Réparer les grandes fautes du monde : « L'Eglise et le monde ont un grand besoin de culte eucharistique. Jésus nous attend dans ce sacrement d'amour. Ne mesurons pas notre temps pour aller le rencontrer dans l'adoration, dans la contemplation pleine de foi et prête à réparer les grandes fautes du monde.
C'est par l'Eucharistie que nous est donnée la Vie de Dieu, le Pain de la route. Recevoir le Pain de Dieu nous invite à partager notre pain avec nos frères en humanité. L'Eucharistie structure la vie chrétienne, elle la ponctue, elle est la respiration dans la vie spirituelle.
Le premier acte d'adoration, ne l'oublions pas, c'est la communion, puisque "adorare" veut dire "porter à la bouche". L'adoration eucharistique, elle, consiste à regarder le Christ mais surtout à se laisser regarder par lui, à se laisser faire par lui. C'est tout sauf un tête à tête confortable entre Jésus et moi.
La communion accroît notre union avec le Christ. Recevoir l'Eucharistie en communion donne comme fruit principal l'union intime avec le Christ Jésus.
L'adoration eucharistique est le moyen le plus simple et direct ici-bas pour voir Dieu. Tu regardes Jésus, il te regarde. Si tu ne sais faire que cela, c'est déjà beaucoup. Pose ton regard sur l'hostie, la croix ou le tabernacle, tu verras combien il t'a aimé et combien il t'aime en ce moment.
Réelle et pleine présence du Christ, l'eucharistie est parmi les sept sacrements celui par lequel Jésus-Christ livre son corps et son sang afin que les chrétiens qui le reçoivent soient unis à lui dans la sainte communion. Par elle, ils sont ainsi liés au seul corps du Christ, l'Église.
Le fait d'adorer Dieu ne montre pas seulement notre amour et notre engagement envers lui, cela nous donne aussi la force de respecter ses commandements. Le fait de rendre un culte à Dieu accroît notre connaissance et notre fidélité.
Des personnes divorcées remariées ou vivant en concubinage souffrent de ne pas pouvoir communier, recevoir l'hostie. Elles se sentent exclues, rejetées par l'Église et sont conduites parfois à ne plus participer à la messe.
L'eucharistie est avant tout le sacrifice du Christ qui donne son corps et son sang. Dès lors, y participer sans aller communier peut interroger. Cela rappelle avant tout qu'accueillir Jésus en soi n'a rien d'une évidence et appelle une préparation du cœur.
Etre baptisé.
Puisqu'une des finalités de la Communion est de nourrir en nous la vie divine, la première condition pour pouvoir recevoir l'eucharistie est d'avoir reçu le baptême. Les personnes non baptisées (donc les catéchumènes compris) ne peuvent donc pas recevoir la sainte Communion.
Ils prennent en effet la forme de phénomènes extraordinaires et surnaturels, comme la transformation du pain et du vin en chair et en sang, la lévitation de l'hostie, des guérisons soudaines ou encore des apparitions…
Culte rendu à Dieu, à une divinité, à des objets sacrés en relation avec la divinité.
Tu commences ton adoration silencieuse par un acte de foi en la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie. « Seigneur, je crois que tu es présent sous le signe du pain dans l'hostie. Je t'adore et je te rends grâce ». Tout au long du temps d'adoration, relance ta prière par un acte de foi vivifié par l'amour.
Puisque la mission de Jésus consistait essentiellement, ainsi leur disait-on, à sauver par sa mort les hommes de leurs péchés, il leur paraissait bien évident, non seulement que Jésus prévoyait sa mort, mais encore que celle-ci lui apparaissait d'entrée de jeu comme le but même de sa venue sur terre.
Du côté protestant, les Églises luthérienne et réformée notamment, qui constituent désormais en France une Église protestante unie, ont au contraire pris l'habitude, lorsqu'elles célèbrent la sainte Cène, d'inviter à participer toutes les personnes présentes qui croient en Jésus Christ.
Le déroulement est le même qu'une messe d'enterrement, mais il n'y a pas d'eucharistie.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
Les interprétations du recul sont variées : chute du nombre de croyants, exculturation de l'Église dans une société très sécularisée, désaccords intellectuels (en matière de bioéthique, par exemple) et pratiques (écarts par rapport à ses normes sexuelles et conjugales), liberté par rapport à l'obligation, pratiques ...
Le protestantisme insiste plus sur la transcendance infinie de Dieu et de sa grâce qui accueille chacun sans condition, le « prenez et mangez » évoque la foi, cette démarche personnelle de l'individu, le résultat étant le « ceci est mon corps » du Christ, une humanité un peu plus réconciliée en lui et par lui.
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée. Pour S. Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu.
Il s'agit d'être présent au Christ qui manifeste sa présence à travers l'ordination sacerdotale du prêtre célébrant, agissant en son nom. Aller à la messe, c'est rejoindre la communauté chrétienne en nous approchant de la table de l'Eucharistie. Aller à la messe, c'est renouveler notre foi.
L'eucharistie nous aide à vivre notre vie chrétienne. Mais lorsqu'on ne se sent pas prêt, on peut choisir en conscience de ne pas communier. La communion ne doit pas devenir un automatisme, souligne Sylvain Gasser, assomptionniste.
Adorer, c'est donc se mettre en sa présence afin de laisser l'amour grandir en nous. L'adoration du Corps eucharistique du Christ se fait lors de la célébration de la messe, particulièrement au moment de la consécration et de la communion.
Les vrais adorateurs sont habités par la pensée que quelqu'un a besoin de Jésus, veut venir ou revenir à Jésus. Ils renouvellent leur esprit, leur passion pour les âmes. Ils ont le cœur de Christ, tendent leurs bras vers ceux qui ont abandonné, vers ceux qui ont déçu et qui ont fait honte.