai-toujours-raison” se caractérisent souvent par une difficulté d'écoute et d'empathie. Ils sont trop passionnés et concentrés sur leur discours pour pouvoir écouter quelqu'un d'autre, ou alors ils se braquent par peur d'avoir le dessous", explique Christophe André, psychiatre à Paris.
Avoir le dernier mot est parfois perçu comme la seule façon de faire respecter son être désirant. La psychologue Geneviève Djénati2 explique que cette attitude est souvent le fait de « personnes qui n'ont pas pu, petites, exprimer ce qu'elles souhaitaient.
Strictes, inflexibles: les personnes psychorigides dirigent leurs existences grâce à un arsenal de règles auxquelles il ne faudrait déroger sous aucun prétexte. Un cadre qu'ils ont tendance à imposer à leur entourage. Comment les aider à s'assouplir?
On ne naît pas psychorigide, on le devient. Selon la théorie psychanalytique, il s'agirait de personnes qui auraient trop idéalisé leurs parents : elles éprouveraient ainsi une grande satisfaction à se conformer à des règles, de la même façon, qu'enfant, elles obéissaient aux adultes.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.
Celui qui ne se remet pas en question peut avoir peur de reconnaitre sa propre responsabilité dans un évènement, et le sentiment de culpabilité qui en suit peut du coup l'amener àfuir certaines réalités. Il peut alors à l'extrême adopter un comportement de « victime » et rejeter systématiquement la faute sur l'Autre.
Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.