Cette communauté est principalement d'origine européenne ; il est très probable que tous ont également des origines africaines, et certains d'entre eux ont également des origines chinoises, voire indiennes. Le terme Gros Blancs désigne en revanche les grands propriétaires terriens souvent d'ascendance aristocratique.
Avec leur incomparable peau ambrée, leur sourire lumineux et leurs traits parfaitement symétriques, les Réunionnaises se hissent régulièrement au top des concours de Miss. Fruit d'un métissage entre l'Asie, l'Afrique et l'Europe, leur charme unique bouscule les canons de la mode.
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreils ou zoreilles . Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Les « Réunionnais d'adoption » sont cependant nombreux, en particulier les natifs de métropole (11 % de la population), avec une prédominance des natifs d'Île-de-France et d'Auvergne-Rhône-Alpes. Une faible part de la population réunionnaise (4 %) est née à l'étranger, en majorité dans un des pays de l'océan Indien.
Les ancêtres des Réunionnais, venus essentiellement d'Afrique, d'Inde et de Madagascar ont été réduits en esclavage pendant près de deux siècles. Le 20 décembre 1848, l'esclavage est aboli sur l'île de La Réunion. Chaque année, les Réunionnais continuent de rendre hommage à leurs ancêtres en cette journée symbolique.
La Réunion offre une diversité ethnique sans pareil. Difficile en effet de trouver un territoire où la population est aussi métissée ! Les Cafres (Noirs) représentent près de la moitié des habitants.
Deux familles réunionnaises apparaissent dans le classement : la famille Goulamaly (holding Océinde) et la famille Ravate, ex-aequo à la 389e place, avec une fortune professionnelle estimée à 220 millions d'euros.
Et c'est n'est pas une ile paradisiaque comme le vante certains sites ou reportages. Quand on part dans les villes loin du littoral, on voit la misère, la pauvreté. Et la mentalité des réunionnais, n'en parlons pas. Jalousie, hypocrisie, méchanceté.
La Réunion occupe une position géographique à part des autres départements d'outre-mer puisqu'elle se situe au milieu de l'Océan indien, dans une région du monde très éloignée de celle des Antilles et de la Guyane.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.
L'adjectif féminin malbaraise est propre à l'île de la Réunion, à Maurice on parle de fille ou femme malbare.
Dans certaines anciennes colonies françaises, les «Métropolitains» peuvent encore être appelés les Zoreils ou Zoreilles. Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».
Le « cari » est le plat traditionnel de la cuisine réunionnaise qui se compose d'une viande ou d'un poisson, accomodé essentiellement avec des tomates, des oignons, du curcuma, le safran péi, et parfois du gingembre et bien d'autres épices (ail, thym, sel, poivre…).
2 – Non, La Réunion ce n'est pas les Antilles !
Résultat, 3,2 % de la population se déclarait « noire », autant qu'« arabo-berbère », 1,4 % s'estimait « métis », 0,5 % « asiatique », 0,2 % « indos-pakistanais » et 1 % « autre ». Au total, notre pays comptait 90 % de « blancs » et 10 % de « non-blancs ».
Ces habitants vivent dans une harmonie pure et simple, en plein milieu de l'océan Indien. Immergez-vous au sein des incroyables traditions et fêtes culturelles de « l'île intense ». La mixité réunionnaise se ressent dans sa gastronomie savoureuse, sa musique enchanteresse et ses différentes religions.
Je t'aime en créole :
Créole Réunionnais (La Réunion) : mi aim a ou. Créole Guyanais (France - Guyane) : mo konten to.
Concentrez-vous sur des cadeaux qu'on ne retrouve pas à La Réunion : Des vêtements de la marque préférée, ou au contraire, une garde-robe entière pour pas cher. Des éléments de make-up spécifiques. Les derniers gadgets électroniques.
Ce n'est qu'en 1646 que les premiers habitants s'installent à Mascarin…mais ils ne viennent pas de leur plein gré. Il s'agit en effet d'une douzaine de mutins, exilés de Madagascar. Ils sont débarqués avec quelques chèvres et des semences, personne ne donnant cher de leurs peaux.
La moitié des Réunionnais vivent avec moins de 1 250 euros par mois et UC, soit 28 % de moins qu'en métropole. Les revenus des plus modestes sont sensiblement plus faibles qu'en métropole : les 10 % des plus modestes disposent d'au plus 670 euros par mois et par UC contre 930 euros en métropole.
Dans l'Océan Indien, la Réunion fait partie des destinations les plus chères. Le coût de la vie est notamment plus élevé qu'en métropole, tout du moins qu'en province.
Un contexte insulaire gonflant les prix des aliments
Ce n'est pas surprenant, la vie sur une île engendre des prix globalement plus élevés qu'en métropole sur beaucoup de produits. Le principal facteur de cette différence de prix est évidemment la quantité de produits importés.
Il faut savoir que certains aliments sont plus onéreux sur l'île qu'en métropole. C'est le cas, par exemple, du lait, des œufs, des pommes, du poulet ou encore de la salade. Cependant, il est également possible de trouver des produits alimentaires moins chers comme le pain, le fromage ou les tomates.
Les quartiers de Montvert les Hauts à Saint-Pierre et de Tan Rouge à Saint-Paul font partie des quartiers où la situation progresse le plus. La part de cadres et de professions intermédiaires augmente en effet deux fois plus rapidement dans ces quartiers de Saint-Pierre et de Saint-Paul qu'en moyenne.