Il est utilisé en anesthésie, en chirurgie, en odontologie, en pédiatrie comme adjuvant (en mélange équimolaire avec de l'oxygène) pour ses propriétés anesthésiques et antalgiques. Il est dit « gaz hilarant » car euphorisant à l'inhalation, d'où son usage comme drogue récréative hallucinogène.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Le protoxyde d'azote (N2O), communément appelé « gaz hilarant » ou « proto », est un agent anesthésique volatil utilisé par voie inhalée depuis 170 ans par les médecins. Son utilisation, dans le cadre d'un usage récréatif, peut être responsable d'accidents inattendus.
risque de perte de connaissance pouvant entraîner une chute grave (risque de fracture, de traumatismes...) ; perte des réflexes de la toux et de la déglutition (risque potentiellement mortel de fausse route de vomissements vers les poumons, surtout en cas de perte de connaissance).
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant ou “proto”, est un gaz d'usage courant stocké notamment dans des cartouches pour siphon à chantilly ou des aérosols.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant, est un gaz d'usage courant stocké dans des cartouches pour siphon à chantilly, des aérosols d'air sec ou des bonbonnes utilisées en médecine et dans l'industrie.
En 1798, Humphry Davy découvre entre autres ses propriétés euphorisantes. Le protoxyde d'azote est utilisé dès la fin du XVIII e siècle comme « gaz hilarant » dans les foires. En 1844, le dentiste Horace Wells découvre ses effets anesthésiants, qu'il expérimente sur lui-même.
Le protoxyde d'azote (N2O) fait partie des gaz qui vous don- neraient une voix plus grave. Ce gaz, connu sous le nom de « gaz hilarant », est utilisé lors de certaines anesthésies pour endormir le pa- tient.
Une des substances les plus consommées par les jeunes
Dans un cadre médical, le protoxyde d'azote est généralement utilisé mélangé à de l'oxygène pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. Il est également utilisé pur par certaines industries, ou en cuisine pour la confection de siphons.
Le protoxyde d'azote, ou «gaz hilarant», cette nouvelle drogue qui circule parmi les jeunes. À Caen (Calvados), il n'est pas rare dans des caniveaux ou sur des parkings d'observer des capsules métalliques grises abandonnées. Il s'agit de cartouches de protoxyde d'azote, initialement destinées aux siphons à chantilly.
En ce qui concerne les inhalations, il faut toujours utiliser un ballon de baudruche. En effet, le proto est un gaz très froid, dont l'inhalation en sortie de cartouche, de siphon ou de détonateur peut provoquer des brûlures.
L'hélium est un gaz très efficace qui permet d'une part de gonfler rapidement un ballon. Et d'autre part qui permet de donner du relief à votre déco en faisant virevolter le ballon. Très apprécié des organisateurs de soirée, le gaz d'hélium apparait comme un accessoire inévitable.
(Argot) Emballage contenant une substance illicite, généralement de la drogue, destiné à être transporté dans l'appareil digestif.
Les principaux effets recherchés lors cet usage détourné du protoxyde d'azote sont une euphorie, un fou rire, la sensation d'ébriété, une désinhibition, une exaltation, des hallucinations, voire une dissociation.
Le protoxyde d'azote peut être dangereux
Diverses émotions peuvent ainsi apparaître après l'inhalation d'oxyde nitreux, dont l'hystérie, d'où le rire.
Le protoxyde d'azote est un gaz anesthésique utilisé depuis plus de 160 ans pour induire une anesthésie et maintenir les patients sous anesthésie pendant toute la durée d'une opération.
Au début de l'année 2019, 25 signalements d'effets sanitaires sévères ont ainsi été notifiés aux CEIP-A, dont dix avec des atteintes neurologiques (paralysie des membres infé- rieurs, inflammation de la moelle épinière, diminution de la force musculaire des membres).
« Il est interdit de vendre ou d'offrir du protoxyde d'azote, y compris à une personne majeure, sur la voie publique, dans les débits de boissons mentionnés aux articles L. 3331-1, L. 3334-1 et L. 3334-2, dans les débits de tabac et points de vente de carburant ainsi que lors de rassemblements festifs.
Contre-ténor
Il s'agit du type de voix le plus rare de tous les types de voix majeurs et de la voix masculine la plus haute. Un contre-ténor, également appelé contre-ténor, est un chanteur masculin qui peut chanter aussi haut qu'un soprano ou un mezzo-soprano en utilisant la résonance naturelle de sa tête.
Les voix sont classées du plus aigu au plus grave. Les voix féminines sont divisées en trois groupes : soprano, mezzo-soprano et contralto. Les voix masculines sont divisées en quatre groupes : contre-ténor, ténor, baryton et basse.
113,8 décibels, c'est la puissance atteinte par la chanteuse bulgare Smilyana Zaharieva. Pour cette prouesse, elle est entrée officiellement dans le livre Guiness des records.
le protoxyde d'azote peut avoir des effets indésirables bien moins agréables. Vertiges, malaise, désorientation, sensation d'ébriété sont à l'origine de chutes et d'accidents de la route. Une utilisation excessive ou erronée peut conduire à un manque d'oxygène au niveau du cerveau.
Un ballon gonflé est inhalé. Celui-ci est rempli de protoxyde d'azote n2o injecté, qui provient d'une cartouche injectée dans le ballon via une seringue spéciale. Comme il s'agit d'un gaz très froid, vous vous brûleriez les lèvres si vous essayiez de respirer le gaz directement à partir de la cartouche.
La MDMA est souvent appelée "drogue de l'amour" parce qu'elle possède un effet stimulant. "On va se sentir à l'aise, on a envie d'aller vers les autres, de faire des câlins aux autres. C'est donc quelque chose de vécu de manière assez positive" explique la docteure Geneviève Lafaye, addictologue.
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau, comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.