La connaissance est, en ce sens, une voie qui satisfait un désir de liberté. Elle permet à l'esprit de s'affranchir des superstitions, des craintes, des désirs puérils. Elle substitue des pensées d'entendement aux pensées d'imagination et c'est sans doute par cette ascèse que l'esprit accède à sa maturité.
L'acquisition de la connaissance nous permettra aussi de rendre service à autrui. Grâce à nos connaissances, nous pouvons aider les gens à vaincre la maladie et la souffrance, trouver le moyen de rendre la vie plus productive, et fournirons la nourriture, les vêtements et le gîte nécessaires à notre famille.
La connaissance est un rapport actif au monde qui vise à s'en faire une représentation et à l'expliquer. Cette activité associe généralement l'action et la réflexion. Il existe divers types de connaissances plus ou moins efficaces, plus ou moins fiables et réalistes.
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
La connaissance acquiert du même coup une valeur privilégiée, puisque loin d'être abstraite ou relative, elle nous unit à l'être même, dans son intimité et dans sa vérité absolues.
L'objet de la connaissance constitue en quelque sorte une limite jamais atteinte. Par ailleurs, le sujet lui-même n'est pas donné une fois pour toutes. Il évolue au contact de la réalité, il élabore de nouveaux instruments de connaissance qui modifient, à des degrés divers, sa manière d'appréhender l'objet.
Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature. 2. Opération par laquelle l'esprit humain procède à l'analyse d'un objet, d'une réalité et en définit la nature : Connaissance intuitive.
La connaissance se cherche, se trouve, s'enseigne, s'acquiert : il s'agit d'une activité à la fois individuelle et collective. Une connaissance donnée est construite sur un ensemble de concepts.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
« Les connaissances déclaratives, procédurales et conditionnelles ».
La définition traditionnelle suggère donc que lorsqu'une croyance s'appuie sur des bonnes raisons, et qu'elle est vraie, alors c'est une connaissance.
Dévoilez-vous progressivement. Parlez de vous, dévoilez-vous peu à peu pour attiser la curiosité de l'autre et l'inviter à vous interroger sur ce qui vous passionne. Répondez honnêtement aux questions tout en gardant un esprit positif avec un peu de mystère pour vous faire désirer.
Connaissance désignerait l'acte psychologique (et pas seulement de la pensée) qui pose un objet en tant que distinct du sujet, avec l'impression de pénétrer et de « comprendre » cet objet de connaissance. Mais aussi le contenu de celle-ci (« les connaissances »).
Article détaillé : Anthropologie. Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. C'est aussi cette connaissance qui structure le groupe humain.
Connaître, c'est être capable de se ressouvenir. Platon admet que l'on ne peut pas chercher ce que l'on ne connaît absolument pas, et qu'il n'est possible de chercher que ce que l'on connaît d'une certaine manière.
Les sens peuvent être sujets à des illusions, donc il faut une méthode pour distinguer les illusions des connaissances objectives. De plus, les sens peuvent être insuffisant pour avoir une connaissance vraie, pour par exemple comprendre l'infiniment petit ou l'infiniment grand.
Le petit Larousse dit que la compétence est la capacité reconnue en telle ou telle matière en raison des connaissances possédée et qui donne le droit d'en juger. Il nous apprend que la connaissance est l'action, le fait de comprendre, de connaître les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose.
Les limites constructives sont relatives à l'impossibilité de construire un discours scientifique qui échappe à tout doute et qui repose sur des fondements sûrs. Les limites prédictives montrent l'impossibilité de prévoir certains phénomènes avec une précision arbitraire sur une échelle de temps indéterminée.
Sur le plan sémantique, connaître, c'est avoir la connaissance de l'existence d'une chose, c'est l'identifier, la tenir pour réelle; tandis que savoir, c'est avoir une connaissance approfondie d'une chose qui résulte d'un apprentissage, c'est avoir dans l'esprit un ensemble d'idées et d'images constituant des ...
La meilleure connaissance est celle qui mène les hommes vers les hommes.