Origine : Apparue en français au XIIIe siècle, l'expression existait déjà dans l'Antiquité. On peut ainsi lire dans un texte du IIème siècle : "quand l'homme ne peut distinguer le chien du loup".
L'origine de ce terme technique n'est autre que le mot cucu trans- formé en tutu dans le langage en- fantin pour désigner aussi les fes- ses (depuis 1860 environ).
chienne n.f. Femelle du chien. Nom d'un chien !
A cette époque, le chien n'était pas un animal de compagnie comme aujourd'hui. Sa fonction consistait à garder les maisons, le bétail et à travailler. On dit par exemple malade comme un chien lorsqu'on est très souffrant et qu'on se sent abandonné, comme l'étaient autrefois les chiens agonisants.
Locution adjectivale. (Familier) Abandonné ; laissé pour compte ; en difficulté. (Familier) En manque ; frustré.
Les premières recherches effectuées montrent directement que l'expression résulte d'un manque. Être en chien, c'est avant tout "manquer de quelque chose". De cigarettes par exemple. Mais le plus souvent de sexe, comme le montrent les différents sites avec plus ou moins de poésie.
Expression familière qui indique qu'une personne a une très forte température. Chez le cheval, les effets de la fièvre sont assez spectaculaires, ce qui explique sans doute l'origine de cette expression.
L'expression est une référence à la période de chasse. Bonjour, Comme l'expliquait déjà Le Figaro, qui s'était posé la question, l'expression «froid de canard» fait référence à la période de la chasse. Et plus précisément au moment où les lacs gèlent, et où les canards deviennent des proies faciles pour les prédateurs.
Parce que chez cet animal, les effets de la fièvre sont assez spectaculaires, un cheval monte rapidement et très fort en température. Ce phénomène physique explique sans doute l'origine de cette expression.
Synon. de coprophilie (ibid.). zoophilie 1.
lion n. Symbole de la force, du courage, de la fougue. lionne n.f. Femelle du lion.
n.f. Fille ou femme grosse, mal faite. Femelle du chien.
Plur. : des chouchous ; féminin : une chouchoute. Les dérivés sont chouchoutage, chouchouter. Chouchou, chouchoute (= enfant, élève préféré) est familier.
Ça caille!
À l'origine, «cailler», lui-même issu du latin coagulare «coaguler», désigne la coagulation du sang en caillots du fait d'un refroidissement. Autrement employé chez Céline dans le sens de «se faire du souci» («Depuis le début de l'autre semaine ça durait comme ça ... vraiment rien d'extravagant!...
Origine : Expression française qui trouve son origine dans les campagnes d'antan. En effet, à cette époque, l'abattement du cochon était effectué à des fins nourricières mais vu la corpulence l'animal, une partie en était conservée pour des temps plus difficiles.
En Anglais le "duck" (canard) vient de l'Anglo Saxon "duce", et de l'Anglais du moyen âge, "duken", plonger… "To play the duck and drake" (jouer au canard et à l'oie) consiste à faire de ricochets sur l'eau à l'aide de pierres plates…
Utilisée au sens propre à l'époque, l'expression signifiait simplement « partir à la bataille sur de grandes montures », ces montures étant vues comme un symbole de puissance.
La température normale du cheval se situe entre 37,5 et 38 °C, lorsque le cheval est au repos. Cette température est variable selon les équidés. Chez le poulain jusqu'à un mois, la température normale est comprise entre 37,5 et 38,5 °C. Il faut savoir que la température des équidés est plus basse le matin.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Lorsque vous parlez à votre chien, vous êtes persuadés qu'il a tout compris ? Vous avez bien raison ! Une étude hongroise publiée dans la revue américaine Science (29/08/2016) démontre que le cerveau des chiens prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons.
Ils sont même capables de repérer des émotions plus poussées, comme la joie ou son contraire, la tristesse, ou encore le dégoût, la colère…
Une manière d'affirmer son autorité
En fait le chevauchement d'un congénère, de la jambe d'un humain, d'un coussin, etc. au delà de l'acte purement sexuel est une manière pour le chien d'affirmer son autorité. Le laisser faire, c'est faire allégeance à cette volonté de dominer.