Le contreventement apporte renfort et stabilité à la structure d'un bâtiment, de toute construction. Il permet à une maison de ne pas s'écrouler sous l'effet des forces horizontales et verticales (vent, séisme, glissement de terrain).
Le contreventement est un principe constructif servant à stabiliser et rigidifier une structure. Il est utilisé : en toiture dans les parties inclinées : on parle alors de poutres au vent ; en façade dans les parties verticales : on parle de palées de stabilité.
En génie civil, un contreventement est un système statique destiné à assurer la stabilité globale d'un ouvrage vis-à-vis des effets horizontaux issus des éventuelles actions sur celui-ci (par exemple : vent, séisme, choc, freinage, etc.).
Un contreventement peut être réalisé par des voiles (contreventements verticaux) ou des plaques (contreventements horizontaux) en béton armé, en maçonnerie, en bois ou en tôle ondulée ; ou par des treillis en bois ou en acier.
Les voiles ou murs de contreventement sont définis comme des éléments verticaux à deux dimensions dont la raideur hors plan est négligeable. Dans leur plan, ils présentent généralement une grande résistance et une grande rigidité vis-à-vis des forces horizontales.
Il existe trois façons principales de contreventer un mur à ossature bois : les écharpes de bois ou de métal, les panneaux (ou plaques) à base de fibres de bois, et les panneaux en matière composite.
leur disposition : elles seront situées le plus symétriquement possible par rapport au centre de gravité des planchers et de préférence aux angles avec une largeur suffisante.
La valeur de la résistance prise en compte pour la vérification de la stabilité tient compte de la dispersion statistique inhérente au matériau. On parle de résistance caractéristique, c'est-à-dire une valeur qui a une probabilité de 95 % d'être inférieure à celle du matériau réellement mis en œuvre.
Ensemble des dispositions permettant à une structure de résister aux efforts horizontaux, de s'opposer aux déformations latérales provoquées par ces efforts ; par ex. triangulation, utilisation d'encastrements, liaison avec un remplissage rigide (maçonnerie, voile en béton armé).
raidisseur
1. Appareil servant à tendre les fils des clôtures, les fils téléphoniques, les câbles d'un appareil de manutention. 2. Câble métallique ou tout autre dispositif destiné à raidir les revêtements d'une aile ou d'un fuselage d'avion.
L'ensemble des éléments qui s'opposent aux déformations d'un mur à ossature bois forme le contreventement. On emploie de l'OSB (Oriented Strand Board, à lamelles minces orientées) de type 3 ou 4 (de 8 mm d'ép.
Les antiflambements des diagonales comprimées ne sont efficaces que si elles sont bloquées à leurs extrémités. On utilise des pointes torsadées, annelées ou crantées en excluant les pointes lisses. Les règles de clouages sont : 2 pointes de 70 mm pour les bois de stabilité d'épaisseur 25mm.
Vous devrez commencer par tracer un angle à 45° sur chaque extrémité à l'aide d'une équerre. Ensuite il vous faudra repérer la longueur L à une extrémité et la reporter sur la partie externe de la jambe de force en bois. Découpez ensuite les angles de la pièce en suivant les repères que vous avez tracés.
Les jambes de force doivent être fixées à 2/3 de la hauteur visible du piquet en respectant un angle de 45° par rapport au sol.
(Architecture) Dans une structure métallique, poutre qui sert à reprendre les efforts du vent afin de les transmettre aux fondations.
1. Qualité de ce qui est stable, de ce qui tend à conserver sa position d'équilibre : Vérifier la stabilité d'un véhicule. 2. Caractère de ce qui se maintient tel, sans profondes variations, pendant un temps assez long : La stabilité actuelle de la production.
Pour soutenir la structure, on s'aide des points jaunes qui sont en fait des points d'accroche de la structure sur la terre ferme. Un cadre peut se déformer, c'est le cas d'un échafaudage par exemple sur lequel une personne se trouve.
ea = max (2 cm ; L / 250) où L est la longueur libre du poteau. Pour déterminer cette excentricité et calculer la section d'acier, on utilise la méthode de Faessel.
Le« RPS 2000, version 2011 » répartit les bâtiments, selon leur usage principal en trois groupes de priorité sismique. A chaque groupe correspond un facteur d'importance ou de priorité sismique. Le facteur I donné dans le tableau 3.1, est un facteur additionnel de sécurité.
Si l'analyse utilise un modèle 3D de la structure dans un logiciel, la torsion naturelle est automatiquement calculée et le coefficient δ proposé est: δ = 1 + 0,6 x/Le ; x est la distance (en plan) de l'élément considéré au centre de gravité du bâtiment, Le est la distance entre les 2 éléments de contreventement ...
Également appelé voile de contreventement, le voile travaillant est un panneau dérivé de bois fixé sur les montants de l'ossature, à l'aide de vis, de pointes ou d'agrafes.
Si votre ossature est solide, vous pouvez clouer les panneaux en bois OSB. Voici comment faire : chaque panneau doit être maintenu par trois lambris. Clouez le premier tous les 15 cm, avec des pointes de 7 cm de long pour 2,5 mm de diamètre.
Concernant les normes de construction de maison ossature bois, le DTU 41.2 « Revêtements extérieurs en bois » le Sd d'un écran pare-pluie doit être inférieur ou égal à 0.18m. polypropylène ou en polyacrylique.
Le radier ou dallage
La différence entre le radier et le dallage réside dans le fait que l'un supporte le poids de l'ouvrage, le radier, et l'autre pas, le dallage.