Le mot cieux, au contraire, indique non la pluralité, mais l'universalité indivise de la sphère céleste, ou, au figuré, la Providence, le pouvoir céleste. » Ce double pluriel s'explique aussi par le fait qu'au Moyen Âge, en effet, les noms terminés en -el ou en -iel faisaient leur pluriel en -eux.
Le pluriel de ciel est cieux quand il désigne : l'espace au-dessus de nos têtes, le firmament (l'immensité des cieux) ; la région sur laquelle il s'étend, dans certaines expressions (partir sous d'autres cieux, sous des cieux plus cléments) ; le paradis, le siège de la Divinité (le royaume des cieux).
Ciel : fait au pluriel cieux pour désigner emphatiquement le paradis. Pour désigner l'atmosphère, les parties du ciel, au-dessus d'une région, perçues dans leur aspect pittoresque : (des ciels brouillés, grisâtres, des ciels marins, des ciels d'hiver, de beaux ciels sans nuages…)
CIEL, CIEUX, CIELS, subst. masc. 1. Espace infini dans lequel évoluent les astres, représenté idéalement par une sphère.
cieux ou ciels. Espace que l'on voit au-dessus de nos têtes.
Le mot ciel, en cosmologie, vient du latin cælum qui renvoie à la voûte céleste, lieu de séjour de la divinité. Le mot désigne le ciel en tant que firmament. Au Moyen-Âge, le mot ciel renvoie au lieu de séjour de Dieu et de séjour des âmes après la mort. Ce faisant, le mot renvoie à l'ensemble de la voûte céleste.
Le mot final, issu du terme latin finis «mort», est né au XIIe siècle dans le sens de ce «qui est à la fin, qui sert de fin». On l'a donc retrouvé, par exemple, dans des expressions comme «point final», «affrontement final». Final étant ici un adjectif.
Synon. de héliophile (d'apr. Méd. Biol t. 1 1970).
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire.
Entre ciel et terre : en l'air.
Les adjectifs de couleur utilisés seuls s'accordent en genre et en nombre (bleu, jaune, vert, etc.) avec le nom qu'ils qualifient et prennent un -s- au pluriel. Si l'adjectif de couleur provient d'un nom de fruit, de fleur, de pierre précieuse ..., il reste invariable.
Plur. : des ails (pluriel courant) ou des aulx (vieux ou régional). Ail s'emploie rarement au pluriel (on dit des gousses d'ail, des têtes d'ail).
Plur. : glacials ou glaciaux. Glacials est plus courant : des couloirs glacials.
Le Royaume de Dieu ou Règne de Dieu ou Royaume des cieux est un concept théologique à dimension eschatologique du judaïsme et du christianisme ainsi que, dans une moindre mesure, de l'islam. Il reprend un concept plus ancien de royauté divine que l'on trouve dans le Proche-Orient ancien.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
et cieux nom masculin et interjection. Espace visible limité par l'horizon. La voûte du ciel, des cieux.
Dans l'espace, ces cycles jour-nuit s'alternent très différemment. Sur la station spatiale internationale, située à 350-400 km en orbite autour de la Terre, les astronautes en mission font face à l'enchaînement de 16 périodes d'obscurité et de jour toutes les 24 heures.
Le soleil n'éclaire pas l'arrière des planètes, tout simplement parce que la lumière issue du soleil, qui peut être représentée comme une infinité de rayons lumineux, tous dans la même direction, ne rencontre que "l'avant " de la planète.
blanche, même si le Soleil est souvent représenté comme jaune quand on le dessine. Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière.
Synon. de coprophilie (ibid.). zoophilie 1.
MISANDRE, , adj.
Tout simplement car le mot «final», comme le rappelle notre chère Académie française, est un adjectif. Or, dans l'expression «au final», il est utilisé comme un substantif. Une formulation parfaitement incorrecte, qui peut être agravée si elle est écrite avec un « e » à la fin du mot “final”.
Dites «finalement», ne dites pas «au final», nous intime l'Académie française.
Ne pas confondre ces deux substantifs, l'un masculin, l'autre féminin. Final, finale n.m. = dernière partie d'une œuvre musicale. Peut s'écrire avec un l, sans e, ou avec un e (italien finale). Le final de la neuvième symphonie de Beethoven.