Vous rêvez de transmettre et de travailler auprès de jeunes enfants ? Le métier d'institutrice en maternelle vous correspond sûrement ! Cette profession permet d'enseigner aux plus petits les règles de base du savoir-être, ainsi que des connaissances pour entrer en école primaire.
Pourquoi avez-vous choisi ce métier d'institutrice maternelle ? Pour le plaisir d'enseigner aux enfants. J'ai toujours aimé m'en occuper, particulièrement des plus petits. Etre institutrice me semblait être un bon moyen pour être en contact permanent avec eux.
Travailler en maternelle, c'est aussi épauler les enfants dans leur émancipation et dans le déploiement de leur personnalité : vous pourrez les aider à apprendre, à grandir et à s'épanouir.
Pourquoi as-tu choisi d'enseigner ? Une des raisons principales pour lesquelles j'ai voulu enseigner, c'est que c'est un métier où l'utilité sociale est visible, voire palpable. Au quotidien tu vas voir le fruit de ton travail et tu vas pouvoir en être fier. Ça comptait beaucoup pour moi.
Pourquoi c'est important
La responsabilité d'un enseignant ne se limite pas à enseigner. Son rôle consiste à aider les élèves à acquérir les compétences nécessaires pour résoudre des problèmes, analyser, se concentrer sur des tâches difficiles, développer une pensée créative, communiquer et travailler en équipe.
La seule consigne: être honnête. Selon mes élèves, un bon enseignant doit être persévérant, aimable, encourageant, attentif, accueillant, respectueux, calme mais énergique, patient, très poli et serviable. De plus, il doit toujours trouver le bon moyen de faire comprendre les notions académiques aux élèves.
Toute la vie, notre milieu est notre éducation, et un éducateur à la fois sévère et dangereux.” “L'éducation consiste à nous donner des idées, et la bonne éducation à les mettre en proportion.” “Chacun est le fruit d'une éducation mais le plus grand éducateur, c'est la personne elle-même.”
Mais la souffrance ordinaire des enseignants est essentiellement liée, selon l'analyse de Françoise Lantheaume, au sentiment de ne pouvoir faire ni ce que l'institution et les parents d'élèves demandent de faire, ni ce qu'eux-mêmes en tant qu'enseignants souhaitent pouvoir faire.
Participer au développement et à l'épanouissement des enfants. C'est sans doute ce qu'il y a de plus gratifiant pour les professionnels de la petite enfance : savoir qu'on participe activement à l'éveil de l'enfant, à son apprentissage et à son épanouissement.
L'école maternelle est une étape essentielle du parcours des élèves pour garantir leur réussite scolaire. Sa mission principale est de donner envie aux enfants d'aller à l'école pour apprendre, affirmer et épanouir leur personnalité. C'est une école où les enfants vont apprendre ensemble et vivre ensemble.
Par exemple, vous pouvez dire : « Lors des périodes d'adaptation, j'aime prendre le temps de découvrir l'enfant, mais aussi les parents. Je suis disponible pour répondre à toutes leurs questions et je reste à l'écoute de leurs préoccupations et de leurs attentes. »
Sa mission : apprendre à lire, écrire, compter et bien plus encore. Professionnel de la pédagogie, le professeur des écoles apprend aux élèves à lire, à écrire, à compter, mais son rôle ne se limite pas à cela. Il engage les élèves dans la construction de leurs parcours éducatif et scolaire.
L'instituteur préscolaire (maternel) prend en charge les enfants de deux ans et demi à six ans. Il favorise leur développement en proposant des activités d'apprentissage basées sur le jeu. Il accompagne l'enfant à une période cruciale de la structuration de sa personnalité.
La première année où vous êtes titularisé, la rémunération est d'environ 2 100 € nets par mois. Le salaire monte à environ 2 300 € au bout de 10 ans, atteignant plus de 3 900 € en fin de carrière (échelon 5 de la grille indiciaire « classe exceptionnelle »).
Résumé Les enseignants se plaignent de ne plus pouvoir faire leur travail « comme il faut ». L'intéressement des élèves toujours à reconstruire, l'arbitrage délicat entre des tâches diversifiées, et le sens même du travail, sont les principales difficultés sources d'une souffrance au travail « ordinaire ».
"Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien." “Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.” “N'aie pas peur d'avancer lentement. Aie peur de rester immobile.”
Suivre cet adage implique de mettre l'élève dans la posture d'enseignant, ou du moins de tuteur plus avancé que ses camarades. Étant amené à traduire le savoir pour l'expliquer à ses pairs, il endosse la responsabilité de son apprentissage.
L'éducation est un puissant facteur de changement. Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
Pour le NCTE, un bon ensei- gnant, c'est d'abord un professionnel qui a des connaissances approfondies de ses contenus d'enseignement, qui uti- lise une pédagogie efficace et qui déve- loppe des outils d'évaluation formative qui aident ses élèves à s'engager dans les apprentissages.
Il pose de nombreuses questions et pratique un feedback positif (des louanges rares, mais distribuées à bon escient). Il est expert, s'intéresse aux apprentissages fondamentaux et se démarque de l'enseignant « animateur ».
Un bon pédagogue est une personne capable de souligner des efforts et les réussites de ses apprenants.
L'enseignant « fait autorité » en classe, du fait de ses capacités et compétences spécifiques. assumer son statut et ses choix, et à mettre en place et maintenir un climat de classe propice aux apprentissages.