"Porter" ou "avoir la guigne" signifie "avoir le mauvais œil", soit "porter malchance". Au XVIIe siècle, on vit apparaître le nom "guignon" (la malchance). Celui-ci est en fait un dérivé du verbe "guigner", qui signifiait à la base "faire signe". Il a ensuite pris le sens de "loucher" ou "regarder de côté".
Malchance persistante ; déveine, poisse. guigne n.f. Cerise à chair ferme et sucrée, de couleur rouge foncé...
La guigne désigne au départ "faire signe", puis son sens a dérivé pour être synonyme du verbe "loucher", mais qui louche regarde de travers et regarder de travers s'apparente au mauvais œil. Depuis "porter la guigne" se traduit par "porter malchance" ce qui n'était absolument pas sa définition d'origine.
Lorsqu'une personne manque particulièrement de chance, on dit parfois qu'elle «a la guigne». Une expression apparue dans le courant du XVIIe siècle, en référence aux méthodes employées par certains tricheurs pour communiquer pendant les parties de jeu de cartes.
Déveine, mauvais sort. Guigne, malchance.
Déveine, malchance, guigne.
Et ces deux expressions « porter l'œil » et « porter la poisse » veulent dire exactement la même chose et elles veulent dire : « apporter de la malchance », « avoir pour conséquence qu'il y ait une situation de malchance ».
Définition "malchance"
Manque de chance. Adversité, malédiction. Déveine, mauvais sort. Guigne, malchance.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
« Avoir la guigne » signifie « être malchanceux ». « Porter la guigne » signifie « porter malchance », « avoir le mauvais œil ». Au XVII e siècle, on vit apparaître le nom « guignon » (la malchance). Celui-ci est en fait un dérivé du verbe « guigner », qui signifiait à la base « faire signe ».
Cerise, employé comme adjectif de couleur, est invariable : des rouges à lèvres cerise.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
malchanceuse. Personne qui n'a pas de chance.
État de celui qui éprouve des revers ; malheur, malchance : Rester courageux dans l'adversité.
affligé n. Personne qui est profondément attristée par un malheur. affliger v.t. Frapper quelqu'un d'un mal, d'un défaut, l'en affecter d'une manière...
L' œil grec aujourd'hui
En Grèce, le matiasma ou œil bleu est encore très populaire. Il est ancré dans la tradition du pays et on le retrouve partout pour se protéger du mauvais œil.
Élevé au rang de talisman au XVIIIème siècle, l'œil bleu sert de leurre et doit attirer le regard de la personne jalouse ou envieuse pour conjurer ses effets néfastes. Il est fabriqué par les verriers arabes de la ville d'Izmir, dans l'actuelle Turquie.
Déveine, mauvais sort. Guigne, malchance. Porter la poisse.
Qui est gluant, collant.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
– Donc retenez bien que “bon”, c'est l'adjectif et “bien”, c'est l'adverbe.