Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Étymologie. (1080) Du latin fēmĭna (« femelle », « femme »). L'étymologie de fēmĭna est obscure : « celle qui enfante, qui donne la vie », participe moyen substantivé de * feo (« produire, enfanter ») qui a donné fetus , fetura , fecundus , fenum , fenus (voir ces mots).
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Parce que les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ent se terminent en -emment. L'adverbe formé à partir de l'adjectif apparent, qui s'écrit -ent, est donc « apparemment ». Les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ant se terminent en -amment.
Un dernier mot prononcé aujourd'hui avec le son [e] se disait autrefois avec [a] : hennir, le hennissement. On disait donc le cheval [ani]. Vous aurez surement remarqué que, dans tous les mots concernés, le e prononcé comme un a précède soit deux n, soit deux m, soit deux l. Et il y a une bonne raison à cela.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Étymologie. (Adverbe) Agglutination de la locution, autrefois pléonastique au jour d'hui où hui signifiait « en ce jour », comme le latin hodie dont il provient. Intégré dans la langue française approximativement au XVI e siècle. De nos jours, hui a disparu du français et le mot a perdu son caractère pléonastique.
Il y a doublement du "m" lorsque l'adjectif que l'on veut transformer en adverbe se termine par –ant ou –ent. À son radical, on ajoute le suffixe –ment. Prenons l'adjectif bruyant, par exemple. Si on ajoute le suffixe –ment, on obtient bruyant + ment → bruyan – ment.
Origine : Cette expression vient de l'adjectif latin evidens qui a deux sens. Il qualifie les choses sûres et certaines, soit le sens premier de l'évidence, mais il désigne également les choses qui sont visibles, sens de cette expression.
Dans « évidemment » comme dans « nonchalamment », on entend « amant » à la fin : dès lors, il est facile de se tromper de terminaison et d'écrire « amment » pour « emment », et vice versa.
Il s'agit de la contraction de l'adjectif possessif mon et du nom commun sieur, qui est lui-même une contraction de seigneur. Il est donc une forme simplifiée de monseigneur. Par l'usage, il ne se prononce plus comme il s'écrit. La prononciation moderne est /mǝ.
La lettre 'c' se prononce comme un 's' devant les voyelles 'e, i, y' et les doublons 'ae, oe', mais comme un 'k' devant les voyelles 'a, o, u'. Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'.
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux.
MISANDRE, , adj.
Devinette : qu'est-ce qu'un homme peut faire 3 fois par jour mais qu'une femme ne fait qu'une fois dans sa vie? J'attends ta réponse. prétendre être en train de perdre sa virginité !
Une femme crée, occupe et fait avancer la société : on comprend qu'elle n'apparaisse pas seulement aux hommes comme le trophée pour lequel ils se battent (d'où la dimorphie de leur carrure), mais comme un objectif stratégique à soumettre.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Logiquement, naturellement, évidemment, bien sûr. Ce dit pour quelque chose qui va de soi. Exemple : Bien entendu, je reste à votre disposition pour tout renseignement supplémentaire. D'accord, oui.
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Troisième cas : à partir d'un adjectif terminé par -ent ------Violent => violemment. 3/ Sinon on termine l'adverbe avec -ment après avoir mis l'adjectif au féminin. : simplement, faussement, silencieusement.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
"Aujourd'hui" : déjà un pléonasme
Un peu d'étymologie ! Dans "aujourd'hui", il y a hui, un petit mot d'ancien français qui signifie "ce jour". On le retrouve sous les formes hoy, en espagnol, et oggi, en italien. Par conséquent, "aujourd'hui" est déjà un pléonasme signifiant "au jour de ce jour".
Quelle est l'origine du mot aujourd'hui ? Le mot aujourd'hui est construit autour d'un mot d'ancien français, hui (ou hoi ). Ce mot, qui provient du mot latin hodie , signifiait « le jour où l'on est ».