On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
"Dit" est le participe passé du verbe "dire". On peut écrire "dis" uniquement s'il s'agit de la première personne du singulier du verbe conjugué au présent simple ou au passé simple : "je dis".
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai fais » ? On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
Dans je lui ai dit , on a le verbe dire conjugué au passé composé, avec l'auxiliaire avoir . Cet auxiliaire prend la forme ai , qui est sa conjugaison du présent : j'ai . Quant au mot dit , il correspond au participe passé du verbe dire .
La concordance des temps est importante lors de l'utilisation de ces deux verbes. Si l'action décrite dans la phrase est dans le passé, alors « dit » doit être utilisé. Si l'action est dans le présent ou dans le futur, alors « dire » doit être utilisé.
Précisons que notre possessif jusque-là invariable devra s'accorder s'il se retrouve accolé à un déterminant. Exemple: «Je le leur ai dit», «Ils ont acheté des manteaux. Ce sont maintenant les leurs».
(Familier) S'emploie pour marquer approbation de ce qui vient d'être dit.
Bref, c'est une question de formalité : Si la situation est plutôt familière (comme entre des amis), on utilise tu. Si, par contre, la situation est plus formelle, ça va être vous qu'on va utiliser. Le vouvoiement crée une distance entre vous et la personne et montre du respect.
Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
Mon amour, mon cœur, chéri(e) : ces petits noms sont le plus souvent donnés par les amoureux qui ont besoin de surnommer affectueusement leur moitié. Selon les sondages, 7 à 8 personnes sur 10 les emploient. Ils représentent un message tendre, une façon de dire à l'autre qu'il est aussi vital que l'air qu'on respire.
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable. Exemples : Des cerises, j'en ai mangé (le participe passé « mangé » reste invariable parce que le pronom « en » qui remplace « des cerises » représente le COD du verbe).
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
Si tu dis « le livre que j'ai taché est sur la table », alors oui, c'est de l'îndicatif. Mais si tu dis » le seul livre que j'aie taché est sur la table » , alors c'est du subjonctif. On emploie le subjonctif dans une proposition subordonnée relative si on utilise un superlatif.
Si oralement on peut décomposer le mot en « que en », alors il faut écrire « qu'en », et non « quand ».
Il permet de se référer à quelque chose dont on a précédemment parlé. Il se place devant un nom et est surtout utilisé dans un contexte juridique et administratif. On peut aussi l'employer pour parler de quelqu'un sans évoquer son nom (de manière ironique par exemple, pour ne pas lui faire honneur).
apprendre, communiquer, confier, déclarer, découvrir, démasquer, dénuder, dévoiler, divulguer, éventer, expliquer, exposer, exprimer, faire savoir, livrer, mettre au courant, présenter, proclamer, publier, raconter, renseigner, révéler, signaler, témoigner. – Littéraire : déceler.
Par exemple, « je te dois 20 euros » signifie que vous devez 20 euros à cette personne. Le pronom personnel « je » est utilisé pour indiquer que c'est vous qui devez, et « te » est utilisé pour indiquer à qui vous devez. Cette construction est utilisée avec les verbes « devoir » ou « devoir quelque chose à quelqu'un ».
Eh oui, Lucas a appris que, dans la plupart des conjugaisons, la terminaison de la 2e personne, le tu, prend un S. Tu vas, tu aimes, tu es, etc. Et c'est vrai qu'on peut trouver ça surprenant, puisqu'on assimile le S à la marque du pluriel.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».
Le tutoiement permet d'établir une ambiance de travail moins formelle et plus décontractée. Les échanges d'idées fusent davantage et le résultat est souvent satisfaisant. Il permet également de faire tomber la frontière des différentes générations.
Dans la culture africaine, le tutoiement est la preuve que l'interlocuteur n'est plus perçu comme un étranger, mais comme un ami. En Belgique et en France par contre, le vouvoiement est plus généralisé. En bref, mieux vaut vous assurer de la disposition de la personne à être vouvoyé ou tutoyé.
En français, l'usage du vous ou vouvoiement renvoie à la forme de politesse lorsqu'on s'adresse à quelqu'un tandis que l'usage du tu ou tutoiement renvoie à la forme familière. La forme de politesse est identique à la 2e personne du pluriel et engendre le même accord sur le verbe (« M'entendez-vous ? »).
dit n.m. Mot, remarque, maxime. dire v.t. Articuler quelque chose, le prononcer, le faire entendre grâce à...
Benjamin Franklin.
La locution adverbiale tout à fait signifie « entièrement ». On peut donc l'employer dans des expressions comme : L'ouvrage est tout à fait terminé ou Elle est tout à fait guérie. Mais il faut s'appliquer à ne pas en faire un synonyme un peu pompeux de Oui.