Dehors est un adverbe, autrement dit un mot invariable dans son orthographe, qui signifie “à l'extérieur”, par opposition à “dedans” qui veut dire “à l'intérieur”. C'est un adverbe de lieu. Par exemple: Notre maison est bien chauffée en hiver, il fait bon dedans, quand bien même il fait très froid dehors.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Il y a des noms ou des adjectifs qualificatifs qui sont invariables. Ce sont des noms qui s'écrivent de la même façon au singulier et au pluriel. Ils ont en commun de se terminer tous par la lettre –s ou la lettre –x ou la lettre -z. Exemples : le bras, le tas, le mois, la souris, la noix, le nez…
Exemple : mais pourquoi faut-il toujours qu'il s'interpose ? Beaucoup plus rarement, le mot pourquoi s'emploie comme nom. Dans ce cas, il est invariable. On écrit au pluriel les pourquoi des enfants .
Là, aucune petite règle toute simple…
Au pluriel, les mots prennent souvent un -s . Ça, tout le monde le sait. Il y a aussi certains mots qui prennent toujours un -s à la fin tout simplement parce qu'ils sont toujours au pluriel : des honoraires, des frais… Jusque-là, c'est clair !
En français, la règle générale pour la formation du pluriel d'un nom ou d'un adjectif est de rajouter un s à la fin du mot. Les exceptions concernent les mots finissant par : -s, -x, -z, -al, -ail, -ou, -eau, -au, -eu, -œuf et -os.
Pourquoi le /s/ est-il la marque du pluriel la plus répandue ? L'orthographe des mots au pluriel se base sur le cas régime (proche de l'accusatif latin) du Moyen français. Au singulier, le cas régime de l'actuel /mur/ était /murum/, et le pluriel /muros/.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Donc, on peut le dire, le « -s » final de « toujours » est bien à l'origine le fameux « -s » du pluriel (= « tous les jours »). Ce n'est pas le cas pour « mais » et « jamais » qui se terminent par un « -s » dit adverbial, qu'on rencontre dans divers adverbes (« alors », « puis ») et prépositions (« après », « dès »).
Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette, il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison. Paul joue avec ses_amis. Michel est un enfant intelligent.
Mais d'où vient ce « z » ? Riso étant issu du latin oryza, ris est devenu « riz » par relatinisation. De cette manière, on le distingue du « ris », glande située à l'entrée de la poitrine du veau ou de l'agneau, très appréciée des gourmets.
Puits est issu du latin puteus, trou, fosse. Le mot, écrit puz, puiz et puis au début du XIIe s., a pris un t étymologique au XVIe s. pour éviter la confusion avec l'adverbe puis.
Les noms terminés par « z » sont invariables : un nez, des nez.
Cent et vingt sont invariables quand il y a un autre chiffre après. Cent et vingt s'accordent quand il n'y a pas de chiffre après. Remarques : Devant milliers, millions et milliards, vingt et cent prennent un s au pluriel (car milliers, millions, etc.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
On écrit c'est quand le groupe peut être remplacé par cela est. Exemple : C'est de ta faute ! (→ Cela est de ta faute !) On écrit s'est quand on a affaire à un verbe pronominal conjugué à un temps composé.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
feux n.m. pl. Ensemble des lumières émises par des projecteurs, des rampes lumineuses... feu adj.
On met un "s" au pluriel
Comme n'importe quel nom commun, le nom euro prend la marque du pluriel. Exemple : un euro, des euros. Le seul endroit où euro est invariable, c'est sur les pièces et les billets, pour être compris dans toutes les langues.
Plur. : des voyous. En emploi adjectif, voyou prend la marque du pluriel, mais non celle du féminin : des allures voyous. Le féminin voyoute, employé surtout par plaisanterie, est familier.
Est-ce qu'on écrit le pluriel de bisou en ajoutant un s ou bien un x ? La réponse est : le mot bisou reçoit un s au pluriel. On écrit des bisous .
XIIe siècle uel (singulier), ialz (pluriel), XIVe siècle, oeil , du latin oc(u)lu " oeil " ; le pluriel yeux remonte au cas régime pluriel oc(u)los , qui devient uels puis ueus par vocalisation de l mouillé suivi d'une consonne, puis ieus par différenciation, graphie moderne yeux (cf Bourciez p.
Plur. : des arcs-en-ciel.
Les noms en –eau font leur pluriel en –eaux.