Beaucoup est de la famille de coup, c, o, u, p, trop de la famille de troupeau. Citons encore sparadrap, apparenté à drap, cantaloup, qui désigne une variété de melon, et qui vient du nom propre Cantalupo, et enfin galop, qui a été tiré du verbe galoper.
Une question d'étymologie. L'adverbe « trop » vient du francique « thorp » qui signifie « amas », « groupement » et « village » (« Petit Robert »). « Trop » signifie l'excès (« Il parle trop »).
Améliorer son confort intestinal pour péter moins. Vous savez maintenant pourquoi nous pétons beaucoup et que le pet est bon pour la santé, mais il est possible d'améliorer le confort de nos intestins grâce à des comportements alimentaires réfléchis.
À l'intérieur des mots, entre deux consonnes, il est souvent muet, comme dans corps, prompt, sculpture, temps. Il se prononce toutefois dans certains mots d'origine savante, comme consomption, contempteur, exemption, préemption. À la fin des mots, il est souvent muet, comme dans champ, coup, galop, loup, sirop.
Alors pourquoi cette surprenante différence de prononciation ? Eh bien ces deux P finaux n'ont pas du tout la même origine. Le P du loup a été ajouté un peu artificiellement, alors que le lupus latin de son origine se prononçait déjà lou tout court, ou parfois leu (comme dans Saint-Leu ou dans à la queue-leu-leu).
Le plus souvent, la lettre muette placée au milieu du mot est la lettre h. Exemples : rhume – théâtre - bonheur → Lorsqu'on lit ces mots, la lettre h ne se prononce pas. La lettre p peut aussi être une lettre muette.
Les lettres muettes, comme leur nom l'indique, ce sont celles qui ne se prononcent pas, comme le G et le T qu'on met au bout du doigt ou le D et le S qui alourdissent notre poids ou encore le P et le S finaux du corps humain, mais aussi les ENT au bout des verbes conjugués au pluriel par exemple.
Il y a certaines exceptions à cette règle. Bon et main conservent leur n lorsqu'ils entrent dans la formation d'un nom composé. On écrit donc bonbon, bonbonnière, embonpoint, mainmise et, dans la langue juridique, mainmorte. On écrit aussi perlimpinpin et néanmoins.
Pour estomac, on ne prononce pas le « c ». Il y a des mots pour lesquels on le prononce et d'autres pour lesquels on ne le prononce pas. Il faut connaître la liste par cœur. Par exemple, on ne le prononce pas dans tabac, dans porc, dans banc, dans estomac, mais on le prononce dans parc, lac ou sac.
Pourquoi un p à sept ? Parce qu'il s'agit d'une évolution du latin septem, de même que vingt prend un g et un t en souvenir du latin viginti.
Pourquoi les francophones ne prononcent-ils pas le «s» au pluriel ? - Quora. Il est prononcé, parfois. Les lettres muettes existent fréquemment pour signaler qu'elles deviennent sonores en cas de liaison. La principale fonction du S est de marquer le pluriel à l'écrit, pas de décrire le son.
En conclusion, les consonnes finales muettes ont pour but de conserver le souvenir d'une racine latine et, de manière plus pragmatique, de distinguer des homonymes (exemples : poids et pois, puits et puis, corps et cor…).
Beaucoup employé seul (pour « beaucoup de choses, de personnes »). Le verbe est au pluriel : quelques tableaux ont pu être sauvés ; beaucoup ont brûlé. Beaucoup regretteront ton départ. Beaucoup avec un nom au singulier.
La liaison est obligatoire, dans le groupe nominal, entre le déterminant (possessif, indéfini, numéral, interrogatif ou exclamatif) et le nom qu'il accompagne, ou avec l'adjectif qui précède ce nom. La liaison est aussi obligatoire, dans le groupe nominal, entre le nom et l'adjectif qui le précède.
Par exemple, ça ne marcherait pas de parler d'un bon repas. On ne dit pas un “bonne repas”, on ne fait pas de liaison quand le premier mot se termine par une consonne et celui d'après commence aussi par une consonne.
On estime que le cancer gastrique est en phase terminale quand il s'agit d'un cancer de stade IV qui a traversé la muqueuse de l'estomac et qui a colonisé d'autres parties du corps (métastases du cancer de l'estomac).
Dites systématiquement "Non, merci. J'ai arrêté de fumer.» Évitez le tabagisme passif. Évitez la compagnie des fumeurs et évitez les endroits où l'on fume les premières semaines du sevrage tabagique.
On trouve des mots qui se terminent par a, c : le tabac, l'estomac et leurs composés (bar-tabac). Mais aussi par o, c, un croc, un escroc, un accroc (dans le sens « déchirure », parce que l'accro, le passionné, ne prend pas de c), par o, u, c, le caoutchouc.
En latin le « m » fait partie intégrante du mot. En ce qui concerne bonbon, il vient simplement du langage enfantin et du doublement du mot « bon ». A priori lorsqu'on demande à un enfant c'est bon, il répond « bon bon », l'usage en a donc fait un mot. Il n'y a donc aucune raison de mettre un « m » à ce mot."
Et voici un mot qui régale les petits comme les grands : bonbon. Ce mot, dont on comprend bien qu'il correspond au redoublement de l'adjectif significatif bon, n'est attesté qu'en 1604, donc, sous Henri IV. Il est issu du vocabulaire des enfants, répétant délicieusement bon-bon.
m devant m, b et p. Devant les lettres m, b et p, le n devient un m. L'exception la plus amusante reste la double exception de embonpoint qui change le n en m dans la première syllabe mais pas la deuxième.
“BU” [by] ! – Eh, mais j'ai une exception diabolique, c'est le mot : “BUT” ! Au football. Ça se finit en “T” et ça se prononce !
Il y a néanmoins des exceptions telles que fourmi ( sans " e " ), glu, tribu, vertu, qualité, qui ne prennent pas de " e " final. Il y a aussi un grand nombre de noms masculins qui se terminent par un " e " muet derrière une voyelle comme incendie, un lycée, un musée, un génie, un trophée, un scarabée.