Enfin lorsque l'évidence fait écho à la conscience morale il faut l'écouter, avoir confiance. Cependant se méfier de l'évidence peut s'avérer être bénéfique lorsque celle-ci est illusion et a priori. Mieux que la méfiance le doute cartésien permet à l'esprit humain de ne pas se tromper.
Les apparences sont souvent considérées comme trompeuses. Elles nous masqueraient la réalité (problème ontologique), donc nous éloigneraient de la vérité (problème épistémologique) et fausseraient nos jugements de valeur (problème éthique).
Réponse. Il n'est pas nécessaire de se méfier de la philosophie en elle-même, mais il est important de prendre en compte que toute perspective philosophique est subjective et peut être influencée par les présupposés et les croyances de celui qui la soutient.
L'évidence est ce qui fait qu'on ne peut pas voir (ou concevoir) une idée vraie sans que la vérité ne nous en saute aux yeux. Il ne suffit pas, toutefois, pour qu'un objet soit vu, qu'il soit suffisamment éclairé. Encore faut-il que celui qui le regarde ait la vue suffisamment nette.
Caractère de ce qui est évident, immédiatement perçu comme vrai : L'évidence d'un axiome. 2. Ce qui est évident : Démontrer une évidence.
Pour Descartes, l'évidence est la marque de la vérité, l'illustration la meilleure étant les mathématiques mais se retrouvant aussi dans toute science, et pouvant l'être dans toute discipline où l'on peut passer de l'errance (désaccord) des esprits à l'évidence qui les accorde, rompant ainsi avec la méthode scolastique ...
Se connaître soi-même, c'est bien davantage se reconnaître dans ses propres choix, dans la manière de les assumer en étant capable, par exemple, de tenir ses promesses. La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous.
Car les mots sont aussi un moyen d'emprise redoutable sur les individus et peuvent être des armes redoutables de manipulation dans les mains de ceux qui seraient mal intentionnés. Les linguistes nous apprennent que la pensée n'existe pas en valeur absolue mais se formalise avec les mots.
Il est possible de ne pas être l'auteur de ses pensées : des opinions reçues à l'inspiration divine, notre activité mentale est souvent déterminée par ce qui échappe au sujet. Mais dès lors qu'il assume cette extériorité, ce dernier est bien le signataire de ses pensées.
L'apparence nous protège, mais elle nous expose au regard des autres. Pierre-Georges: L'apparence est un outil qui fait partie de notre carte de visite! Elle laisse une empreinte durable de notre personne. Les gens vont certainement se souvenir que vous étiez plus souriant, plus aimable qu'une autre.
Les personnes attrayantes ont tendance à avoir plus de relations sociales et en conséquence un sentiment plus grand de bien-être psychologique, selon une étude publiée dans la revue Personal Relationships .
L'apparence se présente directement à notre vue ou à l'esprit sans connaissances particulières, elle nous induit en erreur. Ce n'est qu'une allure, un aspect, une perception, ne prenant pas consicence du réel, de l'évidence ou de la vérité.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Notre cerveau est préparé à anticiper les risques présents dans notre entourage, c'est-à-dire qu'il cherche avant tout à éviter les dommages physiques et psychologiques qui pourraient nous atteindre. Voilà pourquoi notre subconscient nous murmure parfois de changer de route et de nous éloigner de certaines personnes.
Quelqu'un de verbeux utilise beaucoup de mots pour ne pas dire grand-chose. Ses paroles sont abondantes, redondantes, mais souvent dénuées d'idées (ex. : un avocat verbeux). Il s'oppose donc à l'éloquent, qui, en plus d'une expression parfaite, maîtrise son sujet.
Les mots désignent donc et parfois même évoquent (dans un usage poétique, par exemple). Ils ont le pouvoir de mettre en mouvement la pensée ou l'imagination, et permettent de communiquer efficacement, de nous faire comprendre, de transmettre des informations.
La connaissance de soi
Nous agirons de manière rationnelle, et la qualité de nos relations sera meilleure. Le fait de connaître notre manière de fonctionner, de penser et de réagir permettra de mieux appréhender les situations et les réactions de l'autre.
Il est très difficile de se connaître soi-même, d'une part parce qu'une partie de nous-mêmes est inaccessible (cf. Freud, "le moi n'est pas maître de sa propre maison"). D'autre part, parce qu'un sujet ne peut devenir objet pour lui-même. En ce sens, la connaissance d'autrui est plus aisée.
Et bien tout simplement par la connaissance de soi. Se connaître soi-même n'est pas un devoir parmi les autres, c'est en fait le premier des devoirs. C'est cela qu'a montré Socrate, et sa révolution socratique.
Accepter nos émotions négatives
La chose primordiale que nous avons comprise, c'est qu'il ne sert à rien de “lutter”. Il faut accepter nos émotions négatives. Accepter qu'elles nous traversent, d'autant que d'après les croyances bouddhistes, dans la vie comme dans notre esprit, tout est voué à disparaître.
Distraire son esprit en discutant, entretenir le scepticisme et se donner une limite de temps comptent parmi les méthodes efficaces pour lutter contre la rumination, un réflexe susceptible d'augmenter le stress et les risques de dépression, selon Sonia Lupien.
La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
Pour juger la personnalité de quelqu'un à travers son apparence, les premières impressions sont souvent les bonnes, selon deux psychologues américaines dont l'étude sera publiée en décembre 2009 dans le journal Personnality and social psychology bulletin.