Cette obéissance (cette écoute) est la manière pour le Peuple d'accueillir l'Alliance que Dieu noue avec lui, elle est donc comme une condition de validité ou de pérennité de cette Alliance. Voir Dt 7,12 ; 8,20. En fait, les commandements de Dieu sont des moyens de s'ouvrir au bonheur dont Dieu veut combler son Peuple.
Dans les Écritures, on nous enseigne que Dieu entend toujours nos prières et qu'il y répondra si nous nous adressons à lui avec foi et une intention réelle. Nous sentirons dans notre cœur la confirmation qu'il nous entend grâce à un sentiment de paix et de tranquillité.
L'accompagnateur spirituel est certainement dans l'expérience chrétienne un bon témoin de la formation des sujets. Leur croissance, leurs obstacles, les conflits et les arbitrages de conscience émergent devant lui.
Pour apprendre l'Esprit de Dieu, nous devons apprendre à écouter avec le cœur. Boyd K. Packer, président du Collège des douze apôtres, a dit : « La voix de l'Esprit est un murmure doux et léger, une voix que l'on ressent plus qu'on ne l'entend.
- telle est la connaissance de foi, par laquelle dieu rend déjà l'homme de quelque manière participant de sa propre connais- sance et lui permet ainsi de tendre librement et efficacement vers lui.
C'est pourquoi le Seigneur te donne sa Parole, pour que tu l'accueilles comme la lettre d'amour qu'il a rédigée pour toi, pour te faire sentir qu'il est proche de toi. Sa Parole nous console et nous encourage. En même temps, elle provoque la conversion, elle nous secoue, nous libère de la paralysie de l'égoïsme.
Je l'écoute grâce aux Écritures et à la prière sincère
Les Écritures sont la voix préenregistrée du Seigneur. Ce n'est pas tant une voix que l'on entend, bien que cela puisse arriver. Il s'agit plutôt d'écouter les Écritures grâce à un sentiment : un sentiment dans son esprit et dans son cœur.
L'accompagnement spirituel est une aide qu'un baptisé peut demander et recevoir de l'Église en vue de connaître et d'accomplir la volonté de Dieu. La vie chrétienne est une histoire personnelle mais elle engage également l'Église. Pour grandir dans la foi et dans l'amour, il n'est pas bon de rester seul.
En résumé, il y a deux voies « vers Dieu » : l'une mène au Dieu-concept, le Dieu des théologiens, des Églises constituées et des dogmes. C'est le Dieu du passé, celui qu'Auguste Comte a enterré, le Dieu anachronique. La seconde voie mène au Dieu d'amour, qui n'est pas un être, mais un Esprit.
Dans cet ouvrage désormais classique, l'auteur soulève l'importante question de la manière dont Dieu conduit ses enfants : comment nous mettre à l'écoute de sa voix et entrer dans ses projets pour l'avancement de son royaume ?
L'écoute active et profonde implique de laisser de côté le jugement et l'impulsion de répondre quand quelqu'un d'autre parle. Par cette pratique on développe la capacité de s'écouter. Les pratiques bien-être peuvent vraiment influencer la capacité à écouter sa voix intérieure.
Fort souvent, l'appel de Dieu au ministère se manifeste par un sentiment qui grandisse chez vous que Dieu vous a mis à part pour son service. J'utilise l'expression « sentiment accroissant » parce que souvent ce sentiment se développe petit à petit dans notre vie.
Dieu entend vos prières.
On peut avoir l'impression que nos prières sincères restent sans réponse. Comme si la plénitude des possibilités et des bénédictions éternelles de Dieu nous était refusée. Mais toutes les prières sincères sont entendues. Dieu tiendra toutes ses promesses.
Pour connaître votre guide spirituel de naissance, l'un des 72 anges gardiens, vous pouvez vous référer à la liste des guides spirituels. Lila Rhiyourhi précise, “On peut avoir plusieurs guides, selon notre chemin de vie, selon notre évolution”.
Personne étant vue comme quelqu'un d'exemplaire d'un point de vue moral et exerçant une influence considérable dans la formation d'une autre personne.
Pour y parvenir, il faut, dans sa prière, laisser la priorité à l'Esprit saint . C'est-à-dire privilégier l'esprit de prière plutôt que les recettes et les formules. Le progrès, dans la vie spirituelle, c'est de passer de « l'action avec l'Esprit saint » à « la vie du Christ en soi ».
L'Esprit saint est appelé par Jésus « Paraclet » dans le discours de la Cène (Jn 14,16.26 ; 15,26 ; 16,7), littéralement « celui qui est appelé au secours », que l'on traduit par Consolateur ou Défenseur. Jésus appelle l'Esprit saint « Esprit de vérité » (Jn 16,13).
Dans plusieurs occurrences de la Bible, Élohim correspond effectivement à une forme plurielle pour désigner « des dieux ». Elle peut être précédée de l'article défini (« les dieux ») et être accompagnée d'un verbe ou d'un adjectif au pluriel.
Notre premier réflexe est donc de vouloir la faire taire… Mais lorsque l'on examine les choses avec attention, on constate que vouloir que sa pensée s'arrête est un non-sens absolu. On aborde alors la vie intérieure d'une toute autre manière. Acceptation, lâcher-prise et amour de soi prennent enfin tout leur sens.
« Il y a deux voies dans le monde, celle de la vie et celle de la mort, celle de la lumière et celle des ténèbres. Deux anges y sont préposés, celui de la justice et celui de l'iniquité ; et la distance est grande entre ces deux voies.
«C'est la petite voix que l'on entend à l'intérieur de notre tête, qui nous ancre dans notre personnalité et qui joue un grand rôle dans notre quotidien, en nous facilitant la vie ou en nous causant des problèmes», affirme Lucile Rapin, chercheuse postdoctorante au Département de linguistique.