Lorsque l'on observe un nuage par dessous, selon son épaisseur, il apparaît entre le blanc et le gris sombre. Cela vient du fait de sa constitution en gouttelettes d'eau dont les diamètres sont d'une taille supérieure aux longueurs d'ondes de la lumière visible (20 micromètres environ).
La nature de la diffusion est dépendante de la dimension des arrangements moléculaires. Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
Il arrive que le ciel soit gris car il est composé de nuages qui vont du blanc jusqu'au gris très foncé. Ces nuages sont constitués de milliards de gouttelettes d'eau, cristaux de glace et gouttes d'eau plus grosses. Ces gouttes restent en suspensions et barrent la lumière du soleil vers la terre.
Des nuages qui absorbent la lumière
Cependant, quand la taille de ces gouttes augmente et que les nuages en sont davantage chargés, elles absorbent plus de lumière au détriment de la terre et des humains qui en reçoivent moins. Résultat : nous avons l'impression que la base des nuages est gris foncé ou noire.
Les particules solides, les gouttelettes et les gouttes d'eau liquides peuvent également absorber la lumière. Ceci explique que certains nuages nous apparaissent noirs lorsqu'ils sont très denses. Le soleil nous apparait jaune dans un ciel bleu sur lequel se détachent des nuages blancs ou noirs.
Le cumulonimbus, de la famille des cumulus, est le nuage qui présente la plus grande extension verticale. Sa base se situe en général de quelques centaines de mètres à 3 500 mètres du sol. Son sommet dépasse parfois la tropopause ; il peut donc culminer à des altitudes allant de 8 000 à 18 000 mètres voire 21 km.
En effet, la lumière solaire traverse une couche plus importante d'atmosphère : la plupart des couleurs de la lumière ont été dispersées, dont le bleu, et la couleur du ciel et du soleil vire alors au rose, orange ou rouge.
Le ciel n'est pas de la matière. Il ne peut pas être touché. Le ciel est tout l'espace qu'il y a autour de nous rempli d'air jusqu'à une hauteur de peut-être dix à vingt mille mètres.
le crépuscule civil quand le soleil est entre 0° et 6° sous l'horizon. Les astres les plus brillants apparaissent. L'évolution des couleurs du ciel est rapide passant de l'orange au rouge au rose. le crépuscule nautique (appelé heure bleue) quand le soleil est entre 6° et 12° sous l'horizon.
Mais quand le Soleil est près de l'horizon, la lumière traverse une plus grande couche d'air, et la totalité de la lumière bleue est déviée. La lumière qui nous atteint devient alors très rouge donnant ces teintes rosées aux couchers de Soleil.
Au réveil, nombreux sont ceux qui ont dû remarquer que la couleur du ciel était plus orangée et que des résidus de poussière se sont posés sur les capots de voitures, ce mardi 15 mars 2022. Cela est dû à une remontée de sable du Sahara. Selon Météo France, c'est un phénomène qui arrive surtout en hiver.
Le ciel de Grenoble (Isère) est très voilé ce mardi 15 mars 2022 et présente une couleur vaguement jaunâtre. On vous explique pourquoi. Le sirocco est de retour. Ces poussières de sable du Sahara remontent sur la France, ce mardi 15 mars 2022, et jusqu'à la fin de la semaine.
Du fait de la rotation terrestre, le ciel entier tourne apparemment autour de l'axe de la Terre. Ce mouvement fait qu'une partie des astres dépendant de la latitude se lèvent à l'est, culminent au méridien, et se couchent à l'ouest.
Nimbes Noirs ( Angl. Cloudspots ) est un mâle noir à poil long, aux oreilles blanches, au poitrail blanc et aux pattes avant blanches. À partir de Le sentier des étoiles il décide de changer de nom pour passer de Poil de Nuage à Nuage Noir.
STRATOCUMULUS. Ce sont des nuages gris-blanc des ciels d'hiver qui apparaissent sous forme de galets et rouleaux avec des parties sombres. Ils correspondent à un temps couvert, sans précipitations. Les stratocumulus ressemblent aux altocumulus, à la fois par leur aspect et les processus qui leur donnent naissance.
La diffusion de la lumière solaire par les molécules est plus forte dans le bleu et le violet (c'est pourquoi le ciel est bleu ; c'est la couleur de la diffusion par l'air) et la lumière blanche s'appauvrit petit à petit en violet, bleu, et même en vert pour devenir de plus en plus jaune, orange, puis rouge.
blanche, même si le Soleil est souvent représenté comme jaune quand on le dessine. Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière.
Au lever et au coucher, lorsque le soleil est proche de l'horizon, sa lumière traverse une couche atmosphérique plus épaisse. C'est la lumière rouge orange qui est diffusée.
Ainsi, au lever comme au coucher du soleil, la lumière solaire parcourt un important trajet dans l'atmosphère : toutes les couleurs à faibles longueurs d'onde disparaissent et la couleur du ciel et du soleil vire alors au rose, orange ou rouge". De plus, la pollution accentue ce phénomène.
« Le scintillement est causé par des réfractions multiples et aléatoires de la lumière dans les couches turbulentes de l'atmosphère terrestre. Si les étoiles scintillent alors que les planètes ne le font pas, c'est que les étoiles sont suffisamment éloignées de nous pour n'apparaître que comme des points.
Peut-on se trouver au pied d'un arc-en-ciel ? Malheureusement, c'est impossible car les trois acteurs sont toujours parfaitement alignés et si l'observateur se déplace, l'arc-en-ciel bouge avec lui.
La nuit, la lumière du soleil n'entre plus en collision avec les particules qui composent l'atmosphère. Même chose dans l'espace, où il n'y a pas d'atmosphère pour provoquer des collisions avec la lumière solaire. Le ciel n'a alors aucune couleur. Et aucune couleur, ça veut dire noir…
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire.
Ce phénomène, constaté dans plusieurs villes de France, est en réalité dû à un épisode météorologique : le sable du Sahara. Peu à peu, celui-ci se répand dans l'Hexagone.
Par temps clair — c'est-à-dire dans un ciel sans nuage avec peu ou pas de poussière en suspension —, une partie de cette lumière atteint la surface du sol en rayons spéculaires, après avoir subi des réfractions. Une autre partie interagit avec les molécules de l'atmosphère.