Au sens premier, le mot "Graal" présente une connotation religieuse, voire mythique. Désigné comme le Saint-Graal, il s'agirait de la coupe dans laquelle Jésus-Christ a bu le vin au cours de la Cène, la veille de sa crucifixion.
Symbole du salut spirituel, objet d'une quête dont le succès requiert de ceux qui l'entreprennent une pureté de cœur absolue (associé au Cycle des romans arthuriens, le Graal ou Saint Graal est devenu le thème central d'un ample corps de récits romanesques et légendaires).
Définition de graal |
Le Graal : la coupe qui aurait servi lors de la Cène, et dans laquelle aurait été recueilli le sang du Christ sur la Croix. Symbole du salut spirituel au Moyen Âge. La quête du Graal. au figuré Objet d'une quête difficile.
calice, coupe[Hyper.]
D'après Robert de Boron, le Graal est le « Saint Graal » : le calice contenant le sang de Jésus-Christ, recueilli par Joseph d'Arimathie quand le Christ fut descendu de sa Croix. Ce calice est par ailleurs présenté comme étant celui dont Jésus s'est servi lors de la Cène, dernier repas avec les apôtres.
La coupe qui est conservée dans la chapelle du Saint Calice de la Cathédrale de Valencia se compose de trois parties différenciées. La relique elle-même est le gobelet en agate polie qui se trouve au sommet.
Le Graal est décrit tantôt comme une corne d'abondance, qui offre à chacun toute la nourriture qu'il désire, tantôt comme une pierre tombée du front de Lucifer creusée en vase. Chez l'auteur allemand Wolfram von Eschenbach, on trouve que le Graal est une pierre précieuse gardée par les Templiers.
Le Graal est un objet mythique de la légende Arthurienne. C'est l'objet de la quête menée par les chevaliers de la Table ronde. Cet objet mythique est souvent associé à la coupe dans laquelle Jésus aurait bu lors de son dernier repas et où son sang aurait coulé lors de sa crucifixion.
Le Saint-Graal a le pouvoir d'offrir aux chevaliers de la Table Ronde le plat de viande que chacun préfère, et devient ainsi une sorte de corne d'abondance. Ailleurs, le Graal est une pierre brillante, une gemme précieuse.
Galaad est un personnage de la légende arthurienne. C'est un chevalier de la Table Ronde, qui, selon certaines versions, trouve le Graal. Il est le fils de Lancelot et d'Elaine.
La quête du Graal
Au début de la tradition littéraire, dans les romans de Chrétien de Troyes, le Graal est un objet orné de pierres précieuses qu'une jeune fille porte dans un cortège où figurent également des chandeliers, ainsi qu'une lance qui saigne et un tailloir.
Le Graal est un objet important dans la légende d'Arthur et de ses chevaliers. Ils vont tous essayer de prendre le Graal. Le raison est simple : celui qui possède le Graal peut survivre jusqu'à la fin des temps. Le Graal a ce pouvoir car des gouttes de sang du Christ se trouveraient dedans.
Dans le Cycle de Pendragon de Stephen Lawhead, le roi pêcheur est le surnom d'Avallach, roi de Sarras en Atlantide, installé dans le sud de la Bretagne après que son continent eut été englouti. Devenu chrétien, il est le gardien du Graal que seuls Merlin, Arthur, Bors, Perceval et Galaad pourront contempler.
La mort du roi Arthur
Des histoires montrent que Mordred était un chevalier de la Table ronde et le fils incestueux d'Arthur et de sa sœur Morgane ou bien de sa demi-sœur Morgause. Le Roi Arthur fut mortellement blessé lors de cette bataille, et emmené à Avalon.
Une version contestée par plusieurs experts. "La légende du Graal est une invention littéraire du 12ème siècle, sans aucun fondement historique", tranche Carlos de Ayala, professeur d'Histoire médiévale à l'Université autonome de Madrid. "On ne peut pas trouver ce qui n'existe pas", ajoute-t-il.
À la cour, Guenièvre est faussement accusée d'avoir empoisonné un chevalier, puis apparaît aussi une fausse Guenièvre qui veut usurper la place de la reine et réussit à abuser l'esprit du roi ; à chaque fois, Guenièvre est sauvée par Lancelot, et elle sera encore sauvée du bûcher quand Arthur la condamne pour adultère.
Mordred blessa mortellement son père, le roi Arthur, lors de la bataille finale de Salesbières (Salisbury) pour le trône d'Albion.
Selon Arthur, il est le seul chevalier fiable, et il est très populaire dans le royaume pour ses nombreux exploits. Cependant, Lancelot aime secrètement la reine, et est jaloux d'Arthur. Il pense qu'Arthur n'est pas capable d'être roi et considère même qu'il fait la moitié du travail du roi.
Il avait écrit avec un peu plus de précision, dans son Cours de Sorbonne : « Très exactement le péché de Perceval n'est pas d'avoir quitté sa mère, il est de ne s'être pas arrêté, de ne pas être revenu sur ses pas, lorsqu'en se retournant il l'a vue évanouie à l'entrée du pont-levis (cf.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
Dans des versions précoces, la bien-aimée de Perceval était Blanchefleur et il est devenu roi de Corbénic après avoir guéri le Roi Pêcheur, mais dans des versions postérieures, il est resté vierge et est mort après avoir retrouvé le Graal.
Les sources historiques. Les preuves historiques de l'existence du roi Arthur sont quasi inexistantes. Personnage de légende, il a fait l'objet d'adaptations successives tout au long de son existence littéraire pour correspondre à l'image de son temps.
Il ne l'a jamais touchée parce qu'il en avait fait le serment à sa première femme, Aconia. Cette dernière, qu'il avait épousée en secret à Rome, avant qu'il ne devienne roi de Bretagne, lui avait fait jurer de ne jamais toucher Guenièvre, et Arthur a tenu cette promesse pendant plus de quinze ans.