On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Le travail favorise également la communication, donc le rapport avec les autres. Il fait vraiment de l'être humain un être social. Le travail forme l'homme à la sociabilisation et lui apprend donc à vivre en société. Le travail est en effet lié à la diversité des techniques et à la nécessaire coopération sociale.
C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale. Le travail structure des catégories professionnelles et des pratiques collectives.
Le travail est un vecteur de développement personnel et préserve nos capacités intellectuelles. Et il ne faut pas oublier que le travail est valorisant, nous assigne un rôle dans la société, un statut social et une reconnaissance de la part des autres déterminant pour une bonne santé mentale.
Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
Le travail est une nécessité pour l'homme
Assurer sa survie matérielle, c'est pouvoir manger, s'habiller, s'abriter et se soigner. Assurer son confort matériel, c'est pouvoir choisir et améliorer ses conditions de vie matérielle. Assurer ses besoins intellectuels, c'est apprendre à parler, lire, écrire et compter.
Le sens du travail peut se définir à travers la perception qu'a l'individu à la fois de son travail et de son rapport à celui-ci.
En conclusion, nous pouvons affirmer que le travail contribue au bonheur car il procure de nombreuses sensations, interactions, liens et sentiments bénéfiques à notre organisme et contribuant à cet état de bonheur. Il existe malgré tout des obstacles et des conditions nécessaires pour atteindre ce bonheur.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Les recherches bibliographiques récentes montrent que le travail en horaires longs est à l'origine d'effets sur la santé : troubles psychiques (dépression, anxiété, suicides…), troubles du sommeil, addictions, anomalies lors de la grossesse et d'autres altérations de l'état de santé général.
dangers physiques – rayonnements, champs magnétiques, températures extrêmes, pressions extrêmes (haute pression ou sous vide), bruit. dangers psychosociaux – stress, violence. dangers pour la sécurité – glissade, trébuchement, protection inadéquate des machines, défaillance ou panne d'équipement.
Le travail comme libération. Le travail est certes le seul moyen que l'homme ait d'assurer sa survie : si nous travaillons, c'est donc bien par nécessité, et même par une nécessité qui est naturelle avant d'être sociale. C'est alors la liberté humaine qui se trouve, semble-t-il, compromise.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
C'est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d'exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d'être rémunéré.
[Synth] Ainsi, le travail en tant qu'emploi rémunéré permet à l'individu de renforcer son indépendance à l'égard des autres individus, ce qui lui permet de chercher à satisfaire ses propres désirs plutôt que de devoir satisfaire les désirs de ceux dont il dépend, ce qui lui permet de construire une image de lui-même ...
Mais, en même temps, sa profession lui donne un sentiment de dignité dans la vie. De plus, c'est par le travail que nous avons la possibilité d'externaliser nos compétences et capacités personnelles. On peut donc dire que l'importance du travail dans la vie d'une personne va bien au-delà des questions financières.
L'épanouissement au travail : source de performance économique. Le travail est le moyen le plus sain de subvenir aux divers besoins auxquels nous pouvons faire face. Il permet également d'exposer notre talent, nos capacités, ainsi que notre créativité.
Par définition, le bonheur au travail consiste à se sentir bien dans son emploi, bien avec ses collaborateurs et sur son lieu de travail. Il fait donc référence à la façon dont les gens ressentent leur travail, plus que ce qu'ils en pensent. Cette notion est bien sûr subjective et parfois incomprise des managers.
Quel est le premier sens du mot travail ? Le premier sens du mot "travail" est aujourd'hui contesté. Il viendrait du latin "tripaliare" qui signifie "torturer", un mot qui vient lui-même du nom "tripalium" qui désigne un objet de torture. Dans le travail, il a donc un sens de souffrance voire de douleur.
Contraire : chômage, liberté, loisir, repos.
Le refus de travail a un sens parce que l'homme préfère ne rien faire. Le travail demande beaucoup d'efforts physiques et mentaux. Ce n'est donc pas une activité réjouissante. De ce fait, l'homme peut librement décider de ne pas travailler.
La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus). L'auteur y propose des solutions et peut ouvrir des perspectives nouvelles qui permettraient la poursuite de la recherche.
C'est par le travail que l'homme se transforme. Le travail est indispensable au bonheur de l'homme ; il l'élève, il le console ; et peu importe la nature du travail, pourvu qu'il profite à quelqu'un : faire ce qu'on peut, c'est faire ce qu'on doit.
Pour 80% c'est une manière de trouver sa place dans la société, pour 79%, il génère du lien social (qui fait partie des quatre piliers nécessaires à l'épanouissement), et permet de se sentir utile. Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre.