L'air atmosphérique, comme tous les corps, est attiré par la Terre et son poids est à l'origine de la pression atmosphérique. En gagnant de l'altitude, la pression atmosphérique diminue puisque l'épaisseur de la colonne d'air s'amincit.
La pression atmosphérique diminue avec l'altitude. Plus on s'élève dans l'atmosphère, moins il y a d'air au-dessus et donc moins le poids est grand. Il y a moins d'air au-dessus du niveau de 12 km qu'au-dessus du niveau de 5 km. La pression est donc plus grande au niveau de 5 km qu'à 12 km.
La pression atmosphérique diminue quand l'altitude augmente, car la masse -- et donc le poids -- de l'air sus-jacent diminue nécessairement avec la hauteur, comprimant l'air de moins en moins. La pression diminue, exponentiellement, d'un facteur 10 chaque fois que l'on s'élève de 16 km (ou de moitié à 5 500 m ).
« Ce qui change, c'est la pression dans l'atmosphère, plus basse à haute altitude : le nombre de molécules d'oxygène dans un litre d'air diminue au fil de l'ascension... et l'on est obligé de ventiler davantage pour récupérer la quantité d'oxygène qui permet de fournir un même effort », décrit le Dr Samuel Vergès, du ...
En règle générale, la pression atmosphérique diminue de moitié à environ 5 500 mètres et la température moyenne de l'atmosphère diminue de 6,5 °C par 1 000 mètres.
Quand de l'air chaud s'élève, il se dilate vers le haut sous l'effet de la baisse de la pression. L'expansion de l'air nécessite de l'énergie et cette énergie est puisée dans la chaleur transportée. Ainsi, l'air ascendant se refroidit au fur et à mesure qu'il monte en altitude et qu'il se dilate.
Lorsqu'on emmène le paquet en montagne, la pression de l'air dans le paquet reste inchangée, mais la pression de l'air environnant diminue. Cet écart de pression est à l'origine du gonflement du paquet.
Les causes du mal de l'altitude
La pression atmosphérique diminue à mesure que l'altitude augmente et la baisse de la pression partielle d'oxygène qui en résulte entraîne l'hypoxie. Les personnes qui prennent un vol direct vers une destination située à haute altitude, comme p.
Toutes les formes de mal des montagnes sont causées par la raréfaction de l'oxygène à une altitude très élevée. Il s'ensuit un trouble appelé hypoxie, c'est-à-dire un manque d'oxygène dans les tissus. Les effets de l'hypoxie peuvent être légers, ou même passer inaperçus pour certains.
Si les altitudes au-dessus de 3000 mètres peuvent provoquer des nausées et des céphalées, une altitude modérée, entre 1 000 et 1 500 mètres, serait bénéfique pour la santé.
À température constante, si la pression externe exercée sur un gaz augmente, le volume de celui-ci diminue. Conséquemment, les particules de gaz deviennent plus rapprochées et se heurtent davantage. Par conséquent, les collisions sont plus fréquentes, ce qui augmente la pression.
Variation de la pression atmosphérique avec l'altitude
la pression atmosphérique moyenne au niveau de la mer est de 1013,25 hPa ; la pression atmosphérique moyenne à 1500 mètres d'altitude est de 850 hPa ; la pression atmosphérique moyenne à 3000 mètres d'altitude est de 680 hPa.
La pression atmosphérique peut être associée à la pression qu'excerce l'air sur un point donné. A un endroit précis, la pression atmosphérique est donc le poids exercé par une colonne d'air partant du sol et s'étirant jusqu'au sommet de l'atmosphère.
A 1000 m la pression est de 0.88 bar.
Les systèmes de pressurisation sont conçus pour maintenir la pression de la cabine entre 0,81 et 0,75 atm à l'altitude de croisière. Sur un vol typique, lorsque l'avion monte à 10 000 mètres, l'intérieur de la cabine correspond à une altitude située entre 1 800 et 2 400 mètres.
Selon deux études menées au Canada et en Allemagne, migraine, épuisement, douleurs articulaires, irritabilité, dépression et vertiges peuvent résulter des variations d'humidité, de température et de pression atmosphérique.
Les flatulences augmentent avec l'altitude. Ce phénomène est causé par la baisse de la pression atmosphérique : elle diminue avec l'altitude, alors que la pression interne reste la même, ce qui provoque une dilatation des gaz intestinaux.
À mesure que l'on grimpe, les maux empirent ou s'accentuent. L'hypoxie, c'est-à-dire la diminution du taux d'oxygène dans le sang, entraîne différents symptômes : nausées, vomissements, maux de tête (céphalées), saignement de nez, fatigue soudaine et parfois même évanouissement et coma.
La montagne stimule la production de globules rouges dans notre corps. « Elle stimule la production de globules rouges dans notre corps et améliore ainsi le transport de l'oxygène par le sang vers nos tissus, nos muscles et même notre cerveau, explique alors Grégoire Millet.
Du fait de la raréfaction de l'oxygène, que notre organisme compense en produisant davantage de globules rouges, la montagne est un dopant naturel. Contrairement aux idées reçues, on ne dort pas mieux à la montagne.
Le mal des montagnes est dû au déficit en oxygène ressenti en haute altitude. Les symptômes comprennent des maux de tête, une fatigue, des nausées ou une perte d'appétit, une irritabilité, et dans les cas plus graves, un essoufflement, une confusion et même un coma.
La montagne, unique pour le bien-être physique
Plus nous grimpons en altitude, moins l'oxygène est présent dans l'air. Notre organisme compense alors en augmentant notre taux d'hématocrite (nos globules rouges dans le sang). C'est ce mécanisme que recréent artificiellement les sportifs lors d'un dopage à l'EPO.
En effet, la partie vide des paquets de chips n'est pas simplement constituée d'air ; il s'agit à 78% de nitrogène. Ce gaz isolant a été ajouté dans les sacs de chips depuis 1994 et sert à garder les chips fraîches et croustillantes.
On garde, on mange ou on jette les aliments dont l'emballage a gonflé malgré une date de péremption non dépassée. Il peut s'agir de viande, de charcuterie ou de salade… Ces aliments sont contaminés par des bactéries. Ne les mangez pas, mais ne les jetez pas.
La pression étant plus faible en altitude et donc sur les parois extérieures, le gaz de conservation peut donc davantage se dilater et gonfler le paquet de chips.