Plus précisément, la diminution de la fonction des ovaires qui se produit à la ménopause cause une diminution de la dépense énergétique associée au métabolisme de base, et ce sans changement à la dépense énergétique par l'activité physique ou à autre (1).
"On considère qu'une perte de poids est anormale lorsqu'une personne perd 4 ou 5 kilos en quelques semaines sans démarche nutritionnelle.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine.
Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d'un an, mais elles peuvent durer jusqu'à 5 ou 10 ans. On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels).
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Vos symptômes se sont atténués ou ont cessé. Vous vous sentez plus vous-même ou éprouvez un sentiment de bien-être. Vous constatez que vous dormez mieux et que vous êtes en meilleure santé. Normalement, c'est à ce moment-là que vous pourrez vous dire « Dieu merci, ça y est, c'est finalement terminé. »
Des femmes qui maigrissent à la ménopause, ça existe. Mais à condition de respecter une certaine hygiène alimentaire pour diminuer le ventre gonflé à la ménopause et de pratiquer une activité physique régulière pour garder une certaine forme et maintenir le tissu musculaire à son top niveau.
«Nous avons déterminé que la ménopause accélère le vieillissement cellulaire de 6% en moyenne», précise le Dr Horvath. «Cela ne semble pas énorme mais fait une différence en s'accumulant au cours de la vie des femmes», souligne-t-il.
•
Elle dure environ 5 ans avant l'interruption définitive des règles, et peut parfois déjà donner quelques bouffées de chaleur, de la fatigue, une irritabilité, ou des troubles du sommeil.
De façon générale, il faut retenir qu'au minimum, une femme de 155 cm (1m55) a un poids de 44 kg, et au maximum, elle a un poids de 60 kg. En moyenne, cette femme pèse donc 52 kg. Toutefois, il faut souligner que ce ne sont que des estimations faites selon les différentes méthodes scientifiques de calcul de poids.
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
10 types de cancer concernés
Ils ont alors découvert que la perte de poids involontaire était liée à 10 types de cancer : le cancer de la prostate, colorectal, du poumon, œsophagien, pancréatique, de l'ovaire, de l'appareil rénal et biliaire, mais aussi en cas de lymphome non hodgkinien ou encore de myélome.
Un amaigrissement peut avoir une multitude de causes, mais 50 % des cas d'amaigrissement impliquent des causes psychiques et rendent nécessaire un bilan médical. La dépression, notamment, entraîne souvent une perte d'appétit persistante. Viennent ensuite les causes organiques, comme les maladies digestives.
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
La vitamine B6 à l'arrivée de la ménopause
Pendant la ménopause, le système hormonal féminin subit un véritable bouleversement. La pyridoxine (vitamine B6) agit contre les fluctuations entre œstrogènes et progestérone. Elle contribue aussi à lutter contre les nombreux signes de la ménopause, telle que la fatigue.
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Pour cela, vous pouvez consommer du pain complet ou aux céréales avec des œufs ou du jambon, une portion de fromage et un fruit. Pensez à intégrer une boisson, comme un thé ou un café, pour réhydrater l'organisme.
Les sports de charge.
Marche, rapide ou lente avec un sac à dos, course à pied, corde à sauter ou encore musculation entrent dans cette catégorie. Ils vont entretenir la masse musculaire et, en soumettant le squelette à des micro-chocs, stimuler la production du tissu osseux.
Les meilleures activités sportives pour maigrir du ventre à la ménopause : la natation et l'aquagym qui, en plus de travailler votre ceinture abdominale, vont consommer davantage d'énergie grâce au contact du froid. Résultats : un massage drainant minceur et des graisses brûlées.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.