Le développement de l'emploi des femmes leur permet d'acquérir leur indépendance financière et les place dans une position plus égale par rapport aux hommes en matière de « production » du bien-être. L'égalité femmes/hommes est un vecteur essentiel des politiques sociale, familiale et des politiques d'emploi.
Les femmes et les filles jouent un rôle essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui, et elles doivent être entendues, valorisées et appréciées dans l'ensemble de la société, afin que s'y reflètent leurs perspectives et leurs choix pour leur avenir et celui de l'avancement ...
Par exemple, les programmes d'aide sont plus efficaces quand les femmes participent aux activités de développement. L'alphabétisation des femmes accélère la croissance économique. Enfin, l'accès à l'eau et au microcrédit peut transformer la vie des femmes et aussi de leurs familles.
Le taux global de participation au marché du travail chez les femmes est actuellement proche de 49 %, tandis que celui des hommes est de 75 %. Soit une différence de près de 26 points de pourcentage, qui atteint même 50 points de pourcentage dans certaines régions.
Pendant la guerre de 14-18, les femmes remplacent, dans les usines, les hommes partis à la guerre. Ce sont elles qui font tourner le pays ! En 1965, elles obtiennent le droit de travailler sans demander l'accord de leur mari.
Les femmes représentent la moitié de la population active dans le monde. Elles occupent majoritairement des emplois dans les secteurs agricoles et tertiaire (services), notamment dans des postes relationnels ou touchant aux fonctions domestiques (cuisine, ménage, soins, garde et éducation des enfants).
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale. Le troisième problème concerne ce que l'on appelle le « plafond de verre ».
travailleuse. Qui travaille beaucoup, qui aime travailler.
D'autre part, la valorisation de la femme permet à l'Etat et aux institutions de développement de "délocaliser" les responsabilités et les tâches incombant à toute la société vers ces espaces plus économiques que sont les activités gérées par les femmes.
Elle permet de sauver des vies : 190 000 mères pourraient être sauvées si elles achevaient toutes leurs études primaires. Elle garantit des revenus plus élevés : les femmes ayant fait des études du niveau du primaire (partielles ou complètes) gagnent jusqu'à 20 % de plus que celles qui n'ont aucune éducation.
À l'échelle mondiale, les femmes et les filles doivent jouir de droits et d'opportunités équitables, et pouvoir vivre à l'abri de la violence et de la discrimination.
Aujourd'hui encore, les femmes s'acquittent de la majorité des tâches ménagères et des soins des enfants et des parents âgés ; après un divorce ou une séparation, les femmes qui assument plus souvent la garde des enfants, plongent fréquemment dans des situations d'une grande précarité ; dans le monde professionnel, ...
L'empathie, l'écoute, la bienveillance, l'amour, la créativité, ... tant de façons d'être "féconde" même si l'on n'est pas maman !
Les femmes sont au cœur des équilibres familiaux, culturels, sanitaires et sociaux. Elles jouent un rôle central en matière de santé, de développement et d'éducation. A ce titre, leur autonomisation est un indispensable facteur de paix et de progrès social, économique et environnemental.
Tout d'abord, le nombre de femmes travaillant augmente considérablement, passant d'environ 40% au milieu des années 1940 à près de 70% aujourd'hui (67% en 2013, selon la DARES – Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques).
Sans être propriétaire ou chef de famille, la femme contribue, dans des proportions significatives, à l'économie et à l'acquisition des biens dans la famille, par toutes les activités domestiques et économique qu'elle accomplit. La participation des femmes à l'agriculture est inégale selon les productions et les pays.
Les femmes utilisent davantage les outils mis à leur disposition pour soulever ou déplacer les charges. Leurs méthodes de travail sont plus sécuritaires et ainsi, elles se blessent moins que les hommes. Elles ont un effet d'entrainement positif sur le respect des mesures de santé et sécurité au travail.
Une femme moderne est une femme libre de ses choix. Certes, la liberté absolue n'existe pas, cependant, une femme moderne doit pouvoir, à l'instar de l'homme et à contraintes égales, prendre les décisions qu'elle estime lui convenir à elle et aux personnes qu'elle souhaite intégrer dans sa réflexion.
La sensibilité et l\'intelligence des femmes peut être un atout ; elles permettent de déceler et comprendre aussi bien ses propres émotions que celles d\'autrui, des membres de son équipe ou encore des clients, etc.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup d'êtres humains, puisqu'il est le seul à permettre une rémunération financière. Il existe toutefois d'autres formes de travail que le travail rémunérateur : le travail domestique ou le travail dans les études.