L'écologie et la protection de l'environnement et des sociétés. L'écologie est donc fondamentale car en protégeant l'environnement et la nature, elle permet de limiter les dégâts de la crise écologique et donc par extension de mieux protéger nos sociétés.
L'écologie a pour but premier de connaître le fonctionnement de populations et d'écosystèmes, c'est-à-dire d'ensembles d'éléments interactifs. Comme toutes les disciplines biologiques, l'écologie est donc une science fondamentalement systémique, tenue à d'incessants aller et retour entre l'analyse et la synthèse.
L'écologie est l'étude de la relation entre les êtres vivants et leur environnement. Elle repose sur des principes fondamentaux qui décrivent les interactions entre les organismes et leur milieu. Ces principes sont la cohérence, l'équilibre, la diversité et la résilience.
Ce même rapport rappelle que l'environnement fournit l'essentiel des ressources naturelles vitales de chacun (eau, air, sol, aliments, fibres, médicaments, etc.) et de l'Économie ; « Presque la moitié des emplois mondiaux dépendent de la pêche, des forêts, ou de l'agriculture.
Protéger l'environnement, c'est préserver la qualité de l'air que nous respirons. L'air est absolument indispensable à notre survie. Nous ne pouvons pas survivre plus de quelques minutes sans respirer. L'air nous apporte l'oxygène, carburant de nos cellules.
La réalité de la dégradation de l'environnement et ses conséquences sur la qualité de la vie et l'avenir de la planète a conduit à une prise de conscience généralisée et au développement des politiques environnementales. Depuis les années '90, la notion de développement durable sous-tend la réflexion.
100 de toutes les espèces. La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée.
Génération écologie (GE ou GÉ), créé en 1990 et présidé depuis 2018 par Delphine Batho. La formation fait partie du Pôle écologiste. Cap écologie (CE ou CÉ), fondé en 2021 et présidé par Corinne Lepage et Jean-Marc Governatori.
Le terme écologiste peut désigner un scientifique spécialisé dans l'étude de l'écologie, un adepte de l'écologisme, ou partisan de l'écologie politique.
Au fil des dictionnaires. L'édition 2002 du Petit Larousse compact définit l'"écologie" comme la "science qui étudie les relations des êtres vivants avec leur environnement". Le dictionnaire nous apprend que ce terme a été créé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel.
Quand l'écologie désigne la science qui étudie les interactions entre un organisme vivant et son milieu naturel, l'environnement fait référence au cadre naturel avec lequel l'Homme interagit et sur lequel ses activités ont un impact réel.
- Les enjeux écologiques prioritaires : éléments des écosystèmes marins ou de leur fonctionnement pour lesquels l'atteinte ou le maintien du bon état est prioritaire au regard de : 1/ la représentativité de la façade pour cet enjeu, 2/ sa sensibilité aux pressions et (3/ son importance fonctionnelle.)
SUBDIVISION DE L'ECOLOGIE. On subdivise généralement l'écologie en six branches : l'autoécologie, la synécologie, la démoécologie, l'écophysiologie, l'écologie globale et l'économie de l'environnement.
La pollution a des répercussions sur notre santé, les cultures, les bâtis, les écosystèmes et le climat. Les effets peuvent être immédiats ou à long terme (affections respiratoires, maladies cardiovasculaires, cancers...) Tout un dispositif est mis en place lors du déclenchement d'un épisode de pic de pollution.
Protéger la nature, c'est protéger la vie, les moyens d'existence et les habitats des humains et des animaux dans les écosystèmes les plus vitaux et dynamiques de la planète. Les forêts et les océans sont des lieux de vie et de diversité fragiles et précieux et nous œuvrons activement pour les protéger.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
D'autre part, certains exemples d'impacts envionnementaux positifs peuvent être la reforestation, l'utilisation d'énergies renouvelables, une gestion efficace de l'eau et un bon traitement de purification de l'eau ou la présence de zones adéquates de recyclage.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Plus simplement, c'est la relation qu'entretient un être vivant avec les autres êtres vivants et son environnement. Le terme “écologie” nous vient du grec logos qui signifie “la science” et oikos qui désigne “la maison”.
Le changement climatique est, selon eux, « un facteur multiplicateur d'instabilité dans certaines régions parmi les plus explosives au monde ». Autrement dit, un climat instable donnera lieu à une augmentation et à une intensification des tensions et des conflits dont le Conseil de sécurité a à traiter chaque jour.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Un bon nombre de mesures peuvent être prises. Garder la voie publique propre confère de l'air pur à la population. En effet, nettoyer divers déchets évitera les odeurs nauséabondes qui peuvent gêner ou rendre malade. De cette manière, toutes sortes de germes seront aussi évitées.