Des chercheurs australiens en psychologie de la musique suggèrent qu'écouter de la musique pourrait être la réponse à une meilleure nuit de sommeil. Écouter de la musique au coucher peut non seulement aider les gens à s'endormir plus rapidement, mais aussi améliorer la qualité du sommeil.
Écouter de la musique pour dormir peut aider les muscles à se détendre et permettre à l'esprit de se relaxer en plongeant dans un état de somnolence. Le cerveau libère plus de mélatonine (hormone du sommeil), ce qui permet de bénéficier d'un sommeil réparateur sans utiliser de médicaments.
De la musique classique. Si ces musiques ne sont pas à votre goût, essayez le Jazz, le Blues, le Folk, la musique traditionnelle japonaise, la musique celtique, la musique indienne ou tibétaine comme musique relax pour s'endormir.
pourquoi L'abus de musique est déconseillé
Une étude a en effet démontré qu'écouter trop de musique pouvait rendre totalement amorphe et apathique. De la même manière qu'une overdose de malbouffe, écouter de la musique sans arrêt peut nous conduire à manger plus sans même faire attention à ce qu'on mange.
La musique favorise des niveaux plus élevés de dopamine dans le cerveau, d'où une sensation de plaisir. Elle améliore la motivation et l'endurance lors de la pratique d'un sport. Elle est utile à l'hôpital pour diminuer le stress et la douleur de patients en chirurgie.
Néanmoins, en s'endormant devant la télévision, nous sommes exposé. e.s à la lumière bleue de l'écran. Cela empêche ainsi à la production de mélatonine d'atteindre son pic, et envoie un mauvais signal à notre corps : celui de rester éveillé. L'endormissement est donc perturbé par la télévision.
Le fait d'avoir trop d'énergie dans une pièce est tout aussi désavantageux que trop peu d'énergie dedans. L'énergie accrue par la présence d'un miroir garantit qu'il est plus difficile pour vous de vous reposer et que votre sommeil est par conséquent plus agité et moins reposant.
Les micro-endormissements que l'on appelle vulgairement par l'expression “piquer du nez” ont plusieurs causes : il peuvent être la conséquence d'apnées du sommeil non traitées, d'un travail en horaires décalés, d'une dette de sommeil, de repas trop copieux...
Certaines maladies, en particulier neurologiques ou endocriniennes, ainsi que certains médicaments, peuvent entraîner cette somnolence. Des maladies chroniques comme l'asthme, l'insuffisance cardiaque, les maladies rhumatismales ou d'autres maladies douloureuses chroniques qui fractionnent le sommeil ont le même effet.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.
Privilégiez donc des musiques douces avec des thèmes musicaux qui se rapportent à la relaxation comme la nature, la mer, la forêt, etc. Préférez également écouter la musique avec un volume bas et sans écouteurs ! Vous allez du mal à vous endormir sans musique ? C'est peut être votre matelas qui ne vous convient pas.
Elle favorise la neurogenèse. Il s'agit du processus par lequel notre cerveau développe davantage de neurones, améliorant ainsi nos capacités cognitives. Elle libère de la dopamine qui améliore l'humeur générale. Elle peut améliorer la capacité d'attention.
Un neurologue explique cette insensibilité totale à la musique : l'anhédonie musicale, une maladie qui touche entre 3 à 5 % de la population mondiale et qui s'explique par une absence de connexion entre les régions cérébrales du son et de la récompense.
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
La dopamine produite par le cerveau diffuse un bien-être chez une personne écoutant la musique au moment opportun, source de bienfaits physique et mental. La musique adoucit les mœurs en influençant le comportement et les émotions. La musique soigne aussi.
Garder le cerveau en santé
Des études montrent que la pratique musicale peut aller élargir certaines parties du cerveau responsables de l'activité motrice et perceptuelle. Ces effets sont particulièrement visibles si une personne commence à pratiquer la musique avant l'âge de 7 ans.
A noter également que si la musique peut booster votre bonne humeur, elle peut également pour les personnes à forte sensibilité et à tendance mélancolique provoquer l'inverse, surtout quand celle écoutée est plutôt triste ou qu'elle peut vous mettre également dans d'autres états négatifs.
Il s'agira de comprendre comment la musique peut aussi conduire à l'aliénation. Pour ce faire, il importe de faire référence à la pensée de Quignard à propos de la haine de la musique. En postulant que les «oreilles n' ont pas de paupières» (1997, p. 108), Quignard signale que l'humain est soumis aux sons qu'il entend.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
La musique améliore la capacité d'apprendre des enfants.
Les activités musicales exercent entre autres l'écoute, la mémoire, l'attention, l'organisation de la pensée et la capacité de votre tout-petit à contrôler certains comportements.
Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale… La salive joue un rôle protecteur important sur les dents.
En règle générale, la durée est inférieure à 5 heures. Pour les longs dormeurs, la durée dépasse les 10 heures de sommeil par 24 heures, durée qui peut atteindre 12 à 14 heures le week-end. Dans les deux cas, le sommeil est efficace : le rapport temps passé au lit sur temps dormi est normal.