l'angine de poitrine (crise d'angor) : liée à un manque d'oxygénation du cœur, les douleurs d'angine de poitrine surviennent le plus souvent à l'effort et se traduisent par un inconfort dans la poitrine, le dos, les épaules et les bras (à gauche le plus souvent), voire le cou.
un infarctus du myocarde ou une angine de poitrine ; une embolie pulmonaire ; beaucoup plus rarement, une dissection de l'aorte (fissuration localisée de la paroi de l'aorte) ou une rupture d'un anévrysme de l'aorte ; une péricardite (inflammation de l'enveloppe du cœur)...
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
Le cancer du poumon peut aussi se manifester par des symptômes généraux : fatigue, amaigrissement, perte d'appétit, fièvre prolongée, maux de tête, phlébites, troubles nerveux avec confusion, gonflement progressif de l'extrémité des doigts en « baguettes de tambour ».
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Douleur qui irradie, pouvant s'étendre : à partir de la poitrine, du haut au bas d'un ou des deux bras, au cou, à la mâchoire ou aux épaules.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Il est très commun de souffrir de stress ou d'anxiété, de nombreuses personnes peuvent éprouver cette sensation à un moment de leur vie. Mais pour certains, l'anxiété peut engendrer plus qu'un sentiment de peur et d'inquiétude et provoquer des symptômes physiques, tels que des douleurs thoraciques.
Pour soulager votre douleur avant la consultation, vous pouvez prendre un antalgique. Trois types de médicaments antalgiques existent : le paracétamol ; les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou « AINS » (ibuprofène, kétoprofène)
Glace. En cas de fortes douleurs, enveloppez de la glace ou des légumes surgelés dans une serviette et appliquez sur chaque sein pendant une dizaine de minutes pour réduire la sensation de gonflement douloureuse.
Systématiquement, devant une douleur thoracique, il faut éliminer six diagnostics : syndrome coronarien aigu (infarctus), embolie pulmonaire, dissection aortique, pneumothorax, pneumopathie, péricardite aiguë.
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
L'angine de poitrine se produit quand le muscle du cœur ne reçoit pas assez de sang et par conséquent, pas assez d'oxygène, pour fonctionner normalement. L'angine de poitrine est généralement causée par le durcissement des artères. L'angine de poitrine peut être stable ou instable.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
une sensation de serrement et de douleur dans la poitrine qui peut s'étendre jusqu'au cou, à la mâchoire et aux épaules; une faiblesse généralisée; un teint plus pâle que d'habitude; des sueurs.
Infarctus ou « crise cardiaque »
La douleur ne cède pas et reste intense sur la durée. La crise d'angoisse peut provoquer des sensations d'étouffement et d'essoufflement. La crise cardiaque ne provoque pas de sensation d'étouffement ou d'essoufflement.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.