La décomposition de l'alcool libère des substances toxiques qui peuvent alors circuler dans le corps. Au bout d'un temps, ces substances parviennent aux nerfs, qu'elles détruisent en partie. Ce phénomène donne naissance à une polyneuropathie ou névrite.
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
À la consommation de ces produits, la personne ressent des symptômes très variés, associés ou isolés : Nausées, vomissements. Douleurs abdominales, diarrhées.
L'alcool altère notamment les réflexes, la concentration ainsi que l'endurance musculaire et cardiorespiratoire. L'alcool diminuerait aussi les capacités de récupération notamment dues à ses effets sur les mécanismes de réhydratation et de synthèse des protéines du muscle.
Alcool et articulations
Par contre, une consommation excessive d'alcool dérègle le système immunitaire. Ce dérèglement peut faire naître ou empirer de l'arthrite.
Une forte consommation d'alcool non contrôlée pourrait aggraver des affections telles que l'arthrite ou encore la goutte.
Quand le corps dit stop à l'alcool
À moyen et à long terme, l'addiction à l'alcool peut entraîner de nombreuses pathologies : ulcères, hépatites, cirrhoses éthyliques, pancréatites ou encore maladies cardio-vasculaires.
Une intolérance à l'alcool arrive rarement sans raison, c'est souvent très en lien avec l'état psychologique dans lequel on se trouve lorsque l'on consomme. D'autres facteurs peuvent être mis en cause, comme la fatigue ou le stress,mais nous ne sommes pas compétents pour vous donner un avis médical.
Tout ce qui endommage le foie pendant de nombreuses années peut entraîner le développement de tissus cicatriciels dans le foie. La fibrose est le premier stade de cicatrisation du foie. Lorsque le tissu cicatriciel s'accumule de façon significative et occupe la majeure partie du foie, on parle de cirrhose.
L'odynophagie est un symptôme qui se caractérise par une douleur lors de la déglutition. Il peut s'agir d'une difficulté à avaler un aliment ou sa propre salive. Très gênante au quotidien, l'odynophagie peut être à l'origine de nombreux troubles de la digestion, inflammations ou infections du tube digestif.
Certaines maladies sont plus fréquemment observées chez les personnes qui souffrent de fibromyalgie : anxiété (généralisée, phobies, crises de panique, TOC), dépression, syndrome de l'intestin irritable, syndrome de fatigue chronique, syndrome des jambes sans repos, syndrome de Gougerot-Sjögren (sécheresse de la bouche ...
L'évolution de la composition corporelle
Avec les années qui passent, l'organisme résiste de moins en moins bien aux effets de l'alcool. Selon la communauté scientifique, l'explication est simple. En cause : l'évolution de notre composition corporelle.
La neuropathie se manifeste par une diminution ou une perte totale de la sensibilité, des engourdissements, des sensations de brûlure et des picotements. D'autres symptômes peuvent également apparaître : dysfonction érectile, constipation, diarrhées, gastroparésis.
Si l'alcool est réputé pour anesthésier la douleur, il semblerait qu'il puisse aussi l'augmenter, d'après des chercheurs. Ce n'est un secret pour personne : l'alcool peut modifier l'humeur, en rendant plus joyeux ou encore plus sociable. Mais il semblerait aussi qu'il augmenterait les douleurs chroniques.
Quelques conseils pour contrôler votre consommation
Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées. Donnez-vous un nombre maximum de verres à ne pas dépasser ou fixez-vous une heure à laquelle vous arrêtez de boire.
Les symptômes
Lorsque la maladie touche les deux membres inférieurs (forme fréquente), le sujet éprouve des difficultés motrices. Il n'arrive pas bien à se mobiliser, la jambe est de plus en plus flasque et les éleveurs d'orteils perdent de leur force et fonction.
Alcool et cancer
Les cancers les plus souvent attribuables à l'alcool sont les cancers de l'œsophage (57,7 % des cas), mais bien d'autres localisations sont concernées : foie, bouche, gorge, cancer colorectal ou encore cancer du sein.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids.
Avant d'arriver au foie, l'alcool contenu dans le sang affecte d'autres organes vitaux qui contiennent beaucoup d'eau et qui ont besoin d'un volume important de sang pour fonctionner. C'est sur le cerveau que les effets sont le plus rapidement observables.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
Le Gimber est sans doute l'une des boissons les plus polyvalentes au monde. Tout d'abord, comme la boisson est riche en gingérol, substance aux vertus anti-inflammatoires, anti-bactériennes, digestives, antiseptiques et purifiantes, elle permet d'apporter du confort à l'organisme.
L'alcool a un effet diurétique, ce qui augmente la production d'urine et, par conséquent, dessèche le corps. En raison de la réduction des liquides dans le cerveau, des maux de tête peuvent se développer.