'ent' à la fin d'un mot se prononce : [ɑ̃ ](en) ou ne se prononce pas du tout. 'ent' ne se prononce pas quand il s'agit de la terminaison d'un verbe conjugué, à la 3e personne du pluriel.
Ø « ent »pour les 3e personnes du pluriel (ils, elles) ou les groupes nominaux pouvant être remplacés par ces personnes (les filles, les garçons, les animaux,...)
Pourquoi le /s/ est-il la marque du pluriel la plus répandue ? L'orthographe des mots au pluriel se base sur le cas régime (proche de l'accusatif latin) du Moyen français. Au singulier, le cas régime de l'actuel /mur/ était /murum/, et le pluriel /muros/.
Lorsqu'un nom et un adjectif sont accolés, quel que soit leur ordre, les deux s'accordent (« des grands-pères », « des coffres-forts »). Seul le nom prend la marque du pluriel lorsqu'il est accolé à un adverbe ou à un adjectif qui a valeur d'adverbe (« des haut-parleurs », « des arrière-boutiques »).
Beaucoup plus rarement, le mot pourquoi s'emploie comme nom. Dans ce cas, il est invariable. On écrit au pluriel les pourquoi des enfants .
Plur. : des ails (pluriel courant) ou des aulx (vieux ou régional). Ail s'emploie rarement au pluriel (on dit des gousses d'ail, des têtes d'ail).
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Plur. : des poux (avec un x), comme des bijoux, des cailloux, des choux, des genoux, des hiboux, des joujoux.
Gaz est un nom masculin qui vient du latin « chaos ». Les noms se terminant par « z » ne changent pas de forme au pluriel. Ils s'écrivent donc de la même façon au singulier et au pluriel.
- Les noms en "ou" forment le pluriel en "s" (Un trou, des trous) sauf : "poux, hiboux, choux, joujoux, genoux, cailloux, bijoux". - Les noms en "al" forment le pluriel en "aux" (Un cheval, des chevaux. Un bocal, des bocaux) sauf : "cal, bal, carnaval, pal, récital, régal, festival, chacal" qui le font en "s".
'ent' à la fin d'un mot se prononce : [ɑ̃ ](en) ou ne se prononce pas du tout. 'ent' ne se prononce pas quand il s'agit de la terminaison d'un verbe conjugué, à la 3e personne du pluriel.
Pour trancher entre -ent et -ant à la fin d'un mot, il faut toujours penser à regarder si le mot en question est un participe présent ou bien un adjectif ou un nom. Si l'on a affaire à un participe présent, on est certain que la terminaison sera -ant.
Avec un trait d'union. - Plur. : des coffres-forts.
En orthographe traditionnelle (non réformée), plur. : des perce-neige. On peut dire un perce-neige ou une perce-neige ; un perce-neige est toutefois plus fréquent.
s. des 2 g. Pronom de la première personne, et dont Nous est le pluriel.
Oeil est le seul mot de la langue française dont la première lettre change au pluriel.
C'est parce que le mot "Landau" vient du nom d'une ville allemande où cette voiture a été fabriquée et qu'il est une abréviation du terme d'origine (comme pneus, autos, kilos qui prennent un "s" au pluriel).
- Plur. : des trompe-l'œil (invariable). Le trait d'union se maintient dans la locution en trompe-l'œil (à la différence de en bas relief, en ronde bosse).
1. Traître (souvent avec majuscule). 2. Petite ouverture, guichet pratiqués dans un vantail de porte, une cloison, etc., permettant de regarder, de surveiller sans être vu.
Bourgeon développé au collet d'une plante ou à l'aisselle d'une feuille et utilisé pour la multiplication végétative de certaines plantes (artichaut, bananier, palmier). 2. Extrémité du tube d'une lunette ou d'un microscope, qui dépasse l'oculaire et détermine la position de l'œil.