La vessie hyperactive (ou hyperactivité vésicale) est un problème courant causé par des contractions involontaires des muscles de la vessie qui provoquent une envie soudaine et intense d'uriner, même si la vessie n'est pas pleine.
Le psychisme peut affecter les muscles de la vessie. Le stress, l'anxiété voire des troubles anxieux, ou encore une émotion forte peuvent notamment provoquer une envie fréquente d'uriner même lorsque la vessie n'est pas pleine.
L'envie fréquente d'uriner est parfois liée à une maladie touchant cette partie de l'appareil urinaire : un rétrécissement de l' urètre : dû à une infection, une tumeur bénigne ou maligne… ; un calcul bloqué dans l' urètre .
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
Vous souffrez probablement d'incontinence par impériosité. Ce type d'incontinence est souvent lié à une hyperactivité de la vessie, c'est-à-dire à des contractions anarchiques de la vessie. En d'autres termes, votre vessie tente d'évacuer l'urine même lorsqu'elle n'est pas pleine.
Cela peut être dû à diverses causes telles que le diabète, une insuffisance rénale, une consommation excessive de liquides, certains médicaments, etc. La pollakiurie, en revanche, se réfère à la miction fréquente ou au besoin d'uriner plus souvent que la normale.
En cas d'hyperactivité vésicale, ce système est déréglé : la vessie se contracte trop souvent, avant qu'elle ne soit pleine. Les patients décrivent des envies soudaines d'uriner, irrépressibles, difficiles voire impossibles à maîtriser, et une pollakiurie (plus de 8 mictions par jour).
Mais uriner douze fois par jour, c'est beaucoup trop. Il peut s'agir de pathologies neurologiques qui sont très ennuyeuses et qui peuvent entraîner ce type de problème. Chez l'homme, les problèmes de prostate peuvent aussi être en cause. Enfin, les anomalies de vessies dites hyperactives peuvent agir.
envies fréquentes d'uriner ou pollakiurie ; brûlures en urinant ; difficultés à uriner ; douleurs du bas du ventre ou du dos.
Après la miction , une vessie en bonne santé est complètement vidée (un volume inférieur à 50 ml est normal). Les muscles de la vessie rendent cela possible en se contractant, tandis que les muscles situés autour de l'urètre s'ouvrent pour vider la vessie.
Le café Le café est l'un des diurétiques les plus connus et qui est consommé au quotidien.
La kinésithérapie : guidé par le thérapeute, cette méthode permet de travailler le renforcement et le verrouillage des muscles du périnée pendant l'effort par exemple. Le biofeedback est une technique de rééducation visant à redonner la conscience à la personne de son schéma corporel.
Marchez calmement, concentrez-vous pour vous retenir et contractez les muscles pelviens (comme pour retenir un gaz). Vous aurez plus de succès en restant calme et confiante en vous rendant aux toilettes. Une fois arrivée, demeurez calme même si vous ressentez un certain inconfort.
Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne. Il est habituel qu'à partir de 50 ans une personne urine 1 fois la nuit, pour un volume de 250 ml à chaque fois, soit moins de 2 l au total sur 24 h.
Définition : Cystocèle (descente de vessie)
Il s'agit d'un glissement vers le bas d'un ou plusieurs organes du bassin. Si c'est la vessie qui descend, on parle alors de cystocèle, si c'est l'utérus d'hystérocèle, si c'est le rectum de rectocèle.
Sans traitement, la tumeur va se développer dans la paroi de la vessie et ensuite envahir les organes voisins de la vessie : ganglions, prostate, vésicules séminales, utérus, trompes de Fallope, ovaire, etc. Des cellules cancéreuses vont migrer dans la circulation sanguine jusqu'au foie, aux poumons, au cerveau, etc.
Le but de la miction est la vidange complète de la vessie. La miction normale est complète, volontaire et indolore, exclusivement diurne, dure moins d'une minute, permet l'élimination d'environ 350 mL d'urine, est espacée de 3–4 heures de la miction précédente.
Le volume d'urine restant après la miction est appelé volume résiduel post-mictionnel. Si ce volume est supérieur à environ 120 millilitres (un peu plus chez les personnes âgées), la rétention urinaire est diagnostiquée.
Les anti-cholinergiques
Cette classe médicamenteuse est généralement prescrite dans les cas d'instabilité vésicale. L'acetylcholine joue le rôle de médiateur. Lorsqu'elle est libérée par nerf parasymptahique, elle va se fixer sur ses récepteurs situés au niveau de la vessie.
Si la miction est impossible, la vessie poursuit son remplissage permanent (60 ml/h) sans se vider. C'est la mise en tension brutale du muscle vésical (détrusor) qui provoque la douleur. C'est une situation courante chez l'homme et la fréquence augmente avec l'âge.
L'infection urinaire peut donner l'impression d'avoir toujours envie d'uriner et s'accompagner d'une sensation de pression au niveau du bas-ventre. Les urines peuvent avoir une apparence trouble ou foncée, voire une odeur désagréable. Il arrive qu'elles contiennent du sang.
L'homéopathie est également une solution sans effet secondaire connu, qui participe à calmer une vessie hyperactive. Un médecin homéopathe peut prescrire un traitement homéopathique pour traiter les symptômes et le terrain favorable à l'installation de l'hyperactivité vésicale.
Les aliments diurétiques qui font uriner sont principalement les fruits et légumes frais, le thé vert, la chicorée, le café noir non sucré et certains jus de fruits. Le meilleur diurétique naturel puissant est le thé vert. Drainant, il facilite l'élimination rénale de l'eau.