Dans un premier temps, notre attrait pour le macabre est le signe de notre empathie, nous expérimentons la souffrance d'un autre, tout en nous rassurant. En regardant les victimes, nous conjurons nos angoisses, nous ne sommes pas parmi elles. On se confronte à la mort pour se sentir encore plus vivants.
Le mal nous fascine à partir du moment où il n'est pas banal. Ce qui nous fascine dans le mal c'est sa radicalité, son extrémisme. Nous sommes tous capables et coupables périodiquement de faire du mal, que ce soit consciemment ou inconsciemment.
Selon l'auteur, notre « compulsion » envers les évènements sinistres pourrait nous aider à contrôler nos peurs et à comprendre ce qui est essentiel à nos vies et ce qui ne l'est pas – selon lui, la curiosité morbide refléterait notre désir de comprendre l'un des mystères les plus profonds de l'existence.
CURIEUX, EUSE (adj.)
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
La personne sadique prend plaisir aux souffrances physiques et psychologiques des êtres vivants, animaux et humains. Il aime tenir les autres sous son emprise et restreindre leur autonomie, cela par la terreur, l'intimidation, l'interdiction.
Le fait-divers renvoie à notre part sombre
Si l'on regarde le bon côté du miroir, on aura tendance à penser que s'intéresser aux faits-divers relève de notre humanité et de notre compassion face aux victimes de ces terribles crimes. Mais pour beaucoup, cela réveille les pires instincts et les pires comportements.
La fascination pour un fait divers sordide peut être de l'ordre du défoulement. L'éducation, la société, la morale, nous imposent une retenue, et ces différents facteurs nous empêchent d'exprimer certaines choses. S'intéresser à des faits divers, c'est aussi se défouler de sa propre violence, on l'extériorise.
Un fait divers contient des actions (ce qui s'est passé) et des circonstances (les détails de temps, de lieux, de personnes, de cause, de résultat).
En effet, c'est en 1863, dans Le Petit Journal fondé par M. Millaud, premier quotidien populaire (vendu 5 centimes) et qui devait atteindre un tirage supérieur au million d'exemplaires, qu'apparaît pour la première fois le terme fait divers.
MASOCHISTE : Définition de MASOCHISTE.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Il est possible de haïr la personne que l'on aime parce que l'amour et la haine sont en réalité issues d'une même origine. Comme nous sommes influencés par les actes et les mots de l'autre : lorsque l'être aimé répond à nos attentes, les émotions positives prédominent.
L'amour le plus fort est celui qui n'est pas partagé. Aimer quelqu'un qui vous aime aussi, c'est du narcissisme. Aimer quelqu'un qui ne vous aime pas, ça, c'est de l'amour. Cette phrase de Frédéric Beigbeder contient 30 mots.
D'après les Grecs, l'amour est le sentiment responsable d'un grand nombre d'actions humaines, décisions et états d'esprit. Par conséquent, ils ont proposé quatre types ou classifications d'amour pour expliquer ce sentiment très complexe que l'on éprouve lorsqu'on aime. Il s'agit de: Eros, Storgé, Philia et Ágapé.
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.
Les personnes victimes de traumatisme infantiles ont tendance à porter des blessures émotionnelles qui les amènent plus facilement à se laisser maltraiter. Elles souffrent d'un manque de confiance, et d'"inutilité acquise", conséquence de leur incapacité à empêcher la maltraitance dans l'enfance.
Longtemps considéré comme un diagnostic à part entière en terme de troubles de la personnalité, le sadisme est aujourd'hui plutôt un type de comportement, qui entre en compte dans différents troubles comportementaux.
Un sadique va ressentir une grande excitation sexuelle en voyant l'autre souffrir devant lui. "Ils sont souvent nourris de la perception violente qu'ont pu avoir certains enfants des relations sexuelles des relations sexuelles de leurs parents ou proches", explique Renaud Da, psychologue clinicien.
Événement sans portée générale qui appartient à la vie quotidienne.
Mais elle doit bien reconnaitre que le fait divers répond exactement aux mêmes règles. « Comme la nouvelle, le fait divers présente des éléments narratifs portés à leur paroxysme : dans le fait divers, il s'agit toujours d'évènements qui transgressent la nature ou l'ordre normal du monde.