le manque de sommeil peut être responsable de nombreuses pathologies. Mais rester dans les bras de Morphée trop longtemps ne serait guère mieux. En effet, une nuit trop longue annoncerait un risque de développer une démence dans les dix ans, alerte une nouvelle étude publiée dans la revue Neurology.
Clinophilie: De la tendance à la pathologie. De la simple difficulté récurrente à sortir de son lit, à la clinophilie ( le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé), rester au lit alors que rien ne le justifie sur un plan somatique, n'est pas un symptôme anodin.
Causes de la clinophilie
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.
La personne préfère rester constamment couchée. Généralement ce sont les personnes souffrant de neurasthénie ou d'une importante dépression qui présentent une clinomanie. C'est une sorte d'addiction, de rester au lit, de refuser de se lever.
hypersomnies centrales (narcolepsie avec ou sans cataplexie) : elles sont dues le plus souvent à une dégénérescence de certains neurones dans le cerveau qui entraîne des accès de sommeil, avec ou sans cataplexie, c'est-à-dire une perte soudaine du tonus musculaire. C'est une maladie rare.
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
L'ouverture de la bouche pendant le sommeil est liée à une mauvaise respiration, souvent associée à des problèmes des voies respiratoires, que ce soit à cause d'une obstruction nasale ou de la gorge ou même d'un mauvais positionnement au repos.
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
La dépression supprime la motivation. La personne n'a plus d'élan pour les actes du quotidien (cuisiner, se laver, s'habiller, aller travailler) : elle se force à les accomplir ou ne les accomplit pas.
Rester chez soi et ne rien faire est bon pour la santé !
Rester chez soi et ne rien faire est non seulement tendance, mais en plus conseillé par les médecins ! Le " nesting " est même recommandé par les spécialistes tellement il apporte bien-être et sérénité.
Il sait te réconforter
Quand ton ex t'a larguée, il a su te consoler comme il fallait. Bien calé sur ton oreiller, tu as pu verser toutes les larmes de ton corps et insulter ce goujât à volonté, en sachant que ton lit adoré ne te jugerait jamais.
Expression imagée qui s'emploie pour parler de quelqu'un qui est tellement malade qu'il ne peut plus sortir de son lit.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Le burn out se traduit d'abord par des signes physiques : fatigue permanente, mal de dos, insomnies, migraine, maux de ventre, infections fréquentes, etc.
L'agoraphobie est un trouble dont la définition psychiatrique peut se résumer par la peur de sortir de chez soi ou de ne pas pouvoir s'échapper facilement d'un endroit. Cette phobie peut avoir des conséquences lourdes sur la vie quotidienne et sociale du patient, et cela ne se guérit pas du jour au lendemain.
C'est parce que nous avons tous besoin d'un contact direct avec la nature et les éléments, pour grandir, comprendre le monde, développer notre intelligence, s'épanouir et cultiver notre émerveillement jusqu'à la fin de notre vie, qu'il faut sortir tous les jours !
La lypémanie, que Esquirol voulait distinguer de tous ces usages allégoriques et qui signifie en grec "éprouver du chagrin et de l'anxiété", décrit, elle, précisément, une passion triste pouvant se définir par un état dépressif de mélancolie profonde, qui va évoluer en obsession morbide.
Ne pas confondre la clinophilie avec d'autres types de troubles tels que la dysanie qui désigne la difficulté à sortir du lit le matin et l'hypersomnie qui correspond à un besoin excessif de sommeil.
Il est également important de s'impliquer dans des activités qui nous aident à nous sentir mieux, mais pas pour le simple fait de divertir, mais pour participer à des activités qui sont précieuses pour soi.
La personne dépressive dort beaucoup (trop) pour fuir sa souffrance. On parle d'hypersomnie. Malgré tout les symptômes de grande fatigue et de perte d'énergie sont les mêmes. Si cette hypersomnie revient tous les ans dès l'automne, elle est liée à une dépression saisonnière.
Lorsque vous dormez sur le ventre, votre position n'est pas idéale, en premier lieu pour votre dos : il est trop creusé, et votre colonne vertébrale est trop sollicitée. À terme, ce sont des douleurs lombaires qui peuvent ainsi apparaître.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Inspirer par le nez pendant 4 secondes. Expirer pendant 6 secondes par la bouche comme si on soufflait dans une paille. Faire une pause de 2 secondes. Recommencer autant de fois que nécessaire.