Son ombre est froide, gardons-nous d'y faire la sieste. Le pollen est allergisant. La pourriture de l'enveloppe des noix, l'écale, dégage des toxines impropres à la consommation. Le noyer contient enfin une substance toxique, la
(Biochimie) Substance cristalline extraite du brou de noix (5-hydroxy-1,4-naphtoquinone). Mais la plante qui se cache sous le nom juglone ne saute pas aux yeux. Un ancien nom donné à cette substance, nucine, est plus parlant : il fait penser à la noix, en latin "nux", "nucis".
tilleul. Certainement le meilleur choix. Les allergiques aux abeilles devront cependant éviter d'y faire la sieste pendant la floraison de l'arbre (fin mai début juin selon les régions) qui fourmille alors de butineurs en tout genre, les abeilles en tête.
On dit souvent que rien ne pousse sous un noyer. Le noyer produit une substance toxique appelée juglone. Cependant, il est possible d'y planter certaines espèces. Cette toxine peut empêcher la germination de certaines plantes et les inhiber durant une année.
La Bactériose
Cette bactérie pénètre dans les tissus et provoque des nécroses. En effet, les feuilles et fruits sont criblés de petites tâches huileuses puis noirâtres, entourées d'un halo. Les maladies cryptogamiques et les ravageurs du noyer dont cet arbre a le plus à combattre comprend la Bactériose.
Son ombre est froide, gardons-nous d'y faire la sieste. Le pollen est allergisant. La pourriture de l'enveloppe des noix, l'écale, dégage des toxines impropres à la consommation. Le noyer contient enfin une substance toxique, la juglone, qui bloque la croissance d'autres plantes situées à proximité.
Le dioxyde de carbone produit pendant la respiration atteint les espaces vides à l'intérieur des feuilles et, simultanément, la photosynthèse se poursuit. De ce fait, le dioxyde de carbone présent dans l'air est utilisé et consommé par les plantes.
La sève du figuier est en effet phototoxique. En raison des furocoumarines (substances photosensibilisantes) qu'elle contient, elle peut provoquer des phytophotodermatoses, autrement dit des réactions cutanées sous l'effet des UV et de l'humidité (eau, sueur, etc.).
Il donne des fruits, mais aussi du bois qui peut être utilisé en ébénisterie et marqueterie. C'est un arbre vigoureux et rustique : il supporte jusqu'à -30°. Facile d'entretien car ne nécessitant pas de taille, il aime les sols riches et a besoin d'eau, notamment en juin lors de la croissance de ses fruits.
Le saule pleureur possède un système racinaire puissant qui détruit tout sur son passage. Les égouts, les conduits d'irrigation peuvent être sérieusement endommagés.
Les feuilles de noyer permettent de lutter contre la diarrhée, les troubles de la circulation veineuse et lymphatique et l'hypertension. En usage externe, elles soulagent l'eczéma, l'acné, régule la transpiration et s'attaquent aux mycoses.
Saule pleureur (Salix babylonica)
Le saule pleureur est un arbre d'ombrage emblématique, avec des taux de croissance de plus de 60 cm par an.
Les feuilles du noyer, toxiques
L'explication vient de la Juglone, une substance chimique qui empêche la croissance des plantes en contact avec les feuilles. Si le noyer est solitaire au milieu dans un grand terrain.
Le catalpa boule a la forme d'un parasol et ne prend pas beaucoup de place. Amoureux des fleurs, pensez au cerisier du Japon. Au printemps, ses fleurs roses tombent et offrent un spectacle magnifique avec une pluie de pétales. L'été, son feuillage apporte ombre et fraîcheur.
Il a le même biotope que le noyer commun: il apprécie les sols humides et les cours d'eau. Il pousse en compagnie de noisetiers, de noyers et d'autres caryers à noix douces, sans compétition car l'arbre ne pousse pas beaucoup en largeur. Son feuillage est reconnu pour la haute teneur en calcium de ses feuilles.
Les racines de noyer peuvent s'étendre dans un rayon de 15 à 18 mètres (50 à 80 pieds) de l'extrémité de la frondaison d'un arbre mature. Les jeunes noyers ne semblent pas causer de réactions toxiques aux plantes sensibles avant d'atteindre l'âge de sept à huit ans.
Le noyer (Juglans regia) est un bel arbre au port arrondi, originaire d'Europe du sud-est et de l'ouest de l'Asie, qui peut mesurer 25m de haut et être centenaire, malgré sa croissance particulièrement lente.
Franquette est assez peu sensible à la bactériose et à l'anthracnose et son cerneau est d'excellente qualité. C'est incontestablement la meilleure des variétés françaises à fructification terminale.
Taille et entretien du noyer
Tailler lors de la chute des noix est un bon moyen pour connaitre la période. Supprimez alors le bois mort. Coupez les branches qui poussent vers l'intérieur à condition que leur diamètre ne dépasse pas 3 cm. Si les branches se croisent, éliminez en une partie.
Il convient de planter l'arbre noyer au cours de l'automne dans un sol normal ou bien sableux, hors période de gelée. Il est important que le noyer bénéficie d'une exposition ensoleillée, à l'abri du vent, et qu'il ait suffisamment d'espace (que ce soit pour ses branches ou ses racines).
J'ai parfois vu des rosiers et des lauriers. Mais il est possible que sous le noyer noir (Juglans nigra), la juglone soit plus puissante. Il est très important de ratisser les feuilles sous l'arbre pour limiter la concentration de juglone. Cela dit, si l'arbre est ancien, la dose dans le sol peut être élevée.
Plantation du noyer
Le noyer apprécie les sols frais, bien drainés et non calcaires. Il tolère les sols argileux mais attention à la sécheresse en été, qui peut être fatale au jeune noyer. Installez le noyer dans un endroit ensoleillé et protégé des vents froids et humides d'automne.
Un noyer commence à produire vers 5-6 ans et est à pleine production à 25ans. Il peut donner des noix jusqu'à 70 ans et vivre 300ans.