Les causes. Dans de nombreux cas, la phobie est déclenchée par une mauvaise expérience telle qu'un aliment avalé de travers, ou un aliment non aimé qui a suscité de mauvaises sensations. Comme de nombreuses phobies, nombreux sont aussi les patients qui parlent d'une peur irrationnelle, sans explication.
La cibophobie. La cibophobie est de loin le trouble alimentaire le plus contraignant car il s'agit ici de la peur de la nourriture au sens large. Les cibophobes angoissent à l'idée même de manger par peur d'attraper une intoxication alimentaire ou de contracter une réaction allergique à un aliment.
La dysmorphophobie est souvent associée à d'autres troubles psys : dépression, troubles du comportement alimentaire, troubles maniaco-dépressifs, anxiété, troubles obsessionnels compulsifs et autres phobies (agoraphobie notamment). Une publicité suédoise qui dénonce la dysmorphophobie dont souffrent les anorexiques.
L'angoisse de goûter se traduit par un évitement des aliments inconnus (même les toucher sans but de les manger est compliqué), et une paralysie face à un aliment qu'on nous demande de goûter, un réflexe nauséeux systématique à l'approche de la bouche ou au moment de goûter.
La perte d'appétit est un trouble fréquent, bénin la plupart du temps, mais qui peut parfois être la conséquence d'une maladie plus grave. Elle se caractérise par une faim inexistante, une disparition de l'envie et du besoin de manger.
Il faut se mettre en situation progressivement. Il faut par exemple manger des choses assez faciles à avaler au départ, puis manger des choses un peu plus dures petit à petit. Cela permet de se désensibiliser, un peu comme les allergies. Il faut une désensibilisation progressive.
Ne pas manger suffisamment peut avoir à long terme des impacts désastreux sur votre état de santé : fatigue chronique, perte de cheveux, troubles digestifs, ostéoporose, …
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Faire du sport pour accepter son poids
Car lorsque l'on est en surpoids et qu'on le vit mal, pratiquer une activité sportive peut véritablement aider à aller mieux. Bouger peut en effet vous aider à sentir votre corps et à vous reconnecter à lui.
Pourquoi ai-je des nausées après un repas ? Si des nausées surviennent après un repas, il y a de fortes chances que vous souffriez d'une intoxication alimentaire. Elles peuvent apparaitre juste après le repas, ou quelques heures plus tard et s'accompagnent généralement de vomissements et de diarrhée.
► Une hypoglycémie
"Une carence en sucre dans le sang provoque des "coups de barre" et une sensation de faim qui est souvent associée à d'autres symptômes comme des tremblements, des étourdissements, des vertiges..." indique notre interlocutrice.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Végétarien, flexitarien,végétalien... Des noms à la carte.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
Avec une diète de moins de trois jours, il y aura bien une perte de poids, mais elle sera plutôt faible. Si le jeûne dure une à deux semaines, comme certains le préconisent, vous allez effectivement pouvoir perdre plusieurs kilos. Mais ce genre de pratique n'est pas sans conséquences.
Le traitement peut être médicamenteux : - médicaments qui dilatent les sphincters, lorsqu'ils sont trop toniques ; - traitements antimycosiques, antibactériens, contre l'herpès, selon la cause infectieuse ; - chimiothérapie, radiothérapie en cas de cancers.
Le stress ou l'anxiété chronique peuvent exacerber cette tension, ce qui entraîne des maux de tête, des épaules raidies, des douleurs au cou et parfois même des migraines. Les gens constamment stressés sont d'ailleurs plus à risque de souffrir de troubles musculosquelettiques chroniques.
Ce sont entre autres les cancers de la bouche, de la lèvre et des gencives, du nez, de la gorge, du larynx et des glandes salivaires. La plupart des cancers de la tête et du cou sont des carcinomes épidermoïdes, sauf le cancer des glandes salivaires, qui comprend différents types de tumeurs.