La haine survient le plus souvent dans les suites d'une injustice, d'une agression, ou d'une déception très forte. Il s'agit d'une émotion très intime qui peut consumer la personne pendant de nombreuses années. Les conséquences de la haine peuvent être très importantes dans tous les domaines de la vie.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Des effets néfastes sur la santé
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
La haine survient le plus souvent dans les suites d'une injustice, d'une agression, ou d'une déception très forte. Il s'agit d'une émotion très intime qui peut consumer la personne pendant de nombreuses années. Les conséquences de la haine peuvent être très importantes dans tous les domaines de la vie.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
L'halopéridol employé seul est recommandé pour calmer les situations en cas d'agressivité ou d'agitation chez des personnes ayant une psychose. Celui-ci est largement répandu et peut être le seul antipsychotique disponible dans certaines régions aux ressources limitées.
L'adrénaline, hormone du stress par excellence, est sécrétée en situation de danger. Elle met l'organisme en état d'alerte en agissant sur le cœur, la circulation du sang, la respiration, la sensibilité aux stimulus, les réactions motrices, et d'autres fonctions qui assurent des réactions rapides face à une menace.
L'irritabilité peut avoir de nombreuses causes, les principales étant : Le stress : vivre une période stressante, comme perdre un emploi ou une rupture de couple, peut rendre une personne plus irritable que la normale.
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort. . ."
Éliminez le pouvoir que cette personne a sur vous en choisissant de lui pardonner et de passer à autre chose. Faites preuve de compassion envers vous-même. Si vous avez pardonné à cette personne, vous devez aussi vous pardonner à vous-même. Donnez-vous la même politesse que vous donnez aux autres.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
La haine n'est pas un sentiment si courant. Le plus souvent, on se souvient d'avoir haï quelqu'un brièvement, puis l'émotion s'est aplanie. On garde le souvenir d'une folie passagère, très désagréable, passionnelle presque autant que l'amour.
En général, la haine est la conséquence d'un grand amour déçu. Elle provient d'attentes non réalistes envers une personne ou un groupe de personnes qui devraient, selon nous, nous aimer ou montrer leur amour, différemment. Il faut beaucoup d'amour pour haïr. Une personne indifférente ne peut pas haïr.
La haine dans le couple se développe souvent sur base de blessures préexistantes de rejet, d'abandon. A chacun de les prendre en charge.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
La colère est l'expression d'un besoin non entendu, c'est une demande à l'autre dans le but de rétablir le lien, une protestation contre ce qu'on ne peut pas tolérer, une défense de l'intégrité, de la personnalité, la colère donne la force de dire non et de se sentir soi !