Accepter que le problème vient de soi est une étape essentielle pour lutter contre sa peur du changement. Savoir identifier les excuses, et les résistances psychologiques de sa peur permet de mettre en place le changement nécessaire à l'accès au bonheur.
Suivant le contexte, un déménagement peut être très compliqué à gérer émotionnellement. Le choc émotionnel qui peut résulter n'est pas à prendre à la légère. Déménager c'est laisser une partie de sa vie derrière soi, et aussi laisser une part de son identité dans un lieu que l'on quitte.
Cette peur phobique du changement s'appelle la métathésiophobie. Les métathésiophobes considèrent en fait qu'ils n'ont pas le contrôle de leur vie en vue des bouleversements constants.
Il est important de se dire que changer ne dépend que de nous ! Mais alors, comment fait-on pour changer ? Il faut commencer par vouloir bien changer son système de croyances et de fonctionnement. Vous avez un fonctionnement, une vision de la vie qui vous sont propres et il va falloir en modifier votre perception.
Il est important de vous souvenir que chaque fois que nous laissons une peur prendre le dessus, c'est comme si nous nourrissions la croyance derrière cette peur. C'est ainsi qu'elle devient de plus en plus grande, que la peur de souffrir et d'être blessé devient plus présente et se ressent plus fortement.
Après le deuil et la perte d'emploi, le déménagement serait, selon plusieurs études, l'événement le plus stressant de la vie. Les psychologues affirment que le déménagement est un événement qui peut dans bien des cas conduire une personne à la dépression.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Trouver la cause du malaise
Je me sens mal chez moi, OK, mais pourquoi ? Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Associez-le aux démarches que vous entreprenez : emmenez-le avec vous lorsque vous visitez un appartement et demandez-lui ce qu'il en pense. Invitez-le à vous aider pour emballer les cartons, particulièrement ceux qui contiennent ses affaires.
Commencez donc par aérer votre nouveau domicile. Puis mettez-y votre empreinte olfactive à l'aide de bougies parfumées, diffuseur d'huile essentielle, fleurs, ou tout autre moyen que vous utilisez habituellement. Pour faire face aux changements et se sentir bien chez soi il faut s'entourer de ses anciens repères.
ANDROPHOBIE : Définition de ANDROPHOBIE.
Dans la peur, quelque chose de nuisible s'approche, mais susceptible de se dissiper. L'angoisse, au contraire, n'est pas sentiment d'un être menaçant du monde, elle vient de l'être-au-monde lui-même. La source de l'angoisse n'est pas une nuisance particulière, mais quelque chose de totalement indéterminé.
Le changement de vie est parfois issu d'une décision personnelle, signe d'une aspiration forte à vivre autre chose, d'une envie (en-vie) irrépressible d'une nouvelle expérience, d'une prise de conscience de la vacuité de notre réalité quotidienne. Il peut nous être aussi imposé par les circonstances.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
Notre organisme répond à un contexte stressant par une réaction en 3 phases (alarme, résistance, épuisement).
Dans le présent article, les principales sources de stress sont réparties en cinq catégories : travail, inquiétudes financières, famille, manque de temps et problèmes personnels et autres.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur. Des circuits neuronaux spécifiques dans ces noyaux interviennent soit dans l'apprentissage de la peur, soit dans son expression.