Sous l'effet du froid, la vapeur d'eau se condense directement en minuscules cristaux de glace, sans passer par l'état liquide. Ils s'accrochent ensuite à des petites particules présentes dans le nuage.
Lorsqu'il y a suffisamment de froid et d'humidité dans l'atmosphère, la neige se forme naturellement par condensation solide de la vapeur d'eau à saturation autour des noyaux de congélation. Selon sa structure et le vent, la neige tombe plus ou moins vite vers le sol.
En hiver, comme il est plus bas qu'en été, le soleil réchauffe moins la Terre. Les températures sont alors souvent fraîches, et le taux d'humidité est plus élevé. Avant de tomber, la neige commence par se former en altitude à l'intérieur d'un nuage. Pour cela, la température de l'air doit être négative.
Tout en haut des hautes montagnes, l'air est très froid ! L'eau ne fond pas et reste sous forme de neige. En revanche, lorsqu'une montagne n'est pas très haute, la neige fond au printemps en créant des torrents. On appelle ça, la fonte des neiges.
Quand le cristal devient trop lourd, il tombe alors lentement vers le sol. Et c'est là, dans leur chute, que les cristaux se collent entre eux et deviennent des flocons plus ou moins gros. Si la température s'adoucit, les flocons de neige fondent et se transforment en gouttes d'eau : c'est la pluie.
La neige appétissante, vraiment ? Malgré son apparence parfaitement propre, la neige blanche peut être contaminée de particules de pollution et de substances dangereuses pour la santé. De plus, la concentration de particules nocives s'intensifie, et ce, dès que la neige touche le sol.
La plus courante en montagne est la neige sèche, légère et poudreuse, qui se forme par temps très froid. La neige humide, qui tombe entre 0 et - 5 °C, est la plus contraignante, car elle est collante et lourde. C'est la plus fréquente en plaine. La neige mouillée tombe entre 0 et 1 °C.
Nous en avons déduit que la neige, c'est de l'eau gelée. Les gouttes de pluie, quand il fait froid, forment des flocons (solides). La neige fond sous l'effet de la chaleur et se transforme en eau (liquide).
Toutefois, elle peut atteindre 12 km au-dessus du point le plus profond des océans, soit une chute de neige plus haute sous la mer que dans le ciel. Ces flocons sont des agrégats d'autres particules plus petites, biogéniques et minérales, produites en surface par le plancton dans les océans.
«Cela dépend de la température qu'il fait au niveau de l'air et du sol», explique à 20 Minutes Cyrille Duchesne, prévisionniste à La Chaîne Météo. Il faut que celle-ci tourne autour de 0°C et cela ne se joue à rien: dès qu'on atteint 1°C, «cela ne tient pas», indique notre expert.
Pourquoi n'y a-t-il pas de neige naturelle ? Ce manque de neige n'est pas une surprise pour ces régions du nord-est de la Chine. Cela s'explique par leur climat. Les régions situées autour de la capitale sont soumises à des hivers continentaux avec très peu de précipitations.
La neige est une forme de précipitation qui tombe surtout en hiver, lorsque la température est aux environs de 0°C. Elle prend différentes formes cristallines à des températures plus basses. Les chutes de neige sont moins importantes ou à peu près nulles quand la température est basse.
Il s'agit de précipitations solides qui tombent d'un nuage et atteignent le sol lorsque la température de l'air est négative ou voisine de 0 °C.
La pluie est également efficace pour faire fondre la neige. En effet, la goutte d'eau est plus chaude lorsqu'elle atteint le sol. Elle s'infiltre ainsi dans le couvert neigeux en profondeur. Toutefois, l'efficacité de la pluie pour accélérer la fonte dépend de la température de l'air.
Lorsque les cristaux de glace deviennent trop lourds, ils se décrochent alors des nuages et se précipitent vers le sol. Lors de cette chute, si les cristaux traversent différentes masses d'air où la température est négative alors ils se réunissent pour former des flocons de neige.
Ces scientifiques, dont les travaux viennent de paraître dans la revue scientifique The Cryosphere, laissent entendre que le manteau neigeux pourrait se réduire jusqu'à 70 % dans les Alpes françaises d'ici 2100.
Le froid tuera les bactéries présentes sur le tapis. Comme quoi la neige ne sert pas qu'à faire du ski !
Trois conditions sont nécessaires pour que la neige se forme : la température de la masse d'air (à toutes altitudes) doit être très proche de 0°C ou inférieure à 0°C ; la vapeur d'eau doit être présente en assez grande quantité dans l'atmosphère ; de minuscules particules volatiles (poussières, sable, …)
n.f. Eau congelée qui tombe en légers flocons blancs.
En effet, croquer de la neige, dont la température est de 0 °C, peut provoquer un choc thermique. L'organisme perd de la chaleur (plutôt à éviter en montagne) et des diarrhées aiguës peuvent survenir. Il vaut donc mieux faire fondre la neige.
Le froid et l'altitude peuvent masquer ou diminuer la sensation de soif, mais les besoins hydriques sont, eux, très importants. En montagne, on se déshydrate vite, ne serait-ce que par la respiration qui crée une déperdition importante de liquide.
Pas de danger en petite quantité
"La neige très fraîche contient peu de bactéries, mais les micro-organismes augmentent en fonction des impuretés de l'air", déclare l'auteur principal de l'étude, le professeur Istvan Mathe à l'Associated Press, relayé par le .
Contrairement à une idée reçue, il peut neiger à une température inférieure à zéro degré, celle-ci n'agissant que sur l'aspect des flocons.
Lorsqu'on s'élève en altitude, la température s'abaisse d'environ un degré pour une dénivellation de 180 mètres. En haute montagne, l'été, la température diurne reste souvent au-dessous de 0 degré. Et, s'il fait plus chaud, la neige accumulée fond tout de même difficilement car les nuits sont glaciales.
En effet, comme la neige détient un albédo beaucoup plus élevé que le sol sombre, elle va réfléchir les rayons du soleil qui retourneront d'où ils proviennent. Lorsque les températures sont au-delà du point de congélation, une petite partie de cette chaleur est aussi utilisée pour faire fondre la neige quelque peu.