D'où vient la tradition de la demande en mariage ? Autrefois, c'était le père du jeune homme qui demandait au père de la jeune fille sa main ; les futurs époux n'étaient pas consultés et ni la décision de se marier ni celle de la personne avec laquelle ils se mariaient ne leur revenaient.
Autrefois, lorsqu'un jeune homme voulait épouser sa fiancée, il avait l'obligation de demander la main de sa dulcinée au père de cette dernière. "Demander la main" fait référence au fait de demander l'autorisation au tuteur légal de la jeune fille. Sans cette autorisation, il ne pouvait pas se marier avec sa fiancée.
Demandez-lui seulement si elle a envie de passer le reste de sa vie avec vous. Par exemple, vous pourriez le lui demander de la manière suivante : « comment vois-tu notre vie dans trois ou cinq ans ? » Si elle parle de mariage, vous pouvez vous sentir rassuré et vous pourriez alors aller demander sa main à ses parents.
Le futur marié se rend chez les parents de la future épouse pour demander, à son tuteur légal, la main de la jeune fille. Le futur marié vient offrir des cadeaux (fleurs, pâtisseries, parfums, vêtements, bijoux, …) à sa future épouse.
Cette tradition est une coutume hautement symbolique : le père de la mariée accompagne ici sa fille, de son enfance vers sa vie de femme, vers le futur qu'elle se construira avec son époux.
Une petite fille a besoin de voir ses parents s'aimer et se désirer; indispensable pour qu'elle puisse à son tour aimer et être aimée. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle vivra une relation d'amour et de désir, à l'instar de celle de ses parents.
Qui paie quoi - la famille du marié.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins.
Attendre la dernière minute
N'attendez pas la veille du mariage pour passer chez vos beaux-parents ! La tradition veut que l'homme se rende chez son beau-père pour lui demander la main de sa fille avant même de faire sa demande à sa compagne. Vous n'êtes bien sûr pas obligé de respecter cette coutume à la lettre.
Selon la tradition, c'est également l'homme qui doit faire la demande en mariage. Cette tradition est généralement toujours respectée. Il est donc original, en tant que femme, de demander la main de votre homme.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Demandez à chacun de vos petits d'exprimer dans leurs mots ce qu'ils pensent de leur papa, pourquoi ils l'aiment tant, quelle est l'activité qu'ils préfèrent faire avec lui. Vous pourriez aussi leur suggérer de chanter une chanson, ou d'imiter papa quand il est en colère.
Soyez confiant dans ce que vous dites et montrez que vous avez vraiment confiance en vous. Évitez de dire trop souvent « Euh… » ou de vous tourner vers votre copine pour obtenir de l'aide lorsque vous cherchez vos mots. Le mieux est de prendre votre temps pour bien vous exprimer lorsque vous en avez besoin.
A l'époque, le genou posé lors d'une demande en mariage était signe d'obéissance, de dévouement, de respect, mais surtout de loyauté. Cette tradition remonte à la période médiévale, lorsque les chevaliers s'abaissaient au moment d'être sacré par son roi ou sa reine.
L'usage est apparu à l'époque des chevaliers en signe de respect pour leur seigneur. C'est aussi la posture que prend le chevalier au moment de recevoir son titre. Mettre un genou à terre était également très fréquent dans les cérémonies religieuses. En s'agenouillant, on montrait respect et loyauté.
Il n'existe pas de cérémonie officielle pour se fiancer. On peut choisir de le faire en privé ou seulement en présence de sa famille. Les fiancés peuvent, s'ils le désirent, faire bénir la bague lors d'une messe ou organiser une petite cérémonie religieuse pour cette bénédiction.
Cet acte est LA preuve d'engagement annonçant officiellement un mariage à venir. Dans la tradition, les fiançailles durent un an, mais autant prendre le temps qu'il vous faut. De plus, ça permet de concrétiser la relation aux yeux de tous, en passant d'une relation privée à l'engagement d'une vie.
La demande en mariage traditionnelle.
Mettez-vous sur un genou, prenez sa main dans la vôtre et demandez-lui de vous épouser. La beauté de ce geste est qu'il est universellement reconnu et fait toujours beaucoup d'effet.
Les fiançailles sont l'annonce officielle d'une intention de se marier. En acceptant la demande en mariage, les deux partenaires expriment leur volonté de se marier ensemble. Les fiançailles ne sont donc rien de plus qu'une décision de se marier, généralement annoncée publiquement (et non faite dans le secret).
Le beau-parent, non reconnu par la loi, n'a, en principe, aucun droit ni devoir envers l'enfant de son conjoint et ne peut intervenir dans son quotidien.
Pour être un bon père, vous devrez savoir à la fois faire preuve de sévérité et témoigner votre amour à vos enfants. Si vous cherchez trop à être craint, vos enfants pourraient ne pas être à l'aise en votre présence et ne pas s'ouvrir à vous. Si vous cherchez trop à être aimé, vos enfants vous marcheront sur les pieds.
La plupart du temps, c'est le père de la mariée qui conduit la voiture. Il n'y a pas de véritable règle et vous pouvez tout à fait choisir de vous faire conduire par un de vos frères, un témoin, un ami ou le propriétaire du véhicule.
La tradition du lancer de riz a pour origine un rite païen ancestral, en lien avec la déesse Grecque Demeter, la déesse de la terre productrice. À la naissance de ce rituel, c'était des graines de céréales, symbole de Demeter, qui étaient jetées sur les jeunes mariés. Cela devait leur amener prospérité et fécondité.
La mère de la mariée ne sera pas en reste car elle assumera le rôle d'hôtesse officielle de la cérémonie. Durant la réception, les parents respectifs des deux jeunes mariés auront l'honneur de porter le premier toast, accompagné généralement de la lecture d'un joli texte d'amour.