Un scanner permet de visualiser une modification de volume ou une anomalie de structure (tumeur, embolie, anévrisme, etc.). Cet examen est très utilisé en médecine, pour d'innombrables indications. Il peut notamment être utile pour : renseigner les médecins sur une zone précise avant d'y effectuer une intervention.
Que ne peut-on pas voir au scanner ? Le scanner est un outil formidable qui permet d'obtenir des images très fines de l'ensemble de l'organisme. Toutefois, certaines zones, en particulier au niveau cérébral, ne sont pas accessibles au scanner.
Le scanner peut également être utilisé pour guider un geste chirurgical, par exemple pour effectuer une ponction (un prélèvement) dans un organe. Le scanner est parfois associé à une autre technique d'imagerie médicale, la TEP (tomographie par émission de positons ou PETscan), en particulier en cancérologie.
Les tumeurs ayant une densité particulière par rapport aux tissus voisins normaux, le scanner sert à les détecter et à les localiser avec une grande précision.
Le scanner cérébral, à base de rayons X, est un examen d'imagerie prescrit en cas de maux de têtes, de troubles neurologiques ou en cas d'accident vasculaire cérébral (AVC) par exemple.
Le scanner ou tomodensitométrie
Le scanner, qui utilise également des rayons X, explore le corps en volume et permet donc d'établir des images en 3D des organes ou des tissus scannés : os, muscles, vaisseaux ou cerveau. Les images obtenues sont des images "en coupe".
Les résultats sont donnés sous la forme d'un compte-rendu à transmettre au médecin prescripteur de l'examen, d'images reproduites sur un film ou sur des planches papier et d'un CD-rom qui pourra être visualisé dans un ordinateur équipé des programmes spécifiques de lecture de scanner.
Les signes d'alarme peuvent être : - une grosseur palpable, apparue récemment dans l'un des seins chez la femme ou un nodule sous la peau, ou encore l'augmentation de volume ou l'induration (le fait de durcir) d'un ou de plusieurs ganglions. Ces ganglions anormaux sont appelés adénopathies.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Son principe associe l'injection d'une molécule radioactive qui va « marquer » les cellules actives de l'organisme, notamment les cellules cancéreuses, et l'utilisation d'un scanner.
Le scanner permet d'obtenir des images du cerveau grâce à des rayons X. Avant l'examen, un produit de contraste iodé est injecté dans une veine du patient afin de rendre la tumeur plus facile à visualiser. Le patient est ensuite allongé sur une table située au cœur d'un grand anneau qui émet les rayonnements.
Le scanner utilise les rayons X. C'est donc un examen irradiant qui ne peut être pratiqué chez une femme enceinte pendant les 6 premiers mois de la grossesse. L'IRM a l'avantage de donner des images dans les trois plans de l'espace et d'étudier la colonne vertébrale lombaire dans son ensemble.
On utilise le PET Scan pour déceler les tumeurs malignes et leurs métastases, et surveiller leur évolution.
La durée d'un scanner est d'environ 10 à 15 minutes. ATTENTION : si vous avez des douleurs en position allongée, et pour votre confort, pensez à prendre un médicament antalgique (anti-douleurs) 45 à 60 minutes avant l'examen.
Pour moi, la réponse est oui sans aucun doute. Le radiologue est un médecin comme les autres, il est soumis aux mêmes règles et en tant que tel, il est tout à fait capable de livrer un diagnostic au patient. Prenons l'exemple du cancer le plus fréquemment rencontré, celui du sein.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Le cancer se manifeste de manière très variable. Il évolue généralement sur de nombreuses années, souvent sans occasionner de symptômes.
L'imagerie médicale
en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Si sur votre bilan sanguin, la clairance de la créatininémie est comprise entre 30 et 60 ml par minute [signe d'insuffisance rénale modérée], il vous faudra boire 2L de Vichy Saint-Yorre la veille de l'examen et 2L le jour de l'examen, afin de bien préparer vos reins à l'injection iodée.
Administration in-situ (injection locale)
Dans certains cas (cystographie, hystérographie…), le produit de contraste peut être injecté directement dans un organe, pour en visualiser les parois, d'éventuelles lésions ou la présence de corps anormaux (calculs…).
N'hésitez pas à bien vous hydrater (1 à 1,5 L après l'examen). Boire de l'eau à composante salée et bicarbonatée reste la meilleure solution éliminer le produit de contraste. L'hydratation est par ailleurs très importante et très efficace pour préserver la fonction rénale.