Avoir du chien, avoir de l'élégance, de la séduction, du caractère, un charme un peu provocant, surtout en parlant des femmes.
Pour qu'une femme ait « du chien », il ne suffit pas qu'elle soit belle ; il lui faut ce petit « truc en plus », ce charme indescriptible qui la rend totalement irrésistible aux yeux des autres. Le mot « chien » ici est synonyme de « coquin », et ne s'emploie pas au sens littéral.
Signification : Se dit d'une femme qui fascine les hommes par un charme canaille. Origine : Expression française qui remonte à la deuxième moitié du XIXème siècle et qui définit le chien dans le sens de coquin et comme insulte désignant quelqu'un que l'on traite avec mépris.
Locution adjectivale. (Familier) Abandonné ; laissé pour compte ; en difficulté. (Familier) En manque ; frustré.
Un "cran" est une encoche qui permet, dans un mécanisme, de régler les pièces les unes sur les autres. Ici, le mot est à prendre dans son sens figuré d'"assurance", de "confiance en soi". "Avoir du cran" signifie donc "oser, avoir du courage".
(Familier) (En parlant d'une femme) Être séduisante, avoir un charme provoquant. (Vieilli) Avoir de l'originalité, de l'ardeur.
Les premières recherches effectuées montrent directement que l'expression résulte d'un manque. Être en chien, c'est avant tout "manquer de quelque chose". De cigarettes par exemple. Mais le plus souvent de sexe, comme le montrent les différents sites avec plus ou moins de poésie.
(Populaire) (Trivial) Juron familier pour exprimer la colère, la surprise, le dépit, etc. Mais nom de Dieu !
Pensez à caresser « votre » chien dès qu'une bombasse s'approche. La tendresse paternelle, ça marche toujours. Et arrêtez-vous quand vous rencontrez un autre maître.
Cette expression s'emploie depuis le début du XXe siècle et a recours au qualificatif "de chien" qui connote quelque chose de méprisable, de négatif. Une vie de chien est donc une vie dure, difficile.
avoir fière allure ; avoir quelque chose qui retient l'attention ; impressionner par son apparence.
Une manière d'affirmer son autorité
En fait le chevauchement d'un congénère, de la jambe d'un humain, d'un coussin, etc. au delà de l'acte purement sexuel est une manière pour le chien d'affirmer son autorité. Le laisser faire, c'est faire allégeance à cette volonté de dominer.
Si vous vous demandez si votre chien peut tomber amoureux d'une personne, la réponse est oui, en effet, les chiens peuvent ressentir de l'amour, beaucoup d'amour !
Lorsque vous parlez à votre chien, vous êtes persuadés qu'il a tout compris ? Vous avez bien raison ! Une étude hongroise publiée dans la revue américaine Science (29/08/2016) démontre que le cerveau des chiens prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons.
Il se peut qu'une personne domine, mais qu'il reconnaisse l'autorité de toutes. Ainsi, si Madame sort seul le chien, si ce dernier lui obéit, c'est qu'il s'agit bien de sa maîtresse. En revanche, si votre chien semble mieux obéir à un membre de la famille qu'à un autre, c'est qu'il a surtout appris à vous connaître.
Notre vision comporte trois couleurs, la leur seulement deux. Les chiens peuvent uniquement voir les couleurs jaune et bleu-violet, ainsi ils perçoivent le rouge et l'orange comme si c'étaient des tons de jaune, et ils ne différencient pas le vert du blanc ni le bleu-vert du gris.
cynophiles. Composé des mots grecs "cyno" (chien) et de "phile" (ami), "cynophile" désigne donc une personne qui aime les chiens.
Locution interjective. Se dit pour porter bonheur. Je vous souhaite bonne chance et du succès dans votre travail.
1. Qui est hardi au point d'accomplir des actions dangereuses : Un garçon téméraire. 2. Qui est inspiré par une audace extrême : Une entreprise téméraire.
Estime excessive de soi-même. Synonyme : arrogance, fatuité, gloriole, hauteur, mégalomanie, morgue, présomption, prétention, suffisance, supériorité, vanité. – Littéraire : fierté, infatuation, outrecuidance, superbe.
Le mot grec qui est à l'origine du mot hypoco- ristique signifie « caressant » et dérive d'un verbe qui a le sens de « parler avec des diminutifs ». Se faire appeler mon toutou par quelqu'un signifie qu'on est le toutou de cette personne (cf.