Toutefois, ces poissons sont particulièrement exposés aux polluants comme les PCB, des composés utilisés dans l'industrie avant 1987, date de leur interdiction en France. Comme ces molécules sont peu biodégradables, elles s'accumulent dans l'environnement et en particulier dans les sédiments marins.
Il peut y avoir des traces de polluants dans le saumon sauvage et dans le saumon d'élevage. Les plus souvent cités sont les polluants organiques persistants (POP), dont les PCB, et les métaux lourds, comme le mercure.
D'après certaines études scientifiques, le saumon contribueraient aussi à la prévention des troubles de l'humeur comme la dépression. Les lipides du foie gras sont constitués essentiellement d'acides gras mono-insaturés excellents pour l'appareil cardiovasculaire car ils font baisser le HDL, le mauvais cholestérol.
Le saumon est bon pour les os. La vitamine D présente dans le poisson aide le calcium à se fixer sur les os. Le saumon est très riche en vitamines B ce qui permet de faire le plein d'énergie. Les vitamines B9 et B12, reconnues pour protéger les poumons du cancer sont aussi présentes dans le saumon.
Les poissons qui peuvent être consommés sans restriction
Selon le rapport, l'aiglefin et le saumon sont les deux espèces de poisson qui présentent le moins de mercure et peuvent donc être consommés librement.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Si vous avez du cholestérol, préférez effectivement le poisson à la viande rouge. Idéalement, il est conseillé d'en manger deux à trois fois par semaine et de privilégier les poissons gras. Le saumon, le thon, le maquereau ou encore les sardines et les anchois sont les bienvenus dans vos menus !
Le saumon sauvage a l'avantage d'apporter une bonne teneur en oméga-3 et un peu plus de micronutriments (iode, phosphore, potassium, sélénium) car il se nourrit de poissons de mer. Mais il peut être contaminé aux métaux lourds type mercure en raison de la pollution des océans.
-Consommez 2 portions de poissons par semaine, dont un poisson gras (à forte teneur en oméga 3 à longue chaine) comme le saumon, la sardine, le maquereau, le hareng, la truite fumée.
Le saumon de Norvège bourré de produits toxiques, le gouvernement reconnait qu'il peut être dangereux pour la santé Après les Anglais qui ont fait manger de la viande infectée pendant plusieurs années, voilà donc la Norvège qui pollue notre santé avec du saumon d'élevage bourré de produits toxiques.
Les fruits rouges, comme le cassis, la myrtille ou la fraise, sont particulièrement riches en vitamine C. "Ils seraient bénéfiques pour améliorer la santé du foie et agir contre l'oxydation des cellules, notamment celles du foie", indique le Professeur.
En première position, le saumon fumé au bois de hêtre prestige bio, de la marque Mowi; vient ensuite le saumon fumé avec 25% de sel en moins de Petit Navire et enfin le saumon fumé Atlantique de U Bio.
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Choisissez du poisson avec un label MSC ou ASC qui impose des exigences dans le domaine de la pêche durable (MSC) ou de l'aquaculture responsable (ASC). Concernant le saumon d'élevage que nous avons testés, c'est donc au label ASC qu'il faut se référer.
Privilégiez donc un saumon label rouge, un saumon bio que vous l'achetiez en GMS ou chez le traiteur. (nourriture meilleure, moins de traitements antibiotiques, densité plus faible). Choisissez une date de limite de consommation la plus éloignée possible car le saumon fumé s'oxyde vite.
Voici la liste des aliments qu'il est conseillé d'éviter, en cas d'hypercholestérolémie: beurre, crème fraîche, lait entier et demi écrémé, concentré. viandes grasses : mouton, agneau, oie, bœuf, poule, abats. charcuterie.
Adopter l'huile d'olive, de colza ou de lin, également source de bons acides gras. Consommer quotidiennement des fruits et des légumes, frais et de saison si possible. Boire chaque jour deux grands verres de jus de radis noir, de céleri... Grignoter des graines de courge dans la journée ou à l'apéritif.
Le poisson gras et l'huile de poisson : riches en oméga 3
On le sait, ces acides gras contribuent à réduire le cholestérol LDL au profit du cholestérol HDL. Ils éliminent donc le mauvais cholestérol, tout en préservant le bon (5). Le thon, le saumon, le hareng, le maquereau et la sardine en sont de parfaits exemples.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.