L'histoire est une réflexion sur le temps Changement parce que, malgré bien des vicissitudes, on constate un progrès global : « Leur montrer, par des exemples à leur portée qu'un pays… peut changer du tout au tout. » Il y a « progrès vers l'égalité et la liberté [8]
L'Histoire, autrement dit l'exploration du passé, nous aide à entrevoir d'où nous venons... et où nous allons. En nous faisant mieux connaître le beau pays auquel nous avons le bonheur d'appartenir, elle nous prépare à bâtir ensemble notre avenir.
L'Histoire permet de connaître le passé, de comprendre le présent et, si elle ne permet pas de prédire l'avenir, elle le nourrit de sa représentation. L'histoire des infirmières dans l'acception moderne du terme, correspond à un peu plus d'un siècle d'évolution singulière dans chaque pays.
Elle occupe une place de choix dans la vie des sociétés. L'histoire, c'est la connaissance aussi complète que possible des itinéraires suivis par les générations précédentes. C'est la mémoire de l'humanité. À ce titre, elle constitue un immense réservoir d'expériences.
17La véritable finalité de l'histoire réside dans la meilleure connaissance de l'homme lui-même et de ses réalisations, bonnes et mauvaises, de la genèse des différentes cultures de par le monde.
L'histoire est cette connaissance du passé qui doit nous rendre d'autant plus vigilants envers le présent que nous sommes conscients de nos erreurs passées, mais qui laisse cependant ouverte devant nous cette tâche de prendre des décisions, de créer des valeurs nouvelles, qu'aucune connaissance du passé ne peut nous ...
Le but de l'Histoire est de montrer les liens entre le passé et le présent pour rendre intelligibles les phénomè- nes du présent. Le rôle de l'historien est en effet de décoder les discours qui nous dominent, de permettre l'analyse des systèmes politiques, économi- ques, médiatiques.
L'histoire embrasse l'étude de tous les faits passés, politiques, intellectuels, économiques, dont la plupart ont passé inaperçus. Il semblerait donc que les faits historiques puissent être définis : les « faits passés », par opposition aux faits actuels qui sont l'objet des sciences descriptives de l'humanité.
L'histoire permet de conscientiser les peuples sur leur valeur, revalorise le peuple dans leur évolution, leur spécificité par rapport à d'autres peuples.
L'histoire a un sens parce qu'elle est le lieu où se fait notre humanité. Telle est la source du souci historique de notre siècle, bien différent en cela du précédent. L'histoire n'est plus simple objet de connaissance, mais question de vie et de sentiment de l'existence.
Vivre, c'est apprendre de son passé. Et, à titre historique, la connaissance du passé consiste à repérer comment les événements se sont produits pour mieux comprendre notre propre présent, éclairer l'avenir et guider l'action politique et collective.
Connaître l'humain revient à savoir ce que l'humain peut faire de meilleur, mais aussi ce qu'il y a de plus mauvais en lui. Le souvenir partagé est donc la matérialisation de l'irréel.
L'histoire est au cœur de la mémoire collective d'un peuple ou d'une nation : elle est un ensemble de références à partir duquel se construit une grande partie de l'identité du groupe social.
Donc l'histoire est une science d'observation directe quant aux témoignages, indirecte quant aux faits. C'est une science raisonnée puisque par l'examen des témoignages elle conclut à l'existence et à la nature des faits.
1. Connaissance du passé de l'humanité et des sociétés humaines ; discipline qui étudie ce passé et cherche à le reconstituer : Les sources, les matériaux, les méthodes de l'histoire. 2. Par opposition à la préhistoire, période connue principalement par des documents écrits.
L'Histoire, considérée comme discipline, est l'étude des événements du passé, des faits relatifs à l'évolution de l'humanité. On étudie aussi bien l'action des hommes que leur environnement (qui peut en partie expliquer leurs actions).
Les objets d'étude définissent le cadre d'une programmation et des connaissances sur lesquelles en classe de première les élèves peuvent être évalués, à l'écrit comme à l'oral. Ils identifient les champs dans lesquels choisir des œuvres à étudier, des orientations pour les aborder.
Si l'État universel et homogène est le but de l'Histoire, l'Histoire est absolument “tragique”18. » La fin de l'histoire est tragique, parce qu'elle consacre l'avènement du « dernier homme » et avec lui la disparition des plus hautes possibilités humaines.
L'historien peut interroger des témoins sur ce qu'ils ont vu et entendu (sources orales), interroger les textes (sources écrites) et encore interpréter les vestiges matériels (sources archéologiques).
Au fil du temps, l'autonomie devant l'étude de documents permettra aux apprenants grandissants de développer leur propre pensée face à un corpus d'informations. Plus concrètement, l'histoire permet de faire des jeunes des citoyens éclairés, dotés de valeurs auxquelles ils croient, et qu'ils sont prêts à défendre.
1789 : Déclaration des droits de l'homme et du citoyen et prise de la Bastille. 1792 : Débuts de la république. 1804-1815 : 1er empire (Napoléon se fait sacré empereur suite à son coup d'Etats de 1799). 1815-1848 : Monarchie constitutionnelle avec Louis Philippe à sa tête.
Qualifié de "père de l'Histoire", Hérodote, né à Halicarnasse au Ve siècle avant notre ère, a témoigné de son temps et de ses événements en enquêtant, voyageant, écrivant et racontant, lors de séances de lectures publiques, ce qu'il voyait.
Cette dépendance des traces documentaires constitue la grande faiblesse de l'histoire: elle la tient à la merci des découvertes toujours possibles. L'histoire n'a pas à en rougir, puisqu'elle la partage avec bien d'autres sciences, qui se montrent pourtant plus confiantes dans leurs positions.
Un historien ou une historienne est une personne qui étudie ou publie sur l'histoire en produisant un discours ou un écrit respectant une méthode scientifique.
Le mot Histoire vient du grec Historia qui signifie Enquête en grec. C'est le titre que donna le voyageur grec Hérodote à l'ensemble de ses récits (9 volumes), dans lesquels il décrit les pays visités, de l'Égypte à la Perse, et - fait nouveau - s'interroge aussi sur leur passé.